opinion Qu'est ce qui vous navre automatiquement ?
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Ah oui la conversation poly/para était… déconcertante (histoire d’être correct dans le terme).
Push-Pull
20095
Vie après AF ?
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iktomi
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Coramel
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Ah oui la conversation poly/para était… déconcertante (histoire d’être correct dans le terme).
Will Zégal
75067
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Une ville voisine a eu la bonne idée d'installer dans un coin sympa le long du fleuve des infrastructures pour une guinguette, avec un appel aux associations pour assurer des animations là une fois par semaine.
(enfin, c'est pas vraiment la ville qui a eu l'idée : c'est sorti premier du "budget participatif")
Avec mon collectif techno, on se pose candidats pour le 11 août. Donc demain. Candidature posée début juillet car j'avais besoin d'une certaine visibilité sur mon planning.
C'est moi qui fais la demande. Les contacts sont donc moi et comme représentant officiel, un collègue du collectif co-président de l'asso. (moi je ne suis pas au CA, notamment pour que l'asso puisse me verser des cachets sans que ça fasse sourciller les instances officielles)
Le temps passe, pas de réponse. Le collègue et moi, on surveille nos mails, nos spams... rien.
La mairie nous avait informés qu'ils donnaient la priorité aux associations de la ville. OK.
Donc, notre assoc hors ville + musique techno, on se dit que c'est mort.
Cela faisait une quinzaine de jours que je voulais appeler la mairie pour leur dire que quand même, une réponse même négative aurait été la moindre des choses. C'est l'été, tout le monde est très sollicité et on ne peut pas bloquer nos bénévoles sur une date hypothétique.
Hier, mon collègue reçoit un coup de fil de la mairie en question pour voir avec lui les détails pour la mise à disposition de la guinguette demain.
La nana s'excuse de l'appel tardif, mais elle reprend le boulot derrière sa collègue partie en vacances.
Elle affirme avoir envoyé un mail le 28 juillet. On a jamais rien reçu, mais un mail le 28 juillet pour une organisation 14 jours plus tard, ça reste un peu cavalier tout de même.
On s'est demandé si on tentait quand même le coup en faisant le tour des potes éventuellement dispos pour l'accueil et la buvette et des zicos et DJs envisagés pour jouer au cas où on aurait finalement assez de monde, mais la sono du collectif est déjà partie à l'autre bout de la région pour le mariage prochain d'un copain.
De toutes façons, hier, ma douce s'est testée positive au COVID. Quand ça veut pas...
(enfin, c'est pas vraiment la ville qui a eu l'idée : c'est sorti premier du "budget participatif")
Avec mon collectif techno, on se pose candidats pour le 11 août. Donc demain. Candidature posée début juillet car j'avais besoin d'une certaine visibilité sur mon planning.
C'est moi qui fais la demande. Les contacts sont donc moi et comme représentant officiel, un collègue du collectif co-président de l'asso. (moi je ne suis pas au CA, notamment pour que l'asso puisse me verser des cachets sans que ça fasse sourciller les instances officielles)
Le temps passe, pas de réponse. Le collègue et moi, on surveille nos mails, nos spams... rien.
La mairie nous avait informés qu'ils donnaient la priorité aux associations de la ville. OK.
Donc, notre assoc hors ville + musique techno, on se dit que c'est mort.
Cela faisait une quinzaine de jours que je voulais appeler la mairie pour leur dire que quand même, une réponse même négative aurait été la moindre des choses. C'est l'été, tout le monde est très sollicité et on ne peut pas bloquer nos bénévoles sur une date hypothétique.
Hier, mon collègue reçoit un coup de fil de la mairie en question pour voir avec lui les détails pour la mise à disposition de la guinguette demain.
La nana s'excuse de l'appel tardif, mais elle reprend le boulot derrière sa collègue partie en vacances.
Elle affirme avoir envoyé un mail le 28 juillet. On a jamais rien reçu, mais un mail le 28 juillet pour une organisation 14 jours plus tard, ça reste un peu cavalier tout de même.
On s'est demandé si on tentait quand même le coup en faisant le tour des potes éventuellement dispos pour l'accueil et la buvette et des zicos et DJs envisagés pour jouer au cas où on aurait finalement assez de monde, mais la sono du collectif est déjà partie à l'autre bout de la région pour le mariage prochain d'un copain.
De toutes façons, hier, ma douce s'est testée positive au COVID. Quand ça veut pas...
Will Zégal
75067
Will Zégal
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Évidemment il y a des exceptions. D'ailleurs dès que Will repassera par là il ne manquera pas de me rappeler qu'on ne fait pas une généralité d'un seul cas 
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
Will Zégal
75067
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Je rappellerais plutôt que "ne pas avoir un métier très stressant" devrait plutôt être la norme.
