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L'Homme est un animal prédateur dégueulasse, on pourrait se dire qu'avec son cerveau il a de la raison, mais si peu ! Il est très vite égocentrique, vicieux voir machiavélique .. ça date pas d'hier que l'Homme pense avec son nombril et sa bite ..
Donc le seul remède à proposer à cette société c'est la branlette
kosmix
51544
AF, je suis ton père
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Revu Dellamorte Dellamore. Bien délirant 
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
Ouatisit
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Neveud
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Neveud
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kosmix
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AF, je suis ton père
Membre depuis 20 ans
Je l'avais vu celui-là, intéressant mais c'est vrai qu'au final la musique est la grande absente de ce biopic qui n'en est pas tout à fait un.
De toutes façons maintenant Gainsbourg est sur ma liste noire au même titre que Polanski, Depardieu, Cantat, Blier.. (j'en oublie peut-être). Et pourtant je le ai tous adorés dans le passé. Triste.
**************************************
Sinon moi j'ai vu LE CROCODILE DE LA MORT (en majuscules pour que ça pète) de Tobe Hooper. Réalisé 3 ans après le fameux massacre à la rotofileuse on peut dire ici que le film illustre fort bien ce que l'on sait de l'ensemble de la carrière du cinéaste : un ratage quasi intégral
En résumé : ce film n'est pas un nanar, non, c'est bel et bien un authentiquer navet et ce malgré la présence de Robert Englund (Freddy), Marilyn Burns (le toujours fameux Massacre à la motobineuse) et William Finley (Phantom of the Paradise, s'il vous plaît). D'ailleurs ce dernier à ici un rôle tout aussi déglingos que court : il semble complètement sous acide (complètement à côté de ses pompes le gars, en plein trip) et il se fait rapidement occire.
0 croco /5
De toutes façons maintenant Gainsbourg est sur ma liste noire au même titre que Polanski, Depardieu, Cantat, Blier.. (j'en oublie peut-être). Et pourtant je le ai tous adorés dans le passé. Triste.
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Sinon moi j'ai vu LE CROCODILE DE LA MORT (en majuscules pour que ça pète
) de Tobe Hooper. Réalisé 3 ans après le fameux massacre à la rotofileuse on peut dire ici que le film illustre fort bien ce que l'on sait de l'ensemble de la carrière du cinéaste : un ratage quasi intégral En résumé : ce film n'est pas un nanar, non, c'est bel et bien un authentiquer navet et ce malgré la présence de Robert Englund (Freddy), Marilyn Burns (le toujours fameux Massacre à la motobineuse
) et William Finley (Phantom of the Paradise, s'il vous plaît). D'ailleurs ce dernier à ici un rôle tout aussi déglingos que court : il semble complètement sous acide (complètement à côté de ses pompes le gars, en plein trip) et il se fait rapidement occire.0 croco /5
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 30/07/2025 à 21:47:56 ]
kosmix
51544
AF, je suis ton père
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Petit cadeau : photo de tournage d'Evil Dead !
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
Celest1
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On devait voir Dracula mais comme j'ai vu Dogman il y a pas un an on va attendre un peu .. J'adore cet acteur mais moi j'ai les fils qui se touchent dans ces cas là 
Un film qu'on va aller voir surement c'est weapons il sort le 06 aout ..
Un film qu'on va aller voir surement c'est weapons il sort le 06 aout ..
101112
Ouatisit
4053
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L’affiche du croco… !!
Vu ce soir Undercover: une histoire vraie, aussi nommé White boy Rick, film de 2018 de Yann Demange, avec Matthew Mc Conaughey.
Détroit en 1984. Rick Sr vit difficilement avec ses 2 enfants. Pour joindre les deux bouts il vend en toute discrétion des armes, pendant que son fils fréquente des personnes peu recommandables. Il n’en fallait pas plus pour que le FBI fasse pression sur Rick Jr pour en faire un indic afin de faire tomber les caïds de la drogue.
Un film tiré d’une histoire vraie qui se laisse regarder.
2,5 pochons / 5
!!Vu ce soir Undercover: une histoire vraie, aussi nommé White boy Rick, film de 2018 de Yann Demange, avec Matthew Mc Conaughey.
Détroit en 1984. Rick Sr vit difficilement avec ses 2 enfants. Pour joindre les deux bouts il vend en toute discrétion des armes, pendant que son fils fréquente des personnes peu recommandables. Il n’en fallait pas plus pour que le FBI fasse pression sur Rick Jr pour en faire un indic afin de faire tomber les caïds de la drogue.
Un film tiré d’une histoire vraie qui se laisse regarder.
2,5 pochons / 5
Ouatisit
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kosmix
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AF, je suis ton père
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Ouatisit
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Celest1
5536
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Membre depuis 9 ans
Citation :
Pour le reste, je pense que nous irions plus vite en dressant une liste des hommes (artistes ou pas d'ailleurs....) qui se sont toujours comportés de manière respectueuse et n'ont jamais abusé de leur posture de "sexe fort"
L'Homme est un animal prédateur dégueulasse, on pourrait se dire qu'avec son cerveau il a de la raison, mais si peu ! Il est très vite égocentrique, vicieux voir machiavélique .. ça date pas d'hier que l'Homme pense avec son nombril et sa bite ..
