Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Il n'y aurait qu'une seule et officielle "explication"?
J'avais adoré ce film!!!! Il te susurre de luxuriants mensonges dans lesquels gisent de renversantes vérités.
L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
66280
47002Posté le 20/06/2017 à 15:38:59
Citation :
Il te susurre de luxuriants mensonges dans lesquels gisent de renversantes vérités.
tu veux dire qu'il veut rien dire en fait.
Pour moi David Lynch c'est Terrence Mallick, mais sans le talent.
Tree of life, c'est onirique, pas facile à suivre, mais c'est pas du total nawak.
Non je veux dire que tu ne comprends pas.
C'est compliqué, mais c'est pas de la branlette de cinéaste.
Ce type a essayé d'abolir le récit, pour trouver une nouvelle forme de narration, centrée sur le visuel, dans laquelle chaque moment résonne fort de l'identité du tout.
C'est mal dit, mais j'ai du mal à transcrire la sensation...
Bon par contre j'avais l'impression d'avoir aimé son Dune vu lors de sa sortie en salles. Je l'ai revu 20 ans plus tard, et j'ai trouvé ça mauvais.
N'empêche, pour moi Mulholland Drive est l'un des chefs d'oeuvres du cinéma toutes époques confondues.
C'est compliqué, mais c'est pas de la branlette de cinéaste.
c'est là dessus que nos avis divergent, ou alors tu veux dire que Davis Lynch fait de l'art qui n'est pas du cinéma stricto sensu, auquel cas pourquoi pas.
Il vaut mieux se perdre dans sa passion que perdre sa passion
oryjen
17704
Drogué·e à l’AFéine
47009Posté le 20/06/2017 à 17:46:19
Non. Il y a un côté un peu fat chez le type, quand on l'interviewe par exemple.
Mais dans l'exercice de ses fonctions, c'est un putain de pur cinéaste!
Zyva youtou, fais-nous le couplet sur le "cinéma stricto sensu" (avec sabre laser évidemment), je sens que ça va me passionner...