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opinion Qu'est ce qui vous navre automatiquement ?

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Sujet de la discussion Qu'est ce qui vous navre automatiquement ?

Bon, celui-là il me manquait comme thread.

J'ai mis longtemps à le conceptualiser, mais là, je crois que c'est bon.

C'est parti...

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

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56401
Les USA sont depuis leur fondation un pays de violence qui n'a connu QUE 20 ans sans conflits internes ou externes ! Est-ce du à la mentalité protestante ? A une émigration navrante depuis le reste du Monde ? ....... " le pays de la Liberté " autoproclamé là ou le port d'armes est autorisée , là ou ne pas être vraiment blanc est déjà un délit .... là ou tu peut être nazi assumé mais pas communiste ! Ce pays ne mérite pas d'être sauvé

"The music business is a cruel and shallow money trench, a long plastic hallway where thieves and pimps run free, and good men die like dogs..............

There's also a negative side."

56402
Le pays je sais pas (ça reste une "propriété" arbitraire), mais ses habitants, notamment les personnes qui souffrent de ça, peut-être bien, quand même...
56403
Citation de venuxdeluxe :
là ou tu peut être nazi assumé mais pas communiste

A la télévision, à toute heure du jour ou de la nuit, tu peux montrer un mec se faire ouvrir en deux, avec du sang et des tripes qui giclent. Tu peux montrer un homme attaquer et violer une nana. Tu peux entendre distinctement deux gars s'insulter, et insulter leurs mères respectives. Tu peux avoir un long plan séquence sur un flingue posé sur une temps avec le propriétaire de la tempe qui se fait bâcher par le propriétaire du flingue parce qu'il se pisse dessus. Tu peux montrer des mises à mort, des tournantes, des viols collectifs, des bagarres, du sang.

Mais si tu montres une paire de fesses, une bite ou une chatte, tu es puni. Parce que ça peut choquer les gens.

Alors bon. Ne la ramenons pas trop sur le thème de l'ouverture d'esprit. On est aussi débiles que les autres avec nos interdictions et nos autorisations à la noix.

T'es pas obligé d'écouter toutes les conneries de DaRinze  .  Clip SONIC ON LOVE YOU

EcEcoutez Sonic "On Love You"

[ Dernière édition du message le 12/06/2025 à 16:48:58 ]

56404
C'est le pays de la liberté mais c'est aussi un pays de flics ; fédéraux, Etats, villes, comtés ; je suis allé en famille aux États-Unis vers 1990, le document à remplir pour le service frontalier et douanier était d'une longueur et d'un nombre de questions hallucinants.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

56405
Citation :
le document à remplir pour le service frontalier et douanier était d'une longueur et d'un nombre de questions hallucinants.


OUI du genre " venez vous commettre des attentats ? " " venez vous tuer le président ? " " êtes vous trafiquant de drogues " " êtes vous ou avez vous été membre du parti communiste ! "

Des connards vous dis-je !

J'ai le souvenir du mec de l'immigration à JFK , le regard suspicieux , la mine renfrognée , désagréable au possible , ne parlant que l'anglo-amerloque , me toisant et regardant mon visa permanent me dis " c'est un nom pas français çà ? " ....Lui s'appelait Rodriguez .....

Le douanier en suivant , était un bon gros noir assez balèze , tout sourire et me souhaitant la bienvenue !

"The music business is a cruel and shallow money trench, a long plastic hallway where thieves and pimps run free, and good men die like dogs..............

There's also a negative side."

56406
Je viens de regarder Adolescence, laissé de coté pour plus d'actualités.
Petit analyse à chaud et lacunaire, ça vaut ce que ça vaut, j'ai pas pris le temps de digérer.
(je vais pas décrire la série en détail, mais je vais spoiler des moments de bascules)
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suite

[ Dernière édition du message le 13/06/2025 à 00:59:11 ]

56407
Merci Ikto

T'es pas obligé d'écouter toutes les conneries de DaRinze  .  Clip SONIC ON LOVE YOU

EcEcoutez Sonic "On Love You"

56408
On a échangé avec ma collègue : il y a plein de choses encore que j'aurais pu aborder dans mon post
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suite

Bref... série qui brasse TRÈS large, en ne faisant qu'effleurer les évocations... C'est un préambule.
Je pense que c'est un très bonne base pour des parents un peu perdus comme l'enquêteur... encadré avec des jeunes adultes, lycéens, pas vraiment pour des collégiens ou primaires.