Donc le seul remède à proposer à cette société c'est la branlette
101112
kosmix
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Celest1
5536
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Membre depuis 9 ans
Citation :
un bel exemple de prédateur machiavélique Abbé Pierre qui de son vivant a toujours été considéré comme un Saint
101112
kosmix
51544
AF, je suis ton père
Membre depuis 20 ans
L'Homme Au Masque de Cire (House Of Wax, André de Toth, 1953, avec Vincent Price et Charles Bronson).
Un artiste fort talentueux possédant un chouette musée de cire le voit détruit par les flammes par son propre associé qui fait une arnaque à l'assurance. Blessé et défiguré il n'aura de cesse de vouloir se venger et reconstruite un nouveau musée de cire.
Film honorable malgré un scénario très classique, la scène de l'incendie au début est vraiment chouette avec de belles images des statues de cire qui fondent. La scène finale est d'une grande simplicité en comparaison.
Le film est évidemment très daté mais surtout on nous prend un peu pour des jambons : le "monstre" n'est pas si infirme qu'il le prétend et il y a quelques incohérences comme le fameux masque de cire de l'homme du même titre.
Ça se laisse quand-même regarder.
3 bougies /5
Un artiste fort talentueux possédant un chouette musée de cire le voit détruit par les flammes par son propre associé qui fait une arnaque à l'assurance. Blessé et défiguré il n'aura de cesse de vouloir se venger et reconstruite un nouveau musée de cire.
Film honorable malgré un scénario très classique, la scène de l'incendie au début est vraiment chouette avec de belles images des statues de cire qui fondent. La scène finale est d'une grande simplicité en comparaison.
Le film est évidemment très daté mais surtout on nous prend un peu pour des jambons : le "monstre" n'est pas si infirme qu'il le prétend et il y a quelques incohérences comme le fameux masque de cire de l'homme du même titre.
Ça se laisse quand-même regarder.
3 bougies /5
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
titipol
5161
Je poste, donc je suis
Membre depuis 13 ans
Vu: Le secret de Khéops en DVD, je dirais 4 / 5, même si j'ai toujours du mal avec luchini et ces grimaces surjoué ... et toujours plus un moins le même jeux d'acteur sans travail du personnage avec l'impression de revoir Le même film sans fin.
Un bon moment a ma grande surprise ( avec un DVD offert ) pas acheté ... je précise
A voir ou revoir !
Un bon moment a ma grande surprise ( avec un DVD offert ) pas acheté ... je précise
A voir ou revoir !
[ Dernière édition du message le 31/07/2025 à 19:00:34 ]
Polaroil
13783
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 17 ans
Ouatisit
4053
Squatteur·euse d’AF
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Merci , j’irai voir demain s’il est sur les étagères de la vidéothèque de mon taf.
Vu ce soir un thriller chinois de 2017 : Une pluie sans fin.
Pour l’histoire, trois corps de femmes sont retrouvés à proximité d’une aciérie. La police, incarnée par un vieil inspecteur, semble dépassée, aussi le surveillant de l’usine décide de mener sa propre enquête qui se transformera en obsession, jusqu’à l’irréversible.
On déambule dans un décor industriel, dans des petites rues encombrées de minuscules boutiques, des chemins boueux, une grisaille pesante, et une pluie incessante.
Cette atmosphère est indissociable de l’évolution des personnages du film et nous jette à la figure une Chine désuète qui vit ses derniers soubresauts avant de plonger dans la modernité.
Un film fort.
4 parapluies / 5
, j’irai voir demain s’il est sur les étagères de la vidéothèque de mon taf. Vu ce soir un thriller chinois de 2017 : Une pluie sans fin.
Pour l’histoire, trois corps de femmes sont retrouvés à proximité d’une aciérie. La police, incarnée par un vieil inspecteur, semble dépassée, aussi le surveillant de l’usine décide de mener sa propre enquête qui se transformera en obsession, jusqu’à l’irréversible.
On déambule dans un décor industriel, dans des petites rues encombrées de minuscules boutiques, des chemins boueux, une grisaille pesante, et une pluie incessante.
Cette atmosphère est indissociable de l’évolution des personnages du film et nous jette à la figure une Chine désuète qui vit ses derniers soubresauts avant de plonger dans la modernité.
Un film fort.
4 parapluies / 5
[ Dernière édition du message le 01/08/2025 à 00:05:56 ]
Ouatisit
4053
Squatteur·euse d’AF
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8.5
1248
AFicionado·a
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kosmix
51544
AF, je suis ton père
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Vu Butcher 2, la suite de Butcher tout court
Mention spéciale habituelle aux distributeurs français qui traduisent un titre original en anglais ("Hatchet" = hachette) par un autre titre en anglais qui n'a rien à voir avec la choucroute. Comme dirait Ben-Hur Marcel "il n'y a pas plus de boucher que de beurre au cul".
