Derniers films vus
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fairbec
2248
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 05/10/2003 à 19:14:46Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Anonyme
5224
34632 Posté le 14/01/2014 à 22:48:27
C'est riddickule?
[ Dernière édition du message le 14/01/2014 à 22:48:45 ]
Anonyme
13632
34633 Posté le 15/01/2014 à 00:45:06
A.C.A.B : all cops are bastards, 2012
ACAB, ou “All Cops are Bastards”, était un slogan initialement utilisé en Angleterre dans les années 1970 par les skinheads. Rapidement il s’est propagé dans les rues et les stades, propices aux guérillas urbaines. Cobra, Nero et Mazinga sont 3 « flics bâtards » qui, à force d’affronter le mépris quotidien, ont pris l’habitude d’être les cibles de cette violence, reflet d’une société chaotique dictée par la haine. Leur unique but est de rétablir l’ordre et de faire appliquer les lois, même s’il faut utiliser la force…
... hum... on ne sait pas trop par où le prendre ce film.. Du point de vue la mise en scène, on est dans un réalisme assez saisissant. Certains critiques de mag' sont outrés par la légitimisation fasciste qu'ils interprètent dans les scènes et dialogues du film. C'est assez lourd dans les thématiques : immigration, misère sociale, racisme, violence, rôle de la police dans ce "bordel" de la société italienne, rôle des politiciens... Une fois que c'est fini, ce qui est certain, c'est qu'on continue de gamberger.
ACAB, ou “All Cops are Bastards”, était un slogan initialement utilisé en Angleterre dans les années 1970 par les skinheads. Rapidement il s’est propagé dans les rues et les stades, propices aux guérillas urbaines. Cobra, Nero et Mazinga sont 3 « flics bâtards » qui, à force d’affronter le mépris quotidien, ont pris l’habitude d’être les cibles de cette violence, reflet d’une société chaotique dictée par la haine. Leur unique but est de rétablir l’ordre et de faire appliquer les lois, même s’il faut utiliser la force…
... hum... on ne sait pas trop par où le prendre ce film.. Du point de vue la mise en scène, on est dans un réalisme assez saisissant. Certains critiques de mag' sont outrés par la légitimisation fasciste qu'ils interprètent dans les scènes et dialogues du film. C'est assez lourd dans les thématiques : immigration, misère sociale, racisme, violence, rôle de la police dans ce "bordel" de la société italienne, rôle des politiciens... Une fois que c'est fini, ce qui est certain, c'est qu'on continue de gamberger.
[ Dernière édition du message le 15/01/2014 à 00:46:47 ]
W-Addict
43933
Ma vie est un thread...
Membre depuis 19 ans
34634 Posté le 18/01/2014 à 11:28:11
searching for sugar man
Documentaire sur Sixto Rodriguez, limite SDF aux USA et star en Afrique du Sud. Parfois enjolivé ce docu est bien sympa. Ce gars est un ovni. Et une belle ode à l'art au passage.
A voir !
Documentaire sur Sixto Rodriguez, limite SDF aux USA et star en Afrique du Sud. Parfois enjolivé ce docu est bien sympa. Ce gars est un ovni. Et une belle ode à l'art au passage.
A voir !
[ Dernière édition du message le 18/01/2014 à 11:28:49 ]
Djardin
19834
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
34635 Posté le 19/01/2014 à 15:57:36
Les Sorcières de Zugarramurdi ( Las brujas de Zugarramurdi) de Alex de la Iglesias.
Une bande de braqueurs amateurs tente de faire un hold up à Madrid. Ils réussissent et s'enfuissent vers la France. Mais la route pour y aller passe par Zugarramurdi, un petit village des Pyrénées où il y auraient des sorcières.
C'est complétement débile, très bien fait. Les 3 actrices principales jouent très bien. (Carmen Maura, je suis fan. Et Carolina Bang est diablement charmante. )
D'ailleurs, en truc de Alex de la Iglesias, avec Carolina Bang, vous savez si on peux trouver la série Plutón BRB Nero sous-titrée en Français ?
Une bande de braqueurs amateurs tente de faire un hold up à Madrid. Ils réussissent et s'enfuissent vers la France. Mais la route pour y aller passe par Zugarramurdi, un petit village des Pyrénées où il y auraient des sorcières.