PS : j'ai de plus en plus de problème avec l'évocation de la "masculinité toxique" lié directement avec la jeunesse. Je pense pouvoir affirmer que ça touche n'importe quel age, avec exactement la même perméabilité à ces discours...

PS2 : les médias aussi, qui selon moi sont accablants pour les jeunes. Quand ils sont évoqués dans les grands médias, c'est soit en tant que victimes, soit en tant que monstres, sauvages, etc... (et ça me fait de plus en plus penser à cette "expérience", qui vaut ce qu'elle vaut, mais qui affichait un constat tout à fait vérifié depuis longtemps)

[ Dernière édition du message le 13/06/2025 à 12:55:02 ]

56409
J'ai regardé la série d'un trait ......J'y ai reconnu mes ados , le crime en moins toutefois ! J'ai surtout compris que les adultes sont totalement " étranger " au monde des ados , leurs codes , leurs langages , leurs perceptions du Monde ..... Je me demande si des ados regardant cette série ne vont pas mourir de rire ? Et puis il y a une distorsion entre le système éducatif et punitif anglais et ce que je connais du système français .

"The music business is a cruel and shallow money trench, a long plastic hallway where thieves and pimps run free, and good men die like dogs..............

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56410
Oui c'est ce que je crains en montrant cette série à des collégiens ou plus jeunes encore : je pense que même ceux qui restent extérieurs aux mouvances mascu en savent plus que ce qui est évoqué dans cette série. Elle ne s'adresse pas à eux.
En revanche même si le système éducatif anglais est bien différent, je vois un parallèle criant avec le système français : des profs et des agents livrés à eux-même, sans moyens, sans formation, sans encadrement, sans aide...
56411
Montrer la série ne suffit pas !
Il y a un impératif de dialogue derrière, de debriefing.
La série, le scénario ne sont que les planches d'envol pour amorcer ces débats.
La série n'a jamais eu pou but d'être un documentaire complet à destination des collégiens, à utiliser tel quel sans sucres ajoutés.

T'es pas obligé d'écouter toutes les conneries de DaRinze  .  Clip SONIC ON LOVE YOU

EcEcoutez Sonic "On Love You"

56412
Je pense que c'est à peu près vrai pour tout document(aire) à visée éducative. Espérer qu'un livre, un film, une série suffise à édifier quiconque, c'est carrément léger. Cela ne peut être qu'un moyen d'ouvrir la discussion et les échanges.
Et dans le cas d'ados, si possible les laisser plutôt au maximum discuter entre eux. Il n'y a pas d'âge pour que l'horizotalité soit 100 fois plus efficace que la verticalité descendante. Et puis, c'est pas mal de faire confiance aux ados pour aborder les problèmes qui les concernent vu qu'ils sont tout à fait capables de s'en saisir. Pas plus mal d'un·e prof de français ou d'EPS.
56413
Ah, alors, oui et non. Ça dépend des groupes, des dynamiques, des périodes de l'année et des horaires. Souvent, c'est enthousiasmant, ils font tout émerger collectivement mais cela peut aussi déboucher au contraire sur une spirale négative. Dans tous les cas, l'enseignant ou l'intervenant doit donner un cadre, un scenario ; aucun ne l'ignore, un même cours peut donner des résultats complètement opposés selon les conditions que j'ai citées en préambule. D'autre part, concernant les questions de société, vous n'imaginez pas toute la palette de ce qu'on peut entendre de la part des élèves, dont de l'ignorance abyssale, du conservatisme arriéré (par exemple, légitimer la peine de mort), et surtout, surtout, beaucoup de conformisme ; l'inverse est également vrai, bien sûr, mais je vous assure qu'il faut être prêt à accueillir toutes les paroles et opinions ; des plus trashs aux plus idéales ; qu'il faut pouvoir les mettre en forme ; trouver les bonnes questions et pratiques pour faire réfléchir, faire apparaître les contradictions voire faire bouger les lignes.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

