Vos rèves chelous
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Anonyme
521410
Sujet de la discussion Posté le 17/11/2004 à 10:34:06Vos rèves chelous
Postez ici vos rèves vraiment bizarres.
Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue
Anonyme
521410
1111 Posté le 25/02/2007 à 12:06:04
En plus c'est rare que je me souvienne de mes rêves
Anonyme
521410
1112 Posté le 26/02/2007 à 08:30:02
J'ai révé que Emilie Simon était ma voisine d'en face et que je faisais tout pour la pécho. Onn s'était retrouvé ensemble à faire une randonnée en vélo.
Mais ceinture quand même
Mais ceinture quand même
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
1113 Posté le 26/02/2007 à 08:53:10
J'ai rêvé qu'il y avait plusieurs brèches alignées dans le mur du salon.
Dans chacune se trouvait blottie verticalement une hirondelle.
J'en ai délogé une et l'ai posée sur mon épaule. Elle s'est serrée contre mon cou sous mes cheveux. Elle gazouillait doucement.
J'ai trébuché, et elle est tombée à terre, moitié volant.
Battant des ailes, elle a marché/couru/voleté dehors. Je l'ai suivie, en espérant la rattrapper, je ne voulais pas la perdre.
Nous étions dans des ruelles étroites et tortueuses, et je n'arrivais pas à la prendre; chaque fois que je me baissais, un coup d'ailes désordonné la propulsait plus loin...j'avais peur de l'écraser.
Les ruelles se sont mises à monter un peu, puis de plus en plus, et un vent tiède s'est levé, soulevant du sol de la poussière, des papiers et des feuilles mortes.
Petit à petit mon oiseau devenait gris, et dans les bourrasques j'avais de plus en plus de mal à distinguer ses mouvements maladroits de ceux provoqués par le vent, sa couleur de celle du sol.
Je ne la voyais plus que par instants, sur un coup d'ailes...
...dans un dernier souffle tourbillonnant de feuilles mortes au ras du sol, elle a fini par disparaître.
Je me suis réveillé tout rempli d'une étrange tristesse.
Dans chacune se trouvait blottie verticalement une hirondelle.
J'en ai délogé une et l'ai posée sur mon épaule. Elle s'est serrée contre mon cou sous mes cheveux. Elle gazouillait doucement.
J'ai trébuché, et elle est tombée à terre, moitié volant.
Battant des ailes, elle a marché/couru/voleté dehors. Je l'ai suivie, en espérant la rattrapper, je ne voulais pas la perdre.
Nous étions dans des ruelles étroites et tortueuses, et je n'arrivais pas à la prendre; chaque fois que je me baissais, un coup d'ailes désordonné la propulsait plus loin...j'avais peur de l'écraser.
Les ruelles se sont mises à monter un peu, puis de plus en plus, et un vent tiède s'est levé, soulevant du sol de la poussière, des papiers et des feuilles mortes.
Petit à petit mon oiseau devenait gris, et dans les bourrasques j'avais de plus en plus de mal à distinguer ses mouvements maladroits de ceux provoqués par le vent, sa couleur de celle du sol.
Je ne la voyais plus que par instants, sur un coup d'ailes...
...dans un dernier souffle tourbillonnant de feuilles mortes au ras du sol, elle a fini par disparaître.
Je me suis réveillé tout rempli d'une étrange tristesse.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Jules Joffrin
22971
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
1114 Posté le 26/02/2007 à 10:11:15
Anonyme
521410
1116 Posté le 26/02/2007 à 15:15:38
Oryjen: joli
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Ce matin, j'ai rêvé que j'étais dans une espèce de chateau.
C'était la nuit.
Un grand feu dans une cheminée qui aurait pû contenir un boeuf.
La Mort (la figure cliché de la mort, avec sa cape noire et sa faux) arrive pour me tuer.
Je lui explique qu'il n'en est pas question, que de toute façon je ne vois pas la mort comme ça, que c'est un cliché débile.
Je lui dit d'arrêter de faire le con et d'enlever son déguisement.
Je lui prend sa faux, il pose sa cape et se barre sur le balcon.
Là j'ai un noir, je me rappelle plus ce qui se passe.
L'hôte du chateau reviens dans la salle, je le massacre à coups de faux, je mets son corps au feu, que je recouvre de bois pour qu'il brûle plus vite.
J'espère que les autres ne vont pas arriver avant qu'il ne se soit consumé.
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Ce matin, j'ai rêvé que j'étais dans une espèce de chateau.
C'était la nuit.
Un grand feu dans une cheminée qui aurait pû contenir un boeuf.
La Mort (la figure cliché de la mort, avec sa cape noire et sa faux) arrive pour me tuer.
Je lui explique qu'il n'en est pas question, que de toute façon je ne vois pas la mort comme ça, que c'est un cliché débile.
Je lui dit d'arrêter de faire le con et d'enlever son déguisement.
Je lui prend sa faux, il pose sa cape et se barre sur le balcon.
Là j'ai un noir, je me rappelle plus ce qui se passe.
L'hôte du chateau reviens dans la salle, je le massacre à coups de faux, je mets son corps au feu, que je recouvre de bois pour qu'il brûle plus vite.
J'espère que les autres ne vont pas arriver avant qu'il ne se soit consumé.
Jr0001
5527
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
1118 Posté le 26/02/2007 à 23:11:33
Citation :
Je lui explique qu'il n'en est pas question, que de toute façon je ne vois pas la mort comme ça, que c'est un cliché débile.
C'est exactement comme ça que je te vois au jour le jour
Clowny
7350
Membre d’honneur
Membre depuis 19 ans
1120 Posté le 27/02/2007 à 00:10:44
Citation : Là j'ai un noir, je me rappelle plus ce qui se passe.
Bizarre, d'habitude c'est l'alcool qui fait oublier...
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