Vos rèves chelous
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Anonyme
521410
Sujet de la discussion Posté le 17/11/2004 à 10:34:06Vos rèves chelous
Postez ici vos rèves vraiment bizarres.
Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue
Dj Etnyk
901
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
1421 Posté le 15/06/2007 à 15:14:39
démasqué !!
Non je déconne, elle m'a dit où, j'ai oublié; j'ai inventé... et après j'ai oublié que j'avais inventé comme t'as pu t'en rendre compte
Ca me fait chier, j'ai une mauvaise mémoire pour les trucs pas importants, et je me souviens pas de mes rêves. (fumette à haute dose inside)
Non je déconne, elle m'a dit où, j'ai oublié; j'ai inventé... et après j'ai oublié que j'avais inventé comme t'as pu t'en rendre compte
Ca me fait chier, j'ai une mauvaise mémoire pour les trucs pas importants, et je me souviens pas de mes rêves. (fumette à haute dose inside)
Si tu as envie de bosser, assieds-toi, et attends que ça te passe.
Anonyme
521410
1422 Posté le 15/06/2007 à 15:43:58
Citation : fumette à haute dose inside
c'est ça qui fait que je m'en souviens jamais
Anonyme
10840
1423 Posté le 16/06/2007 à 10:43:13
Et moi c'est le contraire, c'est là que je fais des putains d'rêves
Heldon jazzyTron
7595
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
1424 Posté le 16/06/2007 à 13:17:39
Moi je fais des rêves de putain
La vie, c'est comme un train de montagne
Anonyme
521410
1426 Posté le 16/06/2007 à 15:37:18
Il paraît que c'est possible, au lycée j'avais des potes qui avait un bouquin là dessus et qui faisait de chaque nuit une expérience, soit disant qu'ils y arrivaient assez, j'y ai jamais trop cru...
Dj Etnyk
901
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
1428 Posté le 16/06/2007 à 18:53:08
Ca m'est déjà arrivé de me rendre compte que je rêvais... c'est trop marrant !!
:Joey Starr:
J'vous fais pas de dessin, ca risque d'être modéré dans le clip mais bon,
il n'y eut pas de répit, pas de trève
Pendant des heures et des heures je lui ai mis...
la fièvre
:Joey Starr:
J'vous fais pas de dessin, ca risque d'être modéré dans le clip mais bon,
il n'y eut pas de répit, pas de trève
Pendant des heures et des heures je lui ai mis...
la fièvre
Si tu as envie de bosser, assieds-toi, et attends que ça te passe.
Anonyme
22808
1429 Posté le 17/06/2007 à 11:32:04
Oua t'as revé que tu l'as bouillave ? Trop cool lol mdr kikoo pour toi man.
Sinon en vrai tes histoires de boule onirique honnetement on s'en bat.
Sinon en vrai tes histoires de boule onirique honnetement on s'en bat.
Anonyme
521410
1430 Posté le 17/06/2007 à 12:08:53
Rêve dans la bonne tradition (originelle) du topic cette nuit, ça faisait longtemps :
On vivait en communauté (il y avait de l'AFien il me semble) dans une grande propriété qui ressemble finalement à une baraque béarnaise de ma famille, mais en plus gros. Je sais plus trop ce qu'on faisait mais en tout cas pour une raison ou une autre on était enfermé dedans et on communiquait via Internet avec le reste du monde. On voulait faire un projet en commun avec une autre communauté chinoise.
Je ne sais plus pourquoi, un membre de notre communauté veut chercher un truc dehors et malgré nos avertissements, il défonce une planche qui cachait un trou dans le mur et se barre en courant, alors que je re-comprends instantanément le pourquoi de l'isolation : le monde en dehors des communautés, ce sont des espèces de zombies pas beaux. Je sors un peu pour tenter une dernière fois de le ramener, mais il s'évanouit dans la nature et je me dépêche de rentrer au bercail pour refermer ce trou dans le mur, mais en revenant (je ne suis parti que quelques secondes/minutes), j'ai un sale pressentiment, je rentre dans une salle commune : ça y est tout le monde est zombifié. Pensant que j'étais le seul au monde à être encore humain, je me résigne à me faire zombifier, la résistance et la fuite tout seul me paraissaient inutiles.
Des éons, un siècle ou 5 minutes se passent, j'ai prêté une sorte d'allégeance à la "civilisation" zombie qui semble avoir une hiérarchie très autoritaire. Avant de devenir zombi, je me souviens avoir été électrocuté par une machine qu'on essayait de faire marcher, et j'avais remarqué que du coup de l'électricité sortait de mes doigts à commande. Comme un grand fou que je suis, j'essaye ça sur le cerveau le zombi qui m'accueille (pourtant il était gentil) et au début il dit que ça lui fait du bien, et quand je continue, je m'arrête juste avant qu'il en crève (une sorte de paralysie qui stoppe l'activité biologique). Là je réalise que seule mon intention change l'effet de cette électricité sur la cible et que si je le veux, je peux me débarasser de mes confrères.