[ Dernière édition du message le 13/06/2025 à 15:08:30 ]

56414
Citation :
Dans tous les cas, l'enseignant ou l'intervenant doit donner un cadre, un scenario.

Oui. Je n'ai pas dit qu'il fallait les laisser livrés à eux-mêmes.
56415
Oui, c'est exact mais je t'assure que le dialogue entre eux, c'est souvent quitte ou double, ou juste infructueux. Il faut aussi se rappeler qu'ils ont un emploi du temps fort chargé, contraint, et nous de même ; des effectifs de plus en plus nombreux par classe ; donc, àmendonné, c'est hélas l'efficacité et la verticalité qui priment sur l'horizontalité et le débat. Mais les observations des élèves, leurs échanges, ce qui est montant, sont le plus précieux des leviers pédaogiques. :clin:

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

[ Dernière édition du message le 13/06/2025 à 15:14:06 ]

56416
C'est pas pour rien si l'infirmière (1 pour 1000 en moyenne) ainsi que l'équipe pédago (notamment les CPE) passent leur temps à prendre des info de toutes parts (pas uniquement les élèves impliqués) pour faire ressortir les problèmes naissants, les dynamiques de harcèlement, enrayer des cercles infernaux de montées en tension, en vengeances et autres "radicalismes". (et dans mon bahut de 700 étudiants, avec je dirais une proportion de 50% non blanche, dont des réfugiés, de guerre entre autre, ce qui semble le plus inquiétant actuellement, c'est la pénétration des discours d'extrême-droite)

Et concernant ma collègue documentaliste, ce qui fait le plus défaut effectivement, ce sont les moyens (encore plus faibles que mon budget produits d'entretien), le temps (déjà très chargé), et le soutien (elle fait quasiment tout toute seule)... Hors petites tables rondes sur des points plus médicaux (drogues, mst, sommeil et téléphones, contraception) plutôt entre les mains de l'infirmière, tout ce qui touche aux dynamiques de groupe violentes et aux discours de haines, c'est la documentaliste qui gère seule, et je trouve pas ça terrible... (on fait par exemple venir 1 fois l'an depuis 2 ans une petite troupe de théâtre qui présente un jeu de rôle "amourettes en vacances" en évoquant l'emprise, la reconnaissance d'une violence, le consentement, etc...
C'est le grand minimum, et rien que ça c'est compliqué...

Sinon quand je parlais de ne pas montrer la série à des très jeunes (collégiens et avant), je parlais même avec encadrement. Cette série s'adresse de mon point de vue clairement à des gens qui découvrent toute cette "manosphère", et face à des jeunes qui y sont confrontés depuis des mois sinon des années, crédibilité zéro, même en ramant derrière pour broder autour de ces points.
En revanche, ce qu'on a évoqué avec ma collègues, c'est peut-être isoler des passages précis pour discuter de points précis (plutôt que brasser tellement large que ça sera impossible de cadrer les discutions pour qu'elles soient fructueuses). Par exemple des passages précis de la discussion entre le jeune et la psy, avec certains revirements violents, ou certains rapports clairement dans la séduction, ou la domination...
La mise en scène de cette série, malgré le plan séquence permanent, en fait une suite de myriade de séquences isolables facilement pour aborder quantité de sujets ainsi illustrés.

Mais je rejoins point virgule : faut la bonne dynamique de classe, le bon moment, la bonne période de l'année, les bonnes contextualisations et approches...

