Derniers films vus
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fairbec
2248
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 05/10/2003 à 19:14:46Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Anonyme
17065
38431 Posté le 11/12/2014 à 08:13:29
Citation de greggreg :
Prédator, j'ai revu le 2 y'a pas longtemps. C'est cool quand même, l'ambiance, los angeles sous la canicule avec des rastas défoncés et des répliques comme seul savaient les faire les films d'action américains des années 80.
+ plein
Que ce soit dans la jungle ou la jungle urbaine les deux volets sont très réussis.
[ Dernière édition du message le 11/12/2014 à 08:13:43 ]
Vince_
22790
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
38433 Posté le 14/12/2014 à 19:12:14
J'ai vu Teenage Mutant Ninja Turtle lol...
Bah c'est un peu merdique, et Megan Fox est un peu moins superblissimme, et du coup reste que son " jeu " d'actrice et là, c'est no comment quoi.
Bah c'est un peu merdique, et Megan Fox est un peu moins superblissimme, et du coup reste que son " jeu " d'actrice et là, c'est no comment quoi.
Junichi's remix rap français////////////////Check rap français Vos avis ici
Anonyme
17065
38434 Posté le 14/12/2014 à 19:39:57
Citation de Idlusen :
Marie Heurtin.
Consternant.
Le film ou ce qui arrive aux personnages?
Gros Corps Maladroit
2436
AFicionado·a
Membre depuis 15 ans
38435 Posté le 14/12/2014 à 19:51:28
je ne sait plus qui avait cité " predestination"
mais merci!
sur les voyages dans le temps et de drole de paradoxes.... completement perdant (perdant:comprendre un film qui nous perd des le depart, volontairement pas explicite... un peu comme "memento") comme film (du moins dans la 1ere moitié)... j'adore ça !
mais merci!
sur les voyages dans le temps et de drole de paradoxes.... completement perdant (perdant:comprendre un film qui nous perd des le depart, volontairement pas explicite... un peu comme "memento") comme film (du moins dans la 1ere moitié)... j'adore ça !
[ Dernière édition du message le 14/12/2014 à 19:54:54 ]
Anonyme
833
38436 Posté le 14/12/2014 à 20:55:29
kumo boy, le film, j'en ai peur. Je ne sais pas si tu comptais le voir en connaissance de cause mais le traitement du sujet m'a semblé un peu aberrant voire parfois à côté de la plaque.
À cela s'ajoute la pauvreté de la forme, je pense surtout au rythme et au jeu.
Le destin des personnages est plutôt heureux je trouve, quoique plus dans la réalité que dans le film.
À cela s'ajoute la pauvreté de la forme, je pense surtout au rythme et au jeu.
Le destin des personnages est plutôt heureux je trouve, quoique plus dans la réalité que dans le film.
Anonyme
17065
38437 Posté le 14/12/2014 à 21:02:07
Non je ne comptais pas le voir, mais ton avis m'a interpellé.
Ho'Dog
24795
Vie après AF ?
Membre depuis 16 ans
38438 Posté le 15/12/2014 à 06:58:08
Citation :
je ne sait plus qui avait cité " predestination"
je pense que c'est moi
ouais, je l'avais trouvé vraiment sympa
PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks
En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:
**naPOLEoN**
27840
Vie après AF ?
Membre depuis 18 ans
38439 Posté le 15/12/2014 à 07:58:09
Vu le Domaines des Dieux hier.
Très drôle et surtout très beau, l’impression d'être en immersion dans les bandes de son album étant minot. Casting sans surprise mais top (papagalli en chef ). Je conseille.
Très drôle et surtout très beau, l’impression d'être en immersion dans les bandes de son album étant minot. Casting sans surprise mais top (papagalli en chef ). Je conseille.
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
38440 Posté le 15/12/2014 à 08:45:54
Vu hier en salle avec madame et n'enfant Le Hobbit 3 en 3D.
Ecoutez...