Nous avons donc ici un film d'horreur classique qui reprend les codes du genre surexploités dans les années 70-80 : scénario hyper prévisible, sexe, scènes gores et morts très créatives, tout cela saupoudré d'un délicieux humour à ras les pâquerettes
Personnellement j'ai trouvé le film très divertissant, peut-être mieux même que le premier que j'ai vu mais vite oublié. Heureusement ce 2ème volet reprend exactement là ou le premier se termine, c'est une suite directe et on prend bien le soin de nous rappeler ce qui est arrivé, ouf on n'est pas perdu et on restera d'ailleurs en terrain balisé vu la simplicité de l'histoire que je m'en vais vous conter de suite
La survivante du massacre du premier opus veut absolument retourner sur les lieux (le bayou en Louisiane) fin d'éliminer le vilain Victor Crawley qui n'est pas du tout boucher de son état mais en fait le fantôme d'un jeune homme difforme tué accidentellement par son père (à la hachette, d'où le vrai titre) qui tentait pourtant de le sauver au cours d'un incendie criminel déclenché par des voisins très cons.
La jeune femme, un peu traumatisée mais pas trop (elle a pourtant perdu père et frère dans le 1) va s'adjoindre les services du Révérend Zombie (un black qui tient une boutique Vaudou en ville) et de toute une équipe de bras cassés armés de fusils. Voilà un scénario simple et efficace et qui va tenir ses promesses ! D'autant que quelques surprises se révèleront (notamment le fait que Zombie à un plan : il fait visiter le bayou en bateau à des touristes, il est donc motivé par l'appât du gain, en plus il est vilain)
Vu le titre (et le fait que j'ai oublié le premier film) je m'attendais à des scènes sanglantes horribles et insoutenables, heureusement pas du tout, on a ici un film fun répondant aux codes du film gore classique 70-80. Tout est prévisible, même les "surprises" scénaristiques, l'intérêt majeur étant les scènes gores rigolotes et très créatives : un gars se fait quand même décapiter en plein coït (à même le sol dans le bayou, oui oui) et continue à s'agiter frénétiquement sans sa tête, procurant ainsi du plaisir à sa partenaire à quatre pattes dans l'humus marécageux, hihihi
4 hachettes /5
Mention spéciale habituelle aux distributeurs français qui traduisent un titre original en anglais ("Hatchet" = hachette) par un autre titre en anglais qui n'a rien à voir avec la choucroute. Comme dirait Ben-Hur Marcel "il n'y a pas plus de boucher que de beurre au cul".
Nous avons donc ici un film d'horreur classique qui reprend les codes du genre surexploités dans les années 70-80 : scénario hyper prévisible, sexe, scènes gores et morts très créatives, tout cela saupoudré d'un délicieux humour à ras les pâquerettes
Personnellement j'ai trouvé le film très divertissant, peut-être mieux même que le premier que j'ai vu mais vite oublié. Heureusement ce 2ème volet reprend exactement là ou le premier se termine, c'est une suite directe et on prend bien le soin de nous rappeler ce qui est arrivé, ouf on n'est pas perdu et on restera d'ailleurs en terrain balisé vu la simplicité de l'histoire que je m'en vais vous conter de suite
La survivante du massacre du premier opus veut absolument retourner sur les lieux (le bayou en Louisiane) fin d'éliminer le vilain Victor Crawley qui n'est pas du tout boucher de son état mais en fait le fantôme d'un jeune homme difforme tué accidentellement par son père (à la hachette, d'où le vrai titre) qui tentait pourtant de le sauver au cours d'un incendie criminel déclenché par des voisins très cons.
La jeune femme, un peu traumatisée mais pas trop (elle a pourtant perdu père et frère dans le 1) va s'adjoindre les services du Révérend Zombie (un black qui tient une boutique Vaudou en ville) et de toute une équipe de bras cassés armés de fusils. Voilà un scénario simple et efficace et qui va tenir ses promesses ! D'autant que quelques surprises se révèleront (notamment le fait que Zombie à un plan : il fait visiter le bayou en bateau à des touristes, il est donc motivé par l'appât du gain, en plus il est vilain
)Vu le titre (et le fait que j'ai oublié le premier film) je m'attendais à des scènes sanglantes horribles et insoutenables, heureusement pas du tout, on a ici un film fun répondant aux codes du film gore classique 70-80. Tout est prévisible, même les "surprises" scénaristiques, l'intérêt majeur étant les scènes gores rigolotes et très créatives : un gars se fait quand même décapiter en plein coït (à même le sol dans le bayou, oui oui
) et continue à s'agiter frénétiquement sans sa tête, procurant ainsi du plaisir à sa partenaire à quatre pattes dans l'humus marécageux, hihihi 4 hachettes /5
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 01/08/2025 à 16:27:14 ]
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