Qu'est ce qui vous fait plaisir automatiquement?
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pgirardot

je commence ?
- trouver un riff qui sonne térrible
- une jolie demoiselle qui te fait un sourire ds le métro...
- se faire une bonne déspé losrk'il fait bien chaud...
- se réveiller à coté de celle (celui) k'on aime
- être vendredi soir
voilou

sonicsnap


Ho'Dog

PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks
En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:

sonicsnap



Will Zégal

Ma douce fume. A la maison c'est sur le balcon. Mais ill arrive que l'odeur entre dans la maison et je déteste ça.
Pourtant, il arrive que je lui taxe une taff.
Faut dire que l'odeur du tabac et la sensation qu'on a en tirant une taff, c'est deux choses bien différentes. Même quand j'étais un gros fumeur, je n'aimais pas l'odeur du tabac.

sonicsnap


Rifki


sonicsnap

Par contre, quand je fumais, on me citait souvent en exemple des gens qui avaient fait comme toi (dont un de mes grand-pères.) Du coup, je me trouvais bien nul de ne pas arriver à faire la même chose. Mais j'ai réalisé plus tard qu'il y avait autant de raisons de fumer qu'il n'y a de fumeurs, du simple petit plaisir au profond repère de vie. Ce qui marche pour une personne n'est pas forcément reproductible à toutes les autres..

Will Zégal

Et ça dépend de tellement de facteurs : biologiques, psychologiques, à quel âge tu as commencé, as-tu eu des parents fumeurs (modèles, truc montré comme banal dès le berceau), etc.
Si on parle d'une autre drogue dure, pourquoi y a t-il des gens qui détestent l'alcool (le goût de l'alcool), des gens qui peuvent se prendre 3 cuites en 3 jours pour les fêtes (comme votre serviteur) et ne pas toucher un verre pendant des jours, voire des semaines, des gens qui sont alcooliques très jeunes, des gens qui décrochent et deviennent abstinents et d'autres qu'on enterre à 40 ans comme un copain d'une amis qui n'était même plus capable d'aller au boulot depuis un an ?
Pourquoi y a t-il des gens qui peuvent consommer d'autres drogues de façon festive tous les week-ends et sont clean le reste du temps et d'autres qui se font happer et deviennent des junkies ?
En plus, ce sont des choses que la recherche médicale étudie peu : il y a peu d'argent à y gratter.

kosmix

J'ai arrêté de fumer un jour d'un coup. Je suis parti sans me retourner. C'est la meilleure décision de ma vie. je ne ressens aucun manque. Que du plaisir.
Rhôôô trop fort le mec

En plus, ce sont des choses que la recherche médicale étudie peu : il y a peu d'argent à y gratter.
L'addictologie est une science relativement récente mais il existe des études. Après dans quelles proportions je l'ignore mais dans ma petite ville il y des addictologues et je connais aussi des chercheurs dans ce domaine. Mais on est plus dans le domaine psy que dans le médical pur. Y'a pas de solutions miracles à ces problèmes, pas de traitement.
Il y a 3 mois j'ai parlé à mon médecin du fait que j'avais repris la clope et que je souhaitais arrêter. Je pensais qu'il pourrait m'aider (il me l'avait précédemment proposé en me disant texto "on peut vous aider à arrêter"). Réponse : "non mais je sens que au fond de vous, vous n'avez pas vraiment envie d'arrêter. Donc on va dans le mur. Réfléchissez-y et revenez me voir le mois prochain."
Bon. J'en ai pas reparlé vu que j'en suis toujours au même point. Et je n'ai pas du tout eu l'impression d'avoir été aidé.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 09/01/2023 à 18:31:57 ]

Point-virgule

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

Will Zégal

Jaeko, c'est sans doute pas volontaire, mais tes propos sont aussi choquants que ceux d'un médecin qui dirait à quelqu'un qui n'arrive pas à maigrir "vous avez qu'à moins manger."
S'il suffisait de vouloir arrêter de fumer pour y arriver, ça se saurait. Et il y aurait beaucoup moins de fumeurs.
Si ça n'était qu'une question de volonté, il y aurait aussi beaucoup moins d'alcooliques, de drogués, etc.
On est HS, je m'arrête là, mais je ne voulais pas laisser passer ces propos sans rien dire.

Point-virgule

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
[ Dernière édition du message le 09/01/2023 à 20:42:39 ]

Will Zégal

Citation :Tu m'as mal compris.
Possible, mais je ne vois pas ce qui dans
Citation de Kosmix :Il y a 3 mois j'ai parlé à mon médecin du fait que j'avais repris la clope et que je souhaitais arrêter.
te fait penser à un manque de volonté.
Sinon, sur le fait qu'on ne puisse pas arrêté sans vraie volonté, nous sommes je pense tous d'accord.
Je trouve la réponse du médecin à chier. La bonne réponse pour moi aurait été : "qu'est-ce que je peux faire ? De quoi avez-vous besoin ? Puis-je vous conseiller d'aller voir tel ou tel spécialiste ou vous donner l'adresse du centre d'addictologie ?"