Hier 1 minute de silence pour Mélanie, surveillante de 31 ans, poignardée parce-que le jeune a été vexé d'être repris la veille par une autre surveillante... il lui fallait en tuer une "n'importe laquelle". On n'était pas avec la totalité de nos élèves, mais j'ai trouvé l'ensemble peut-être plus affectés que d'habitude, moins de sourires mi-gênés, mi-amusés, plus de têtes baissées, peut-être à force de répétition de ces drames... Mais inutile de tenter d'organiser quoi que ce soit après les examens et si proche des grandes vacances...

[ Dernière édition du message le 13/06/2025 à 16:26:58 ]

56417
Ouais, spas facile.

Sur mon bahut on a un dispositif anti-harcèlement, avec formations et référents qui, après deux ans, de l'avis même des collègues n'est pas encore au point – la violence des enfants peut-être terrible, la loi du talion a une bonne dent, si j'ose dire ; je pense que l'enchaînement covid et réseaux sociaux a fait beaucoup de mal ; que les parents ont des attentes très tendues à l'égard de l'école, voyant bien que ça se corse dans le monde du travail.

Sinon, on a une association qui intervient deux fois une heure pour tous les niveaux, si je ne dis pas de conneries, et qui sensibilise à toutes les questions de sexualité, de genre, etc. Ils sont supers mais ça ne passe pas toujours facilement auprès des élèves.

Les profs sont dans l'ensemble impitoyables sur ces questions de respect entre élèves et ces derniers connaissent la définition du mot sexisme. Y a de l'espoir quand même mais l'école ne peut pas tout, enfin, pas telle qu'elle existe actuellement.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

[ Dernière édition du message le 13/06/2025 à 16:44:43 ]

56418
Citation :
tout ce qui touche aux dynamiques de groupe violentes et aux discours de haines, c'est la documentaliste qui gère seule, et je trouve pas ça terrible

Il y en a marre des critiques stériles. C'est quand même pourtant évident qu'une documentaliste est parfaitement formée à tout ce qui est prévention, notamment ce qui peut concerner le harcèlement, la radicalisation, etc.
Et qu'en plus, elle n'a que ça à foutre. À part dépoussiérer quelques bouquins de temps en temps et recoller des couvertures.

De toute façon, vu que les profs de math peuvent remplacer les profs d'histoire et que les profs d'anglais peuvent remplacer les profs de sport (après tout, il y a besoin de quoi comme compétences pour faire tourner 35 gamins en rond autour d'un stade ?), je ne vois même pas pourquoi un agent d'entretien ne pourrait pas donner les cours d'éducation sexuelle ou qu'un économe ne pourrait pas s'occuper de déradicalisation.

Espèce de gauchiasse-wokiste-islamogauchiste-fonctionnaire-éducnat. :oops2:
56419
à notre dame de Betharam , le cureton enseignait le " sexe au logis " ..... et la physique , quand même .:facepalm:

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56420
Je me pose quand même la question d'où vient l’ambiance de merde qui pousse les enfants à devenir con ?
56421
Des parents cons :noidea:

[ Dernière édition du message le 13/06/2025 à 23:45:22 ]

56422
D'où vient l’ambiance de merde qui pousse les parents à être cons ?
56423
Bah spa compliqué.

Avant, pas d’éducation sexuelle : on avait du respect, sinon de la gêne.

Résumé : de 1918 à 1973 : pas d’éducation sexuelle : on avait du respect, sinon de la gêne pour approcher l' "autre".
1968, abolition des carcans.
Bilan : 50 ans après, si le môme parle à une fille autrement que par écrans, direct elle porte plainte.

Alors, certes : du statut de Mme Pipi elle sera propulsée au vénérable rang de technicienne de surface, et de "femme à tout" successivement à pion, puis surveillante, pour aboutir au statut d' "assistante d’éducation". A quand, donc : « ministresse des collèges » !

J’m'en va vous dire un truc.

Dans mes années, oui : l’on brocardait les nanas. Pour faire comme les papas. Pensons-nous sérieusement qu’elles n'en fissent pas de même à notre propre encontre de leur côté ainsi que leurs mamans ! N’empêche qu’on pouvait les approcher.

