Ben en attendant y'a pas mal de non scolarisé qui le ressentent comme ça, moi le premier.
En littérature par exemple, je lisais à 12 ans des bouquins qui faisait peur à mes parents avec l'accompagnement de mémé (Nietzche, Spinoza, par exemple). Il a été très intéressant et bénéfique de les relire plus tard, adulte, mais ca a été formidable d'avoir cette opportunité enfant pour tout un tas de raison. Les math c'était l'inverse, à 17 ans je savais rien des math complexe, ça ne m'a pas empêché de faire 2 années de fac de science (bon j'ai buché) au milieu des 5 qui ont suivi mon bac en CL, et c'est pas pour me la péter, mais je me suis baladé à la fac alors que j'avais pas été du tout préparé, juste expérimenté une autre manière d'appréhender ces choses là.
Ce qui est marrant ce que je suis sûr que parmi les critiques là, y'en a plein qui sont ravi de ne pas cantonner leur bambin à de la musique pour enfant et se targuent d'écouter avec eux certaines excellences mais que ça vous parait complètement délirant pour l'histoire ou la géo...
C'est con.
Amha passé 6-7 ans tu file n'importe quoi à un gamin, si il est intéressé et qu'il dispose de quoi entretenir cet intérêt, y'a des chances pour que la physique quantique soit tout à fait abordable pour lui.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
[ Dernière édition du message le 25/05/2018 à 21:41:24 ]
Anonyme
4631
53648Posté le 25/05/2018 à 21:38:48
Non le truc qui est consternant est de considérer que parce que un truc a « marché » avec un gamin, on peut en faire une règle générale pour tout les autres. Ou même qu’il serait souhaitable de progresser dans son cursus scolaire à cette vitesse.