Qu'est-ce qui vous amuse automatiquement ?
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Doc-Vazzo



Silverfish Imperatrix

Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

samy dread

Non je ne mettrai pas de pull

samy dread

Non je ne mettrai pas de pull

Silverfish Imperatrix

Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Anonyme

Titre : The Brown Bunny
Réalisation : Vincent Gallo
Scénario : Vincent Gallo
Photographie : Vincent Gallo
Montage : Vincent Gallo
Décors : Vincent Gallo
Costumes : Vincent Gallo
Production : Vincent Gallo
ha ouais quand même !


dana12

Citation :Titre : The Brown Bunny
Réalisation : Vincent Gallo
Scénario : Vincent Gallo
Photographie : Vincent Gallo
Montage : Vincent Gallo
Décors : Vincent Gallo
Costumes : Vincent Gallo
Production : Vincent Gallo
ha ouais quand même !
Il a pas changé de prénom ? il devrait s'appeler Aimé

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

Silverfish Imperatrix

J'avais beaucoup aimé Essential Killing.
Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

sqoqo

Titre : The Brown Bunny
Réalisation : Vincent Gallo
Scénario : Vincent Gallo
Photographie : Vincent Gallo
Montage : Vincent Gallo
Décors : Vincent Gallo
Costumes : Vincent Gallo
Production : Vincent Gallo
Ejaculation : Vincent Gallo

Silverfish Imperatrix


Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Traumax

Nous suivons Pierre, auteur
de bandes dessinées à deux
moments fondamentaux de sa
vie : ado, incapable d’embrasser
une fille, et trentenaire,
incapable de s’investir dans
son couple avec Manon. Il se
dit pourtant qu’elle pourrait
être la femme de sa vie... Ça
tombe bien, c’est le sujet de
l’histoire qu’il a vendue à son
éditeur. Alors, il va surjouer le
parfait amour et plonger dans
une difficile mise en « abîme ».
On a donc une bd qui raconte l'histoire d'un auteur de bd qui écrit une bd qui raconte sa vie amoureuse. Branletteception. Ce bon vieux Davy Mourier s'est quand même bien adapté à l'industrie du divertissement parisienne.
Le scénario de la BD,
initialement projet de film, a été
adaptaté en court métrage grâce
à une bourse CNC, co-réalisé et
joué par Davy Mourier et Audrey
Pirault

[ Dernière édition du message le 25/01/2019 à 14:46:06 ]

Dr Pouet



Traumax


les dialogues sont d'une indigence, c'est merveilleux. On dirait du Hélène et les garçons qui se prend pour du Lars Von Trier.


Dr Pouet

y'a deux pages de preview dans l'argumentaire de vente
Ça risque de pas donner « la conjuration des imbéciles ».


Traumax


Will Zégal


Traumax

J'ai rien contre l'autobiographie en soi, si la personne a réellement une vie hors norme a raconter. Les nevroses de Davy Mourier ou les vacances en famille de VBT, c'est le pinnacle de la banalité.
Felicitation pour cet homme de paille de toute beauté, d'ailleurs.


Will Zégal

Si Sattouff se met a raconter ses rendez vous chez son éditeur et ses pince fesses mondains à Angoulême, ca va être chiant pareil.
ça dépend de ce qu'il raconte. Cela peut être drôle, féroce, révéler des pans de milieu que l'on ne connaît pas ou mal et dénoncer leurs travers... ça dépend juste du talent de l'auteur et de ce qu'il a à dire, pas de l'histoire ni de son contexte.
Je m'étonne juste que tu sembles penser que l'argument d'une histoire ait une si grande importance dans la qualité d'un oeuvre et dans ce qu'elle dit.
Raconte la vie trépidante d'un mec venu avec sa famille garder un hôtel vide dans l'hiver, pour voir.

Je fais plutôt référence à ta saillie sur le film de Valéria Bruni-Tedeski racontant "ses vacances en famille". Je n'ai entendu qu'un petit bout de l'interview, celui où elle expliquait que ça n'étaient évidemment pas ses vacances et pas sa famille. En gros, un simple prétexte, une source d'inspiration. Je l'ai aussi entendu dire "la famille, c'est la guerre" avant de couper parce que j'étais arrivé à destination.
Je pense juste à des disènes de films qui ne racontent guère autre chose qu'un repas de famille, des retrouvailles pour un enterrement ou, justement, des vacances ou un diner en famille.
Pour le fond, je me ferai un avis après avoir éventuellement vu le film, si j'y vais. Mais l'argument ne me défrise pas plus que ça.
[ Dernière édition du message le 25/01/2019 à 15:28:37 ]

Anonyme

edit : l'avant avant dernier
[ Dernière édition du message le 25/01/2019 à 15:35:47 ]

Point-virgule

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

Traumax

celui où elle expliquait que ça n'étaient évidemment pas ses vacances et pas sa famille.
Oui, ca fait quatre films qu'elle fait de l'auto-fiction. Pardon, de l'autobiographie imaginaire, mais comme elle dit que c'est pas sa vie, ok. C'est l'intention qui compte, comme on dit.
Raconte la vie trépidante d'un mec (avec une maladie mentale de type vraiment putain c'est un vrai malade mental) venu avec sa famille garder un hôtel vide dans l'hiver, pour voir.
En résumant Shining comme ça, on peut aussi résumer Psycho en disant "c'est l'histoire d'une femme qui va a l'hotel parce que sa voiture est en panne".
Bref.

Anonyme



Anonyme


noSkillz

Oper-8 Downtempo, ambient | beMYsound Musique à l'image | Fake Luxury Shoegaze, dreampop, synthwave | SeizePads Chillhop, trap, drill

Traumax

Je m'étonne juste que tu sembles penser que l'argument d'une histoire ait une si grande importance dans la qualité d'un oeuvre et dans ce qu'elle dit.
Bah quand même. L'important dans une histoire c'est quand même d'abord ce que ça raconte au premier degré. L'Illiade c'est interressant d'abord parce que ca parle d'amour, de guerre, d'aventures, de trahisons et de mort. Ensuite, ca l'est encore plus parce que ça parle de la nature humaine.
Quand on fait l'inverse (placer le symbolique/l'universalité avant le narratif), on fait des trucs relous qui se pignolent devant un miroir en pensant que ca va intéresser tout le monde.
En fait ce qui me fait marrer dans ce genre (l'autofiction), c'est que les gens se prennent pour des créatifs alors que de façon flagrante, ils sont incapables d'imaginer autre chose que leur expérience quotidienne.
[ Dernière édition du message le 25/01/2019 à 15:55:41 ]

Dr Pouet

Je m'étonne juste que tu sembles penser que l'argument d'une histoire ait une si grande importance dans la qualité d'un oeuvre et dans ce qu'elle dit.
Oui, le regard compte beaucoup aussi.
Et concernant Valeria Tedeschi, aucun de ceux qui la dénigrent n’ont vu aucun de ses films, c’est bien ça ?
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