Je ne connais pas énormément de fonctionnaires municipaux, mais la plupart de ceux que je connais, directement ou pour avoir affaire à eux, sont visiblement engagés dans leur métier et leurs missions et font tout ce qu'ils peuvent pour faire au mieux. Mais sans pour autant se tuer au boulot, en respectant plus ou moins leurs horaires, etc.
Rien de plus normal en somme. Mais la norme est tellement devenue de bosser la tête dans le guidon, de dépasser ses heures et, pour certains, de sacrifier sa vie privée ou sa santé aux exigences du travail qu'on finirait pas en vouloir à des gens qui font "juste" bien leur boulot.
Il y en a aussi qui se défoncent vraiment, notamment des cadres qui n'ont parfois pas beaucoup de soirées à la maison entre les diverses réunion qu'ils ont souvent le soir. Et il y a comme partout des branleurs (ou branleuses) qui mériteraient des baffes et la porte avec un coup de pieds au cul. Je pense notamment aux deux nanas du service d'insalubrité de ma ville (l'une est pourtant la femme d'un copain) dont la légèreté (pour rester soft) avec laquelle elles semblent traiter leur travail est quasi criminelle.
Concernant l'anecdote que j'ai rapportée, je me garderais de jeter la pierre aux personnes. D'une c'est un truc tout nouveau. De deux, ça a été mis en place tardivement (l'appel a été publié fin juin seulement). De trois on est effectivement l'été en période de congés.
On peut se dire qu'ils auraient dû plus anticiper, mais n'étant ni dans les services, ni ne connaissant dans le privé de personne impliquée dans ce projet, je ne peux pas présager d'à quel volume de travail et quels projets habituels celui ci s'est rajouté, à quelle décision ou validation d'élu.e(s) il était suspendu pour pouvoir avancer (le contact donné pour postulé était directement... l'adjointe à la culture)... bref, tous les possibles obstacles qui ont pu rendre l'organisation peu efficace.
Ce qui me navre, c'est qu'on avait anticipé il y a plusieurs semaines avec une belle bande de bénévoles très aguéris à ce genre d'évènements et aux capacités d'accueil très cools et un panel de musiciens et DJs de qualité. Sans compter tout ce qu'il faut en sono et pas mal de déco pour que ça ait de la gueule. On espérait faire ce truc qui aurait été une soirée très sympa.
Espérons que ça sera pour l'année prochaine. Avec un tout petit peu plus d'anticipation.
Je ne connais pas énormément de fonctionnaires municipaux, mais la plupart de ceux que je connais, directement ou pour avoir affaire à eux, sont visiblement engagés dans leur métier et leurs missions et font tout ce qu'ils peuvent pour faire au mieux. Mais sans pour autant se tuer au boulot, en respectant plus ou moins leurs horaires, etc.
Rien de plus normal en somme. Mais la norme est tellement devenue de bosser la tête dans le guidon, de dépasser ses heures et, pour certains, de sacrifier sa vie privée ou sa santé aux exigences du travail qu'on finirait pas en vouloir à des gens qui font "juste" bien leur boulot.
Il y en a aussi qui se défoncent vraiment, notamment des cadres qui n'ont parfois pas beaucoup de soirées à la maison entre les diverses réunion qu'ils ont souvent le soir. Et il y a comme partout des branleurs (ou branleuses) qui mériteraient des baffes et la porte avec un coup de pieds au cul. Je pense notamment aux deux nanas du service d'insalubrité de ma ville (l'une est pourtant la femme d'un copain) dont la légèreté (pour rester soft) avec laquelle elles semblent traiter leur travail est quasi criminelle.
Concernant l'anecdote que j'ai rapportée, je me garderais de jeter la pierre aux personnes. D'une c'est un truc tout nouveau. De deux, ça a été mis en place tardivement (l'appel a été publié fin juin seulement). De trois on est effectivement l'été en période de congés.
On peut se dire qu'ils auraient dû plus anticiper, mais n'étant ni dans les services, ni ne connaissant dans le privé de personne impliquée dans ce projet, je ne peux pas présager d'à quel volume de travail et quels projets habituels celui ci s'est rajouté, à quelle décision ou validation d'élu.e(s) il était suspendu pour pouvoir avancer (le contact donné pour postulé était directement... l'adjointe à la culture)... bref, tous les possibles obstacles qui ont pu rendre l'organisation peu efficace.
Ce qui me navre, c'est qu'on avait anticipé il y a plusieurs semaines avec une belle bande de bénévoles très aguéris à ce genre d'évènements et aux capacités d'accueil très cools et un panel de musiciens et DJs de qualité. Sans compter tout ce qu'il faut en sono et pas mal de déco pour que ça ait de la gueule. On espérait faire ce truc qui aurait été une soirée très sympa.
Espérons que ça sera pour l'année prochaine. Avec un tout petit peu plus d'anticipation.
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