Vos rèves chelous
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Anonyme
Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue
Jofree
"To boldly go where no man has gone before."
Anonyme
Cette nuit:
J'étais au taf, pénard. Tout d'un coup, une voix se fait entendre dans la rue, et demande à tous les commercants et habitants de se rassembler devant leur porte. Ok, je sors...mais ça sent l'embrouille, et je décide de me sauver, suivi par un voisin qui dans la vie est plutôt sympa, mais qui là est un vrai boulet.
Quelques minutes plus tard, on se cache dans une espèce de parc, et on calcule que les gens ont été enlevés par des espèces d'extra-terrestres qui veulent les bouffer...pas cool (ça rappelle un bouquin hein?)
Puis, on continuant de traverser discretement le parc, cachés derrière les arbres, on tombe sur des militaires qui discutent (en fait c'est eux les méchants extra-terrestres). Leur chef à le haut du crane, et le cerveau manquant (comme je ne sais plus quel personnage dans la BD James Dieu...très bonne BD, celà dit en passant).
Le voisin flippe bien comme il faut, et il veut faire diversion pour qu'on puisse se barrer tranquillou...je vois pas l'intéret, mais je lui dit qu'il peut, si ça lui fait plaisir, mais que moi je me casse de l'autre côté.
A peine parti, j'entend une immitation lamentable du cri de la poule. Ce con vient de se faire calculer, les gars sont en train de le ligoter, et il continue à faire la poule (je viens de le croiser ce matin, j'ai eu du mal à ne pas lui rire à la tronche).
Sorti du parc, je décide de ma planquer dans un vieux batiment à 3 ou 4 étages. Je monte, et une porte n'est pas fermée donc je rentre. Là, une de mes voisines de taf (un canard mes enfants!!!!!!) est en train de prendre sa douche...je reste là quelques minutes à observer le spectacle, et puis je me casse par la fenetre. Avant de sauter, et gars me retient par la manche et me demande "mais qui êtes vous à la fin ?" sur un ton très très théatral. Sur le même ton, je lui réponds "vous savez, je n'ai pas toujours été boulanger" (je ne suis pas du tout boulanger), et je saute.
Et là, je me suis réveillé en sursautant.
[ Dernière édition du message le 26/08/2010 à 11:09:32 ]
Pictocube
Moi j'ai rêvé que j'organisai une Rave dans le local de ma boîte qui se retrouvait au sous sol d'une grande maison d'un village de montagne où j'allais gamin. Y'avais tout mes copains de ma période Techno. Ce qui était vachement troublant c'est qu'il y en avait que j'avais totalement oublié, et en me réveillant je me suis dit : " woa putain qu'est-ce qu'il est devenu lui et lui et elle et eux, etc."
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
J-Luc
Picto> "On s'était donnés rendez-vous dans 10 ans"...
Citation de 8.5 :
vous savez, je n'ai pas toujours été boulanger
'tain ça ferait un super mot de passe. Genre OSS-117 :
- Comment est votre blanquette ?
- Vous savez, je n'ai pas toujours été boulanger !
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Rifki
Je voudrais bien savoir si il vous arrive de faire un rêve récurent ou vous vous retrouvez dans une ville ou rien n'est homogène et cohérent. Comme si celle-cie était vue à travers un prisme déformant. Les maisons sont difformes, les rues ne sont pas droites mais tordues. Pires elles se rétrecissent en plusieurs endroits. Des perspectives s'étendent à l'infini. Vous traverssez un passage piétons qui ne cessent de s'étirer sous l'avancement de vos pas pendant que vous entendez le bruit de plus en plus proches des voitures. Une riviere qui coule dans le sens de la montée. Tout semble vieux et usé ... Tout un univers poisseux avec l'étrange sentiment que vous vous déplacez dans une ville qui vous est familière ou en tout cas, il vous semble que vous y avez vécu. Je le fais régulierement ce rêve et parfois je me demande si cela a une signification.
J-Luc
Hum... changer de lunettes, changer de tisane avant d'aller au lit ?
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Anonyme
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