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Ronde de nuit 0:00>9:00

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Sujet de la discussion Ronde de nuit 0:00>9:00

Citation : alors que Madame dort déjà



heuu..Cà fait bien 2h30 au moins déjà........
Mais..MAIS..QUOI?!1h30 du mat!!!!!!!







Neil.
http://www.masterfactory.com
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Check deuz !
Allez on démarre gentiment le week-end avec The Kinks
Till the end of the day


J’adore les images de Venux. :bravo:
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Check grillé par PF !
Troiz’ du coup.
Et oui PF on change pas une équipe de bras cassés. C’est pas demain qu’on tournera la page :mrg:
Turn the page, version Metallica, quand même plus punchy que l’original de Bob Seger

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:police: blâme-check pour Ouatisit pour avoir affirmé être deuz' sans vérification préalable de sa part ! Inadmissible :oops2:
Tu n’auras pas droit aux apericubes ce soir sauf ceux au cumin qui font péter ! (Je crois pourtant que les goûts "cumin" et "paprika" n’existent pas...bref...) Tu te verras, de fait, écarté de toute vie sociale du club house checkant pour la nuit ! Terrible ! :eek2:

Maître fougassier incontesté, "Four d'Or" et "Toque de platine" à l'international Fougasse contest de Toronto 1998, indétrôné à ce jour.

[ Dernière édition du message le 11/10/2025 à 00:37:21 ]

59554
Check de toute beauté avec la plus jolie des bretonnes :aime:
Nolwenn Leroy - Tri martolod


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Check pas grave !
Je n’aime pas les apericubes, na !
Poetry in Motion par Johnny Tillotson, disparu en cette année 2025.


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6623740.png

"The music business is a cruel and shallow money trench, a long plastic hallway where thieves and pimps run free, and good men die like dogs..............

There's also a negative side."

59557

Quel plaisir de vous lire ! Check joie de découvrir chaque nuit les images et la prose de Venux et tel bonheur d'écouter tous vos titres !

Check T & U, presque têtu quoique ténu :


- Nicole Croisille, "Un homme et une femme ("Chabadabada", ici avec Claude Bolling et Francis Lai) :






- Jon Bon Jovi : "Ugly :






- C’est à Florence, à la villa Oppenheim que Debussy (1862, Saint-Germain-en-Laye – 1918, Paris) compose son célèbre Trio en sol majeur :



Version intégrale, ci-dessous :


Il en réalisera + tard une réduction pour piano à quatre mains de trois danses consacrées au « Lac des cygnes » des suites d’une demande de Nadejda von Meck (oui : vous lisez bien : celle-là même qui allouait une pension de 6.000 roubles à Tchaïkovski).
Cette réduction sera publiée par l’éditeur Jurgenson, avec cette note de Mme von Meck à l’éditeur : "Je vous demande de ne pas indiquer le nom de M. de Bussy (NB, dixit), car si J. Massenet en avait vent mon jeune homme se ferait gronder".

Elle a une réelle affection pour Debussy et c'est en pleurant qu’il quitte à 18 ans les von Meck (surtout l'une des filles, Sonia, pour laquelle il fit sa demande que von Meck refusa avec tact et la destinant alors à d’autres aspirations que nous vîmes, pour rentrer à Paris en novembre 1880. Le jeune musicien ne s’attend pas encore à décrocher, seulement armé et âgé de ses uniques 22 ans, le premier prix de Rome en 1884 avec sa cantate « L'Enfant prodigue ». Dont nous reparlerons.

Ce qui lui permet de rencontrer alors, entre nombreux autres, Liszt et Verdi.

Vêtu de blanc, c’est lui tout en haut de l’image - il ferait presque déjà penser à Johnny, tout en haut de l’échelle : French%20Photographer%20-%20Residents%20of%20Villa%20Medici%20in%20Rome%20photo%20sent%20and%20dedicated%20by%20Claude%20Debussy%20(1862-1918)%20to%20his%20parents%201884-85%20%20-%20(MeisterDrucke-92856).jpg

Je n’apprécie forcément pas toute sa texture mais sais en admirer tous les soins.

Son piano, chez son amie Lili Boulanger : piano-debussy-salon-lili-boulanger-c-daniele-molajoli.jpg
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Check en T !
Un apericube au camembert …:facepalm:
Mike Oldfield -To France


Petite anecdote concernant Debussy : lors d’une de mes pérégrinations parisiennes, appareil photo en main, j’arpente alors l’avenue Foch (16 ème arrondissement) lorsque j’avise une voie perpendiculaire avec de beaux hôtels particuliers au fond. Un solide portail fermé, des caméras de surveillance et une maison de gardien me dissuadent quelque peu lorsque soudain le portail s’ouvre pour laisser sortir une grosse berline.
Ni une ni deux, je m’engouffre dans le passage m’attendant à me faire alpaguer par le col à tout instant, mais non. Me voilà dans la place, mitraillant les beaux hôtels particuliers à tout va, jusqu’à ce que deux types sortants sur un balcon de pierre soutenu par deux têtes de lions magnifiquement sculptés m’ordonnent de dégager, ce que je fis illico presto.
De retour chez moi, j’enquête sur ces belles demeures pour en savoir plus. L’un des bâtiments (immense) était la maison de Marcel Pagnol.
Plus petit mais non dénué de charme, un autre hôtel particulier était la demeure de Debussy. Certainement sa dernière adresse puisqu’il est inhumé au cimetière de Passy (près de la place du Trocadéro).


59559
Check electro.



The Storm.

La tempête est un espoir.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

59560

Merci beaucoup Ouatisit de ce récit parfait ; Merci Point-virgule pour ce post.

Il en check encore à venir concernant Debussy, ainsi que nous le reverrons.


En la manière de l'un de ses admirateurs et en la personne de Sir Paul McCartney tentant ici de rassembler ce qu'auraient pu conjointement écrire Satie et Debussy de "nos" jours : "Temporary secretary : - Attention, certaines notes peuvent choquer :mrg:




:bravo:



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En autre registre et de mon ami Vincent Absil : "Trois pas dans le matin, je continue ma vie".
Personne n'check encore accordé sous le soleil des instruments mais "ça le fait" :