Dans ce monde quelque peu délaissé, il me vient à l'idée d'électrifier un terminal informatique qui depuis longtemps n'a pas marché. On est dans un lieu assez futuriste. Tous les écrans s'allument et ça m'indique que je viens de relancer, intentionnellement ou non, un pan de feu la civilisation humaine (les écrans montrent d'énormes facilités futuristes et des engins spaciaux qui reprennent vie au quatre coins du monde). Une voix off parle d'un "programme pour le bien de l'humanité" (sic.)
Ceux qui sont avec moi sont assez perplexes, mais fascinés.
Scène final, travelling arrière : on me balance dans une espèce de benne à ordures, je suis "désactivé, un peu comme un robot, j'ai l'impression d'être vieux mais je ne suis pas sûr. Celui qui m'y jette me dit, pourtant assez tendrement, "il nous faut tous finir un jour", alors que je sais que le zombi est immortel. Puis il se jette lui-même dans la benne, et d'autres le suivent. Deux observateurs, probablement l'élite zombie, se demandent mutuellement s'ils sont sûrs de ne pas avoir vu ni entendu ce que j'ai déclenché, auquel cas ils doivent se jetter dans la benne aussi. "Il ne faut pas savoir tout ce que la grandeur passée de l'humanité a réussi".
Ca sonne comme une fin fataliste, un peu sombre (grand nuages noirs mais intense lumière orange/jaune qui perce derrière la mégalopole désaffectée), mais avec sa part de lumière et de paradoxale joie.
Bref, un peu n'importe quoi tout ça.
On vivait en communauté (il y avait de l'AFien il me semble) dans une grande propriété qui ressemble finalement à une baraque béarnaise de ma famille, mais en plus gros. Je sais plus trop ce qu'on faisait mais en tout cas pour une raison ou une autre on était enfermé dedans et on communiquait via Internet avec le reste du monde. On voulait faire un projet en commun avec une autre communauté chinoise.
Je ne sais plus pourquoi, un membre de notre communauté veut chercher un truc dehors et malgré nos avertissements, il défonce une planche qui cachait un trou dans le mur et se barre en courant, alors que je re-comprends instantanément le pourquoi de l'isolation : le monde en dehors des communautés, ce sont des espèces de zombies pas beaux. Je sors un peu pour tenter une dernière fois de le ramener, mais il s'évanouit dans la nature et je me dépêche de rentrer au bercail pour refermer ce trou dans le mur, mais en revenant (je ne suis parti que quelques secondes/minutes), j'ai un sale pressentiment, je rentre dans une salle commune : ça y est tout le monde est zombifié. Pensant que j'étais le seul au monde à être encore humain, je me résigne à me faire zombifier, la résistance et la fuite tout seul me paraissaient inutiles.
Des éons, un siècle ou 5 minutes se passent, j'ai prêté une sorte d'allégeance à la "civilisation" zombie qui semble avoir une hiérarchie très autoritaire. Avant de devenir zombi, je me souviens avoir été électrocuté par une machine qu'on essayait de faire marcher, et j'avais remarqué que du coup de l'électricité sortait de mes doigts à commande. Comme un grand fou que je suis, j'essaye ça sur le cerveau le zombi qui m'accueille (pourtant il était gentil) et au début il dit que ça lui fait du bien, et quand je continue, je m'arrête juste avant qu'il en crève (une sorte de paralysie qui stoppe l'activité biologique). Là je réalise que seule mon intention change l'effet de cette électricité sur la cible et que si je le veux, je peux me débarasser de mes confrères.
Dans ce monde quelque peu délaissé, il me vient à l'idée d'électrifier un terminal informatique qui depuis longtemps n'a pas marché. On est dans un lieu assez futuriste. Tous les écrans s'allument et ça m'indique que je viens de relancer, intentionnellement ou non, un pan de feu la civilisation humaine (les écrans montrent d'énormes facilités futuristes et des engins spaciaux qui reprennent vie au quatre coins du monde). Une voix off parle d'un "programme pour le bien de l'humanité" (sic.)
Ceux qui sont avec moi sont assez perplexes, mais fascinés.
Scène final, travelling arrière : on me balance dans une espèce de benne à ordures, je suis "désactivé, un peu comme un robot, j'ai l'impression d'être vieux mais je ne suis pas sûr. Celui qui m'y jette me dit, pourtant assez tendrement, "il nous faut tous finir un jour", alors que je sais que le zombi est immortel. Puis il se jette lui-même dans la benne, et d'autres le suivent. Deux observateurs, probablement l'élite zombie, se demandent mutuellement s'ils sont sûrs de ne pas avoir vu ni entendu ce que j'ai déclenché, auquel cas ils doivent se jetter dans la benne aussi. "Il ne faut pas savoir tout ce que la grandeur passée de l'humanité a réussi".
Ca sonne comme une fin fataliste, un peu sombre (grand nuages noirs mais intense lumière orange/jaune qui perce derrière la mégalopole désaffectée), mais avec sa part de lumière et de paradoxale joie.
Bref, un peu n'importe quoi tout ça.
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