De nos jours, au motif d’une éducation prétendument sexuelle, hop ! : à treize ans tu te retrouves en garde à vue si jamais t’as osé faire savoir tes sentiments.
Eh ben merde, je les plains.

Oui, nos blagues - et les leurs - seraient factuellement de nos jours affublés de l'adjectif : "douteuses". Mais en toute innocence il ne nous arrivait pas de penser à mal ni, encore moins, de penser à meurtre.
A tout prendre, le con en devenir que je suis préfère encore le Marseille de Fernandel, celui de Prévert ou de Pagnol à celui advenu de nos jours pour cause d’idées simplistes qui allaient, absolument, tout nous arranger.

Et c'est, formellement, navrant.



56424
Citation :
il ne nous arrivait pas de penser à mal ni, encore moins, de penser à meurtre.

C'est sûr : aucun homme ne commettait de meurtre sur sa femme auparavant : c'était juste qualfié de "crime passionnel" et donc souvent absout. De toute façon, les statistiques ne sont faites que depuis une vingtaine d'années.
Les bonnes femmes étaient bien sagement à la maison de toute façon. Et si monsieur tapait dessus, c'était dans l'ordre des choses. Madame était légalement soumise à son époux. Jusqu'en 1938, la femme était légalement considérée comme mineure et monsieur est resté le chef de famille jusqu'en 1970 et les époux n'ont été légalement égaux qu'à partir de 1985.
Et s'il la baisait sans son autorisation, c'était normal, ça s'appelle le devoir conjugal (c'est toujours dans la loi, mais contrebalancé par la pénalisation du viol conjugal depuis 2006 seulement).

Bref, t'as raison, c'était le bon vieux temps. Qu'est-ce qu'on a été cons de laisser ses connasses réclamer des droits. Maintenant, pour les baiser ou leur foutre une main au cul, il faut d'abord s'assurer qu'elles sont d'accord. Mais où va t-on ?

[ Dernière édition du message le 14/06/2025 à 08:32:59 ]

56425
Hit je suis désolé mais, quand bien même je relève rarement tes posts de ce genre (je préfère les ignorer à force), ils sont TELLEMENT hors sols... C'est atterrant... Certes tu étais tu bon coté du gland il y a 50 ans, mais quand même, quel aveuglement !
Tu étais parfaitement respectueux et ne pensais jamais à mal ni à crime ? Très bien, c'est le minimum en fait. Mais les autres ? Je ne suis pas certain qu'il y avait 25 millions de Hit dans la population...

Citation de Hit ! :
De nos jours, au motif d’une éducation prétendument sexuelle, hop ! : à treize ans tu te retrouves en garde à vue si jamais t’as osé faire savoir tes sentiments.


As-tu seulement une source (même si ton propos dénonce clairement un systématisme) montrant ça ? Tu parle donc bien d'un simple "dévoilement de sentiment", sans mépris, sans propos dégradant, sans insulte, sans violence, sans dick pick, sans contact physique non consentit, on est bien d'accords ? (et donc sans agression sexuelle, qualifiable ainsi à partir d'un contact physique non consentit, et manifestement volontaire, sur la bouche, les seins, l'intérieur des cuisses, les fesses ou le sexe -n'oublions pas les hommes qui agressent d'autres hommes-)

PS : je ne rappellerais jamais assez que la moitié des victimes d'agressions sexuelles et de viols sont mineurs (environ 160.000 par ANS), et que dans 90 pourcents des cas, c'est un proche de la FAMILLE. (et bien souvent pas mineur du tout)

PS2 : re-contextualisation de la fameuse libération sexuelle de 68... elle a été surtout une libération pour les HOMMES. Les femmes l'ont payé cher les quelques années, sinon décennies qui ont suivi...

PS3: et ton post est accessoirement infiniment politique, quand bien même pas spécialement encarté, et même si tu n'en a pas l'impression.

[ Dernière édition du message le 14/06/2025 à 08:59:40 ]