Autant vers 35 ans, après plusieurs tentatives juvéniles malheureuses, j'avais enfin découvert l'entrée du Seigneur des Anneaux (le livre), l'avais avalé d'une traite fiévreuse, et avais poursuivi pendant plusieurs années avec la totalité du cycle, y compris les bribes, fonds de tiroirs, ébauches et pas finis du Maître Tolkien, et autant le premier volet cinématographique du SDA m'avait scotché sur mon siège, tant le ton était nouveau à l'époque, paraissait sans concession (Jackson osant puiser plus que largement dans son expérience passée de réalisateur de films gore) et détonnait sévère dans le genre "fantasy" au cinéma, dominé alors par le triste souvenir des deux volets de l'Histoire Sans Fin (qui s'enfonce toujours plus avant dans la navitude navrante à chaque fois qu'une tête blonde m'oblige à le regarder à nouveau), autant ce troisième volet de la saga de Bilbo le Hobbit hier soir en salle m'a paru être vraiment la resucée des resucées: toujours les mêmes situations bien lourdement tranchées et stéréotypées, des personnages diaphanes sans épaisseur aucune (à part le Bilbo, qui réussit à donner une présence intéressante au personnage) et sans surprise, les mêmes discours au ton censément "épique" mais en vérité pompeux et creux, un Gandalf largement superflu dans tout ce qu'il dit et tout ce qu'il fait, faillible, humain, bas, moche, transpirant, faible et maladroit (alors qu'il apparaît pour la première fois dans le Silmarilion comme très mystérieux, d'essence étrange et quasiment divine, nettement empêtré dans une incarnation imparfaitement humaine trop étriquée pour sa nature véritable, et qu'à plusieurs moments dans le premier opus de Jackson ce caractère avait pu être exprimé avec bonheur)...
Voilà, quoi, ça m'a fait l'effet d'une espèce de grosse entreprise du BTP engoncée dans ses procédures habituelles, une forme vieille et sclérosée, automatique, et rigoureusement incapable, pour des raisons probablement d'abord financières, d'y déroger du moindre iota.
Le verdict tombe, implacable: Jackson a pu être un artiste visionnaire dans le passé, mais accablé de réussite, le voilà devenu un artisan poussif.
Quant à la "cerise" blette du 3D, comment dire?... C'était le second film que je voyais en salle projeté selon cette technique (le premier ayant été "Hugo Cabret" voici quelques années)...
L'impression tenace, pendant la projection et en y repensant après, qu'il ne s'agissait là en l'occurrence que d'une sorte de pincée d'épices pour tâcher de ressuciter les papilles engourdies d'un public peine-à-jouir, harassées d'avoir jour après jour à essayer de savourer des nourritures avariées...
Largement dispensable.
N'y allez pas.
Ecoutez...
Autant vers 35 ans, après plusieurs tentatives juvéniles malheureuses, j'avais enfin découvert l'entrée du Seigneur des Anneaux (le livre), l'avais avalé d'une traite fiévreuse, et avais poursuivi pendant plusieurs années avec la totalité du cycle, y compris les bribes, fonds de tiroirs, ébauches et pas finis du Maître Tolkien, et autant le premier volet cinématographique du SDA m'avait scotché sur mon siège, tant le ton était nouveau à l'époque, paraissait sans concession (Jackson osant puiser plus que largement dans son expérience passée de réalisateur de films gore) et détonnait sévère dans le genre "fantasy" au cinéma, dominé alors par le triste souvenir des deux volets de l'Histoire Sans Fin (qui s'enfonce toujours plus avant dans la navitude navrante à chaque fois qu'une tête blonde m'oblige à le regarder à nouveau), autant ce troisième volet de la saga de Bilbo le Hobbit hier soir en salle m'a paru être vraiment la resucée des resucées: toujours les mêmes situations bien lourdement tranchées et stéréotypées, des personnages diaphanes sans épaisseur aucune (à part le Bilbo, qui réussit à donner une présence intéressante au personnage) et sans surprise, les mêmes discours au ton censément "épique" mais en vérité pompeux et creux, un Gandalf largement superflu dans tout ce qu'il dit et tout ce qu'il fait, faillible, humain, bas, moche, transpirant, faible et maladroit (alors qu'il apparaît pour la première fois dans le Silmarilion comme très mystérieux, d'essence étrange et quasiment divine, nettement empêtré dans une incarnation imparfaitement humaine trop étriquée pour sa nature véritable, et qu'à plusieurs moments dans le premier opus de Jackson ce caractère avait pu être exprimé avec bonheur)...
Voilà, quoi, ça m'a fait l'effet d'une espèce de grosse entreprise du BTP engoncée dans ses procédures habituelles, une forme vieille et sclérosée, automatique, et rigoureusement incapable, pour des raisons probablement d'abord financières, d'y déroger du moindre iota.
Le verdict tombe, implacable: Jackson a pu être un artiste visionnaire dans le passé, mais accablé de réussite, le voilà devenu un artisan poussif.
Quant à la "cerise" blette du 3D, comment dire?... C'était le second film que je voyais en salle projeté selon cette technique (le premier ayant été "Hugo Cabret" voici quelques années)...
L'impression tenace, pendant la projection et en y repensant après, qu'il ne s'agissait là en l'occurrence que d'une sorte de pincée d'épices pour tâcher de ressuciter les papilles engourdies d'un public peine-à-jouir, harassées d'avoir jour après jour à essayer de savourer des nourritures avariées...
Largement dispensable.
N'y allez pas.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 15/12/2014 à 09:10:08 ]
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