La différence il me semble que c'est que comme la Main coon est hyper sélectionné, ça en fait un animal fragile qui peut chopper pas mal de maladies. Alors que le truc norvégien, c'est moins de consanguinité et donc un truc plus robuste.
Dans le cas qui nous intéresse, Gérard avait l’habitude de dormir et vivre dehors, dans le « sud du nord » de la Suède. Donc températures frôlant les -30 régulièrement. Aussi, il grimpe aux arbres à la même vitesse qu’il trottine ; ça fait d’ailleurs un drôle d’effet de le voir continuer son chemin tranquillement, mais vertical.
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
Dr Pouet
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79207Posté le 24/02/2018 à 13:09:23
Citation :
Aussi, il grimpe aux arbres à la même vitesse qu’il trottine ; ça fait d’ailleurs un drôle d’effet de le voir continuer son chemin tranquillement, mais vertical.
Dans le cas qui nous intéresse, Gérard avait l’habitude de dormir et vivre dehors, dans le « sud du nord » de la Suède. Donc températures frôlant les -30 régulièrement. Aussi, il grimpe aux arbres à la même vitesse qu’il trottine ; ça fait d’ailleurs un drôle d’effet de le voir continuer son chemin tranquillement, mais vertical.
il me semble que le plus doué des félins pour la progression verticale (sans appui sur un arbre) est le caracal qui chope les oiseaux en vol (3m en détente verticale ou quelque chose comme ça....)