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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
le reverend
la plus descenteauxenfersienne que j'aie vue, c'est comme même Bad Lieutenant
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
gromeul
"Série noire" + beaucoup, avec un P.Dewaere extraordinaire !
Polaroil
la pire descente aux enfers que j'ai vue (à part Angel Heart), c'est EDMOND, avec william H Macy..
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
Polaroil
Vu les 1ers Terence Malick :
Badlands, avec Martin Sheen, Sissy Spacek. 1973, road-movie meurtrier tiré d'une histoire vraie. vraiment bien en tous points
Days of Heaven (Les moissons du ciel). 1978. Grande fresque avec un Richard Gere jeune (supportable), Brooke Adams (Love), Sam Shepard,...
Paysages grandioses, un rythme de grande fresque hollywoodienne et une impression durable. M'a fait penser à Dr Jivago, je ne sais pas pourquoi. Joli
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
le reverend
m'étais légèrement fait iech sur celui-là
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
Polaroil
faut dire, ça manque de poursuites de bagnoles et de sexe brutal
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
egorl
Du pur Malick dans la lignée des deux évoqués ci-dessus. Toujours la même attention au détail, la même utilisation de la voix-off en décalage avec l'image, certaines thématiques récurrentes chez ce cinéaste (le paradis perdu, la nature, ...). C'est lent, contemplatif, poétique, sensible. Et ambitieux, comme toujours chez Malick, je ne suis pas sûr d'avoir perçu toute la symbolique et les thèmes sous-jacents... Ancien prof de philo au MIT, ça s'invente pas.
Pas mon Malick préféré malgré tout, j'ai trouvé le temps long par moments.
Polaroil
Le Nouveau monde, j'ai eu du mal. J'aurais du le voir au ciné, il faut être bien immergé dans ce genre de film
:titanic:
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
oryjen
Inversement, le jeune premier se laisse dépouiller doucement, et par le fait sera sauvé. Métaphores filmées du coin de l'oeil. Rien n'est jamais pesant. On nous suggère que, peut-être... C'est par la bande, par le truchement de la beauté filmique où s'incarne la beauté de son sujet (nature, paradis perdus, etc...)
Tout le contraire d'un cinéma engagé bien rentrez-vous-bien-ça-dans-le-crâne-voici-le-méchant-méchant-méchant...
J'adore.
Je crois d'ailleurs que j'ai préféré celui-là au dernier (Tree Of Life).
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
gromeul
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