Vos rèves chelous
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Anonyme

Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue

Anonyme

Le mec c'est tihouss en fait. Moi jlui dis, ptain salut tihouss, pourquoi tu m'as pas contacté directement par AF, lui non je ne vous connais pas monsieur, j'ai eu votre numéro par Mr Machin, et AF ça me dit rien, mais kestu racontes tihouss, on s'est vu chez polen, je connais pas de polen.
Bref ça a duré comme ça un temps probablement infini. Et la pub c'était pour une voiture Dodge de marque Chevrolet (sic).
Me souviens que dans la seconde où jme suis réveillé, et où on sait plus si le rêve est réel ou pas, jme suis dit que j'allais copieusement le pourrir sur AF, le blondin, et que ça serait pas volé.

Alx33

Quand je conduis pas j'ai peur.

Javier Guante Hermoso



Anonyme

ça m'est arrivé quelques fois d'être sur les nerfs pendant 2-3h à cause d'un rêve qui s'est mal passé, assez fascinant.
Ca ou de se réveiller transi d'amour, puis ben non en fait...

Javier Guante Hermoso


sqoqo

Je suis assis sur une digue..à mes côtés, une fille de mon amphi..ça rigole et se taquine et hop, bascule en arrière et on tombe à la renverse sur le sable, deux mètres plus bas..
Réveil.
Un peu interloqué, je prends conscience que j'en étais tombé amoureux, et que mon cerveau, sans beaucoup se fouler faut dire, venait de me le signifier.

Electro-Phoenix

là pour le coup le message était clair. dans la majorité des rêve c'était pas toujours le cas.
Et alors....
non, parce que du coup, on veut la suite de ton histoire, sqoqo
Eternal NOOB !! Why not
MUSIC is Drug. Drug of LIFE !
tapé,Tapé, TAPEEEEE !!!!

dana12

Et alors....xHors sujet :non, parce que du coup, on veut la suite de ton histoire, sqoqo
je plussoie fortement

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

gloglo125

Citation :Et bien la donzelle était italienne, et il l'a retrouvée par hasard dans un camping...non, parce que du coup, on veut la suite de ton histoire, sqoqo
'voyez la dune là-bas ?... Ben derrière, y'a les plus belles roses des sables de tout le Niger... Eh ben elle a voulu aller voir !

deozza


En plus de ne pas en avoir eu depuis longtemps, jcrois que je n'en ai jamais fait autant d'affile.
Le chien aboie mais n'invente pas le fil à décongeler le beurre.
Les 6l6, des lampes qui nous éclairaient

Javier Guante Hermoso


deozza

Le chien aboie mais n'invente pas le fil à décongeler le beurre.
Les 6l6, des lampes qui nous éclairaient

Anonyme

Me souviens absolument plus du tout du rêve, juste qu'au moment de revenir en métropole, ma copine me demandait, pourquoi on est pas passé voir El Migo, je lui demandais non sans raison ni appréhension comment et pourquoi elle le connaissait.
Me souviens que dans la seconde qui a suivi mon réveil, j'étais chaud pour aller péter la gueule du Migo.


-Livingroom-


dana12


Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

azemazer

Dans ce que je vendais, y'avait plein de trucs du genre des vieux livres, des bandes dessinées autour de Star Wars ou trucs de geek d'années 80. Entre autre, un bouquin relié avec couverture en cuir noir.
Je prends ce bouquin sur lequel y'a rien d'écrit. Je l'ouvre, et je lis. En haut, une date: 1984. L'écriture de mon père, qui décrit d'une façon romancée sa journée passée auprès de ma mère, sur un ton léger et heureux. Aussi j'y trouve une photographie de mes parents, jeunes et souriants.
Je vais à la fin du livre et j'y vois une note: "2017 était une bonne année. Espérons que 2018 en sera une encore meilleure!" avec tout plein de photos de mes frères et soeurs de la vie de tous les jours.
Je me demande pourquoi il vend ce livre, mais le lire me rend heureux (en vrai, mes parents ne s'entendent plus depuis belle lurette mais ils sont toujours ensemble par "habitude").
Enfin, le soleil commence à se coucher, alors je rentre. Je suis dans la ville de mes grands-parents maternels. A un moment, je suis obligé de prendre un chemin de terre ocre poudreuse avec sur ma gauche, un grand mur, et sur ma droite, un grand grillage. Et sur le chemin, tout plein de travaux avec des engins en tout genre. Je manque de me faire écraser plein de fois en traversant ce chemin.
A un moment, je peux pas passer parce qu'un engin prend toute la place. Un ouvrier me fait signe de le suivre; pour passer, il faut que je grimpe dans un espèce de grand tube métallique avec des trous de la taille de mon pouce, de temps en temps, pour respirer.
Alors je grimpe, je grimpe, et ça dure pas mal de temps. Au bout d'un moment, le tube suspendu à plusieurs mètres du sol se termine en cul-de-sac. Je lui dit "mais c'est où la sortie?" et il me dit qu'on la manquée. Alors on est parti pour rebrousser chemin.
Au bout d'un moment y'a une trappe sur le sol du tube, qu'il ouvre. On est quand même assez haut du sol, mais il saute et atterri dans la terre poudreuse, qui amortit sa chute. Il me fait signe de sauter aussi, alors je saute, pas très confiant.
Et là, je vois ma tête tomber alors que moi je reste en haut, et je ne tombe moi-même qu'une seconde plus tard. Une fois tombé, je fouille frénétiquement la terre pour retrouver ma tête, ce que je fais. C'est dégueulasse, y'a un bout de cerveau, ma langue, ainsi que des vaisseaux qui pendent. Je me sens partir, j'essaye de remettre ma tête sur mon corps, mais rien n'y fait, je meurs.
Et je me réveille

