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Sujet Derniers films vus

  • 58 506 réponses
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Sujet de la discussion Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?

Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
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52811
Deux remakes plus tard, c'est de la merde. Plus le temps passe, plus Samuel L Jackson donne l'impression de vouloir refaire Pulp Fiction dans chacun de ses rôles. Je veux bien un titre de film où il ne joue pas ce personnage déjanté badass imprévisible.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

52812
La revanche des sith.
52813
Samuel Jackson est bidonnant dans Django Unchained, sinon c'est vrai que le gars a tendance a être cantonné dans un certain type de rôle.

Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Wham Bam Jazz

52814
Ben Hur c'est Wiliam Wyler.
U2 tu sais très bien qu'il faut pas juger les films anciens avec des critères d'aujourd'hui.

Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Wham Bam Jazz

52815
je sais bien, mais si on compare avec justement Ben Hur, qui a le même acteur principal, se passe aussi dans le sable (:oops2:), et qui est à peine plus récent (de mémoire les 10 commandements date de 1955 et Ben Hur de 1957), c'est le jour et la nuit, comme si en réalité 30 ans séparaient les 2 films.
52816
Citation :
c'est hyper empathique

Emphatique non ? :-D

Je crois que Cecil B2000 est plus reconnu pour le nombre de ses figurants que sa direction !

Mais l’emphase était plus courante dans les vieux films que maintenant. Peut-être par habitude du muet où tout était surjoué à fond. Possible qu’il y en ait aussi dans « les enfants du paradis ». Possible aussi que ce soit mieux dirigé. :-D

Citation de KoalaMan :
Deux remakes plus tard, c'est de la merde. Plus le temps passe, plus Samuel L Jackson donne l'impression de vouloir refaire Pulp Fiction dans chacun de ses rôles. Je veux bien un titre de film où il ne joue pas ce personnage déjanté badass imprévisible.

Souvent ce sont beaucoup plus les metteurs en scène qui emprisonnent un acteur dans un personnage, plutôt que le choix ou le souhait de l’acteur. Il y a plein de témoignages là-dessus. Celui de De Funes notamment.

C'est bien l'homme qui cause le dérèglement climatique - AudioFanzine sans PUBlicité

52817
Snowpiercer, j'ai été déçu aussi. J'avais adoré la bande-dessinée, que je recommande chaudement d'ailleurs, et je ne l'ai que très peu retrouvée dans le film, que j'avais trouvé trop haché et nerveux.

Du coup, ça me fait penser à Dernier train pour Busan, déclinaison du thème des morts-vivants, et qui m'avait bien fait kiffir.

J'ai vu Premier contact aussi, et c'est assez bon anéfé. J'aime bien ce plaidoyer sur le lien entre langage et existence.

J'ai vu aussi Du sang et des larmes, film d'action militaire. Ça se regarde, si on est pas trop exigeant (édit : à la gloire des Navy Seals évidemment mais de part l'histoire vraie, pas trop manichéen à l'égard des Afghans).

[ Dernière édition du message le 07/07/2019 à 13:43:53 ]

52818
J'ai bien aime les deux versions de Snowpiercer. Aprese faut accepter que le film est une interprétation de l'histoire de base.
Pour les fans de la bayday, une prequelle est sortie cette année, avec les auteurs originaux aux commandes. Ca raconte pourquoi/comment le train.

Petit péteux hargneux

bit.ly/elevations2020

bit.ly/dsmelevations2020

52819
Citation :
Emphatique non ? :-D


:oops:

Citation :
Mais l’emphase était plus courante dans les vieux films que maintenant. Peut-être par habitude du muet où tout était surjoué à fond.


c'est exactement ce que je me suis dit, tout en gardant à l'esprit que ça ne concernait pas tous les films pré 60's et loin s'en faut (et n'a pas forcément disparu en 1960 du jour au lendemain....)
52820
Citation :
Souvent ce sont beaucoup plus les metteurs en scène qui emprisonnent un acteur dans un personnage, plutôt que le choix ou le souhait de l’acteur.


Je comprends bien, mais SLJ n'est pas obligé d'accepter les rôles où il joue le grand Noir un peu barjot où le scénario tire encore un peu sur la ficelle de la blacksploitation. Je voudrais bien le voir dans un rôle de gentil comptable séduit par une Indienne en fauteuil roulant. De leurs différences naitra leur force. Prix du public du festival du film d'auteur de Sanary-les-bains.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.