Derniers films vus
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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
le reverend
Moi je mets en tete Blood Simple
Miller's Crossing ensuite
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
-Liam-
T'as vu The Big Lebowski ?
Oué, il est excellent aussi, c'est un classique! Mais je crois que je préfère quand les frères Coen versent dans l'ambiance un peu thriller....enfin c'est pas vraiment comparable de toute façon!
Un verre à moitié vide est aussi à moitié plein. Un type à moitié intelligent est généralement complètement con
https://soundcloud.com/newcarradio
Pere Founasse
Un film rien qu'avec jesus, ça serait splendide !
Provocateur d'extrême droite
[ Dernière édition du message le 19/09/2011 à 00:13:30 ]
dje the fly
OR Music production - Création sonore pour l'image -
Site web: http://www.ormusic.fr
Page Facebook: http://www.facebook.com/Ormusic.fr
Javier Guante Hermoso
Avec tout le foin qu'on a pu en faire, ça me saoulait un peu de le voir.
Finalement, c'est une représentation juste et sans complaisance d'une histoire dans l'Histoire. Très bien interprétée, sans parti pris, et sans la mièvrerie à laquelle je m'attendais. Au delà du bégaiement, l'accent de Firth est génial, et le personnage de Logue est terriblement agaçant! Une vraie bonne impression.
Pictocube
Blood simple
La planète des singes, le secret de la planète des singes, les évadés de la planète des singes, la conquète de la planètes des singes, la bataille de la planète des singes
Les vieux... Bon ben ça a très mal vieilli et puis c'est bourré d'incohérence, de truc impossible de faux raccords, c'est rigolo quoi...
Belle tentative que de recréer Dylan via 6 personnage, pas une mauvaise idée vu le bonhomme mais du coup ça rend la lecture du film difficile à qui ne saurait pas ou peu de qui il s'agit, pas un n'est « le bon », et pas sûr que la somme des six offre un Dylan « vrai ». C'est comme un conte, une accumulation de détail, c'est très agréable, toute les scènes sont réussies, bien mise en scène, Blanchet est étonnante dans son rôle de Dandy androgyne... L'avis de Télérama me plait : "On a parfois l'impression d'errer dans un musée Dylan dont les six salles communiquent un peu trop bien. Où suis-je ? peut alors se demander le spectateur. Et de se dire à son tour, un peu déçu : je ne suis pas là. Qu'on nous laisse hasarder un conseil à cet égaré : de rester jusqu'au bout. Comme si tant d'évocations avaient fini par imposer sa présence in extremis, Bob Dylan apparaît, précédé de son fameux harmonica. Todd Haynes n'a pas fait lui-même cette image un peu floue, il l'a piquée ailleurs. Elle renie le postulat du film et ne jure en rien avec tout ce qui précède. Mieux que le justifier, elle donne envie de le revoir." A voir donc.
Voilà, faisait pas beau ce week-end.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
oryjen
Une idée extrêmement ambitieuse tenue de bout en bout de main de maître! Malgré l'attention extrême portée de très près au point de vue de chaque personnage, la trame générale (l'idée directrice du film) reste d'une ampleur et d'une précision extraordinaire.
Cate Blanchett y joue l'ambivalence des sentiments avec une force et une sensibilité remarquables.
Ce film raconte avec finesse, étonnement et lucidité ce moment particulier de l'histoire humaine, en le transfigurant du point de vue individuel, ce qui lui donne toute sa portée expressive. A ce double titre, il mérite d'être retenu premièrement comme un témoin exemplaire de notre époque, deuxièmement comme une oeuvre d'art à ranger au côté des plus grandes, et troisièmement comme un grand moment de l'effort humain pour saisir sa propre condition.
J'avais aimé 21 Grammes, mais ici, sous un récit apparemment plus dépouillé dans sa forme et son esthétique, nous trouvons une méditation d'une très grande profondeur, qui plonge le spectateur plein de stupeur dans le trouble de sa propre expérience.
Une merveille à voir absolument.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
trompe
Conan the Barbarian.
Sans surprise, c'est une daube. Autant la version avec Schwarzy était rigolote dans son ambiance "Heroic Fantasy années 80", autant celle-ci est juste ennuyante.
Combats absurdes inutilement et faussement violents, costumes tenant lieux de jeux d'acteurs, tout fait carton pâte.
Je vous le déconseille fortement, ce n'est même pas un nanard, juste un film pourri.
"Well, that's just, like, your opinion, man."
[ Dernière édition du message le 20/09/2011 à 09:46:24 ]
Anonyme
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