quoi? musique? ah, tu as dit vie. bah, c'est pareil, non?

Rifki



will_bru


In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

KoalaMan

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

will_bru


In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

KoalaMan


Mais ma femme s'appelle Micheline Pirelli, ça doit jouer dans mon commentaire.
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

will_bru

Je me suis réveillé en sueur. C'était super angoissant (et pourtant j'ai fait des rêves largement plus angoissants au niveau visuel ou situations, mais celui là, j'avais l'impression d'être Sisyphe.)
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

sqoqo

Ouais.
Et qu'à un moment, arrivait la musique de "Bad" de M. Jackson

Que j'identifiais pas , parce que dans un arrangement un peu rock.
Mon grand-père trouve ça trop fort...je cherche la télécommande pour baisser..et là il dit "c'est violent !"
Mais non lui rétorque-je, ça c'est violent ...et j'ai souvenir de mettre du Obituary à fond les ballons.
(Que c'est bête

À ce stade, c'est quand même déjà un rêve bien merdiquement chelou.
Et sans transition (sauf dans le rêve, où cela me paraît évidemment d'une grande logique) je suis juste après, dans les rayonnages d'un mag de musique/bricolage, en train de regarder le prix d'une pedale de sustain pour le Nord de mon frangin.
Je lève les yeux et vois des colis zarbis...je demande ce que c'est..
Un employé "ah ça, ce sont les colis qu'ont oublié nos salariés du Québec"
Bref : j'avance d'un pas décidé vers la folie.

will_bru


In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Rifki

Nous recevons un message comme quoi la fin de la guerre sera officiellement annoncée dans quelques heures à la radio. Mais la résistance a prévu une attaque dans le village. Nous nous organisons pour éviter un bain de sang et d'éventuelles représailles. Les soldats allemands sont très jeunes. Ils sont très agressifs. Ils sont semblent-ils au courant de la fin du conflit et anxieux du sort qui pourrait leur être réservé comme prisonnier. Tout le monde est tendu.
Je suis chargé de m'occuper de l'officier qui les commande. De l'isoler et le désarmer. Je dois le rencontrer dans une sorte d'épicerie dont l'arrière boutique donne sur un intérieur très années 1930. Pendule incrustée dans une statue en bronze, poste TSF sur une commode, table et guéridon avec napperons de dentelle et vases de porcelaine posés dessus. Il ne manque plus que la photo du maréchal au mur. L'endroit appartient à un collaborateur qui accompagne l'allemand et à qui, je ne fait absolument pas confiance.
J'ai grave les jetons. Je me sens incapable d'assumer la mission. Mais l'officier arrive. Il ressemble furieusement au Général Spontz (Roland Giraud) de Papy fait de la résistance. Il a l'air totalement à l'ouest. Je pouffe de rire en pensant que c'est un canular. Mais non c'est sérieux.
Je me reprend et d'un ton martial j'exige qu'il me remette son arme. Il fouille dans ses poches et me tend un minuscule pistolet automatique qui tient au creux de la main puis il disparait dans une cabine d'essayage. je reste dubitatif devant le pistolet Est-ce un 6.35 mn ? En tout cas moi qui voulait faire la peau à l'autre collabo, le calibre me parait bien ridicule pour qu'une balle traverse son crâne de traite. Je maudis les boches et leur matériel de merde !
Je me fait une liste à la prevert de tout le matériel dont dispose la Wermacht : Panzer, Stuka, Walter P38, PPK, Luger P08 ? Ah oui c'est bien ça. Non ? Bon alors un Mauser. Le truc avec le chargeur devant la détente. Oui, vous savez celui qu'on surnomme "mange tout" ...
Ben non, j'ai juste droit à un modèle réduit de pistolet rubis. Agaçant.
Le général Spontz revient. Nous nous asseyons à une table près d'un service à Whisky disposés, à prendre ensemble le verre de l'amitié. Nous discutons à propos de quoi, je ne sais pas. Mais, je me dit que que c'est fou ces détails que l'on peut avoir dans un rêve comme ce quadrillage en relief sur le verre de whisky.
Finalement l'officier allemand m'interpelle. Il me fait comprendre que la guerre est terminée car une cloche carrillonne au loin. Il sourit et je m'effondre en larme. Je me rappelle juste que j'ai perdu un fils mort au combat.
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