Point-virgule

non mais je sens que au fond de vous, vous n'avez pas vraiment envie d'arrêter. Donc on va dans le mur. Réfléchissez-y et revenez me voir le mois prochain.
Son médecin a l'air de douter, et s'il ne se trompe pas sur le diagnostic, je trouve sa remarque assez juste. Après, je ne parlerais pas de manque de volonté, mais d'une décision pas si facile qu'elle en a l'air.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫
[ Dernière édition du message le 09/01/2023 à 21:43:43 ]

Anonyme


kosmix

Le problème dans cette histoire c'est que je venais chercher de l'aide et que je pensais en trouver. À l'heure actuelle je n'ai même plus envie d'arrêter de fumer car il m'a découragé. Il y a une dizaine d'années j'avais réussi à arrêter de fumer, seul. Si j'avais été dans la même situation je n'en aurais même pas parlé à mon médecin, j'aurais arrêté par mes propres moyens, mais là je savais que j'allais avoir besoin d'aide alors je lui en ai parlé. Qu'il me prescrive juste des patches ça m'aurait suffit pour commencer l'épreuve. Mais bon il a peut-être raison, ça aurait probablement foiré. En tous cas maintenant j'attends d'être sûr d'avoir vraiment envie d'arrêter et pour le coup il m'en a coupé l'envie. Et je pense que quand j'aurais enfin vraiment envie d'arrêter, je me démerderai sans lui.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 10/01/2023 à 02:09:00 ]

Soot_and_Stars



Polaroil

"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Ho'Dog

Ça marche que si on le veut vraiment...
Arrêter, c'est pas une question de volonté, c'est une question de le vouloir....
À méditer

PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks
En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:

Rifki

J'ai décidé d'arrêter de boire de l'alcool. Cela me permettra de perdre du poids et le stabiliser. En plus ça tombe pile poil sur cette nouvelle tendance venue de Grande Bretagne qui s'appelle je crois le Dry Genery ou l'on ne boit pas pendant le mois de janvier. Donc je peux lire des articles citant les bénéfices sur la santé d'un tel régime. Cela me permettra de les évaluer sur moi.
A posteriori, je considères qu'arrêter de fumer ne m'a apporté que des bénéfices considérables sur ma santé et sur mon mental.

sonicsnap

Le jour sans tabac, le mois sans alcool, et le reste du temps, mettez vous en plein le cornet.. J'ai de gros doutes quant à l'utilité de ce genre de mesures.

Rifki

Oui peut être mais dans mon cas c'est définitif et avec les économies réalisées je pourrai acheter des cartons de mi aigu pour guitare classique ! MUHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !!!!!!!!
Vas-y casse petit Mi

Soot_and_Stars


Will Zégal

Citation de sonicsnap :Le jour sans tabac, le mois sans alcool, et le reste du temps, mettez vous en plein le cornet.. J'ai de gros doutes quant à l'utilité de ce genre de mesures.
Pas moi.
La jour sans tabac est une occasion de plus de mettre le doigt sur le problème. Les fumeurs qui y arrivent peuvent se dire "si je le fais un jour, pourquoi pas plus ?" (ce qui n'est pas une évidence, mais tous les tabacologues que j'ai entendus disent que chaque pas vers l'arrêt est bénéfique pour un futur arrêt).
Quant au moins sans alcool (j'ai un pote qui appelle ça le ramaliche), il permet à minima de vérifier son éventuelle dépendance. Il a aussi des bénéfices sur la santé et la forme qui sont toujours ça de gagnés et ils permettent aussi aux pratiquant.es de voir comment ils vivent sans alcool, par exemple dans les cas de socialisation, les sorties, etc. Ce qui peut montrer qu'on peut s'en passer et que c'est pas obligatoire.
Bon, c'est chaud quand même d'être abstinent. Autant il y a des gens dans mon cercle d'amis qui ne boivent pas ou quasiment pas et ça ne les empêche pas de sortir, de venir aux fêtes (même alcoolisées), autant tous les anciens alcooliques que je connais s'en abstiennent et ont dû changer leur vie sociale pour éviter la rechute.
Sans doute d'autant plus en Bretagne où la consommation d'alccol lors des soirées festives est profondément ancrée dans la culture.
Il y a même des milieux où c'est pas que pour les soirées festives. J'ai un pote qui a tout arrêté lorsqu'il a eu une hépatite. A l'ébahissement du corps médical qui n'y croyait pas d'ailleurs. Au point qu'ils lui ont demandé de venir témoigner à des congrès.
Mais ce pote a dû tourner le dos à plein de copains d'enfance qui ne supportaient littéralement pas qu'il se contente d'un café quand ils les retrouvait au bistrot et passaient leur temps à lui foutre la pression pour qu'il boive des bières.
C'est un phénomène qu'on trouve aussi dans les addictions aux drogues illégales. Les gens que je connais qui ont été accros, voire junkies ont tous carrément quitté leurs lieux de vie et leurs relations pour pouvoir s'en sortir.
Ils témoignent que leurs potes d'alors qui n'ont pas bougé sont toujours dedans... ceux qui sont encore en vie.

sonicsnap

Admettons. Mais oui, la pression sociale c'est très important.
[ Dernière édition du message le 10/01/2023 à 15:03:39 ]
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