C'est complétement débile, très bien fait. Les 3 actrices principales jouent très bien. (Carmen Maura, je suis fan. Et Carolina Bang est diablement charmante. )
D'ailleurs, en truc de Alex de la Iglesias, avec Carolina Bang, vous savez si on peux trouver la série Plutón BRB Nero sous-titrée en Français ?
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
**naPOLEoN**
27844
Vie après AF ?
Membre depuis 18 ans
34636 Posté le 19/01/2014 à 16:49:05
Non.
wildchild666
11217
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
34637 Posté le 19/01/2014 à 17:26:17
Ca a l'air trop bien les sorcières là, tu as vu ça où ?
- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam
gromeul
17110
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
34638 Posté le 19/01/2014 à 17:34:41
Ils s'enfuissent, t'es sûr ?
Djeeloo
15393
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
34639 Posté le 19/01/2014 à 17:43:12
Ça joue sur Paris:
Ils en parlent dans Mad Movies,
et il y a aussi une interview du Réal (mais pas de Madrid...) ICI sur leur site.
Ils en parlent dans Mad Movies,
et il y a aussi une interview du Réal (mais pas de Madrid...) ICI sur leur site.
L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.
Anonyme
17065
34640 Posté le 19/01/2014 à 18:55:47
http://nsa33.casimages.com/img/2014/01/03/140103112154774186.jpg
Ryota, architecte ambitieux, et sa femme Midori découvrent que leur fils unique Keita, 6 ans n'est pas leur vrai fils, qu'il y a eu un échange à la maternité entre leur enfant et celui d'une famille de la classe populaire.
Quelles sont les répercussions? Comment envisager les choses désormais? Qu'en est-il des sentiments de la paternité et la maternité?
Comment rencontrer ceux qui élèvent votre enfant biologique, a fortiori quand leur mode de vie est éloigné du vôtre?
La thématique a semble-t-il déjà été traitée dans d'autres films, mais la voilà transposée dans la société japonaise avec ce que cela implique comme singularité.
Habituellement la spontanéité des enfants en fait des acteurs bluffants, mais pour ce qui me concerne ça n'a pas marché pour moi dans ce film-là.
Les acteurs adultes par contre sont tous très justes.
Les clichés sont évités ou habilement court-circuités.
Un film troublant qui vous amène à vous poser des questions et probablement plus encore lorsqu'on est parent.
Un film qui émeut aussi, ça reniflait sec dans la salle à la fin du film.
Rien de notable d'un point de vue technique, mais rien ne m'a semblé "sonner faux" d'un point de vue de la réalisation, de la mise en scène ou de la direction d'acteurs.
Au-delà de ça, personnellement, j'ai aussi retrouvé le plaisir d'entendre la musicalité de la langue japonaise.
Ryota, architecte ambitieux, et sa femme Midori découvrent que leur fils unique Keita, 6 ans n'est pas leur vrai fils, qu'il y a eu un échange à la maternité entre leur enfant et celui d'une famille de la classe populaire.
Quelles sont les répercussions? Comment envisager les choses désormais? Qu'en est-il des sentiments de la paternité et la maternité?
Comment rencontrer ceux qui élèvent votre enfant biologique, a fortiori quand leur mode de vie est éloigné du vôtre?
La thématique a semble-t-il déjà été traitée dans d'autres films, mais la voilà transposée dans la société japonaise avec ce que cela implique comme singularité.
Habituellement la spontanéité des enfants en fait des acteurs bluffants, mais pour ce qui me concerne ça n'a pas marché pour moi dans ce film-là.
Les acteurs adultes par contre sont tous très justes.
Les clichés sont évités ou habilement court-circuités.
Un film troublant qui vous amène à vous poser des questions et probablement plus encore lorsqu'on est parent.
Un film qui émeut aussi, ça reniflait sec dans la salle à la fin du film.
Rien de notable d'un point de vue technique, mais rien ne m'a semblé "sonner faux" d'un point de vue de la réalisation, de la mise en scène ou de la direction d'acteurs.
Au-delà de ça, personnellement, j'ai aussi retrouvé le plaisir d'entendre la musicalité de la langue japonaise.
[ Dernière édition du message le 19/01/2014 à 18:59:46 ]
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