Sujet Qu'est ce qui vous agace automatiquement?
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samy dread
17632
Drogué·e à l’AFéine
Môssieur Jean
1092
AFicionado·a
samy dread
17632
Drogué·e à l’AFéine
Projacks
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Je poste, donc je suis
KoalaMan
19511
Drogué·e à l’AFéine
BBmiX
6852
Je poste, donc je suis
Sans témoin ça peut être coton oui . On peut envisager aussi qu'il ne s'est rendu compte de rien , si il n'y a pas eu de bruit , choc , vibration du véhicule , radio allumée , au téléphone 
...
...(-; Sois Funk ;-)
Will Zégal
73414
Will Zégal
Projacks
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Je poste, donc je suis
Will Zégal
73414
Will Zégal
Non, pas d'escorte. Au plus fort de la mode du roller, nous avons dû être une soixantaine. Sinon, c'était quelques chose autour de 25 personnes tout au long de l'année. Pas de quoi remuer ciel et terre.
Surtout qu'on faisait ça le soir dans une ville qui connaissait alors peu de circulation après 20h30. Une poignée de volontaires encadrants équipés de gilets fluo pour ouvrir et fermer la marche et pour aller fermer les carrefours pour faire passer la troupe et basta. Le plus souvent, on fermait pour rien vu qu'il n'y avait personne.
En plusieurs années, on n'a connu que deux incidents. Celui que j'ai cité : on roulait sur le large trottoir d'une avenue à 4 voies bordée de deux contre-allées. On a traversé une autre large avenue avec le feu pour nous. Mais c'étaient des pavés, donc délicat en rollers et quand le feu est repassé au vert, il restait quelques traînards sur le passage piéton. Un abruti a démarré en trombe de l'autre côté de l'avenue et foncé vers eux.
Il devait trouver très drôle de faire cavaler ces gens incertains sur leurs roues compliquées par la présence des pavés. Sauf que si l'un était tombé, ça aurait pu faire un vrai drame.
D'ailleurs, les flics qui nous ont reçu immédiatement quand on a dit pourquoi on venait (on avait toujours nos rollers aux pieds et notre tenue) au lieu de nous faire poireauter. Ils ont lancé un appel très rapidement.
Puis ils ont checké l'immat et demandé étonnés si on était surs que la voiture était bien celle qu'on avait décrite (une 309 rouge). On était surs. En fait, les flics nous on dit que c'était l'immatriculation d'un... camion.
Puis ils ont checké le propriétaire et ont fait "ah d'accord !". Ils ont alors relancé un appel à la radio pour chercher activement la voiture en prévenant "potentiellement dangereux" et ont envoyé une patrouille direct chez le propriétaire.
Le second incident était beaucoup moins grave, mais aussi incompréhensible.
Là, c'était balade un dimanche après midi. On passe près du parc des expos où il y avait une quelconque foire. Donc, voitures quasiment cul à cul du rond-point juste en sortie de voie express à l'entrée du parc, quelques dizaines de mètres plus bas que là où nous traversions. Je me place sur la voie en question le temps que tout le monde traverse. En gros, de quoi faire perdre entre 30 et 45 secondes aux automobilistes qui passaient là.
On le faisait toujours avec le sourire, des petits gestes sympa envers les automobilistes, pas en mode flic stop péremptoire. On avait la plupart du temps des sourires en réponse.
Arrive une voiture pleine de vieux qui ralentit, s'arrête le pare-chocs à 5 cm de mes genoux (déjà...), puis s'avance tout doucement et... me pousse !
Je fais signe au papy d'arrêter les conneries, mais non, il me pousse doucement avec son machin d'une tonne.
Je tape sur le capot pour le faire réagir, mais non, il continue.
Pas content et voyant que tout le monde est passé, je vais à sa portière et tape sur le carreau en lui demandant s'il a laissé son cerveau à la maison. Le mec m'ignore ostensiblement et regarde fixement droit devant lui.
J'avoue que j'ai pris un coup de sang : j'ai ouvert sa portière, ai enlevé ses lunettes que j'ai posées sur ses genoux et lui ai collé une gifle.
Il n'a pas moufté, non plus que personne dans la voiture.
Bon, j'en suis pas très fier (je ne suis pas très porté sur la violence), mais ça me fait toujours marrer que, malgré le coup de sang, j'ai eu le réflexe de lui enlever ses lunettes avant de lui en coller une.
C'était plutôt un soufflet qu'une baffe, mais avec le protège-poignet, il a pu la sentir quand même un peu passer. Je pense surtout qu'il s'est pris une belle honte devant sa rombière et ses passagers.
Surtout qu'on faisait ça le soir dans une ville qui connaissait alors peu de circulation après 20h30. Une poignée de volontaires encadrants équipés de gilets fluo pour ouvrir et fermer la marche et pour aller fermer les carrefours pour faire passer la troupe et basta. Le plus souvent, on fermait pour rien vu qu'il n'y avait personne.
En plusieurs années, on n'a connu que deux incidents. Celui que j'ai cité : on roulait sur le large trottoir d'une avenue à 4 voies bordée de deux contre-allées. On a traversé une autre large avenue avec le feu pour nous. Mais c'étaient des pavés, donc délicat en rollers et quand le feu est repassé au vert, il restait quelques traînards sur le passage piéton. Un abruti a démarré en trombe de l'autre côté de l'avenue et foncé vers eux.
Il devait trouver très drôle de faire cavaler ces gens incertains sur leurs roues compliquées par la présence des pavés. Sauf que si l'un était tombé, ça aurait pu faire un vrai drame.
D'ailleurs, les flics qui nous ont reçu immédiatement quand on a dit pourquoi on venait (on avait toujours nos rollers aux pieds et notre tenue) au lieu de nous faire poireauter. Ils ont lancé un appel très rapidement.
Puis ils ont checké l'immat et demandé étonnés si on était surs que la voiture était bien celle qu'on avait décrite (une 309 rouge). On était surs. En fait, les flics nous on dit que c'était l'immatriculation d'un... camion.
Puis ils ont checké le propriétaire et ont fait "ah d'accord !". Ils ont alors relancé un appel à la radio pour chercher activement la voiture en prévenant "potentiellement dangereux" et ont envoyé une patrouille direct chez le propriétaire.
Le second incident était beaucoup moins grave, mais aussi incompréhensible.
Là, c'était balade un dimanche après midi. On passe près du parc des expos où il y avait une quelconque foire. Donc, voitures quasiment cul à cul du rond-point juste en sortie de voie express à l'entrée du parc, quelques dizaines de mètres plus bas que là où nous traversions. Je me place sur la voie en question le temps que tout le monde traverse. En gros, de quoi faire perdre entre 30 et 45 secondes aux automobilistes qui passaient là.
On le faisait toujours avec le sourire, des petits gestes sympa envers les automobilistes, pas en mode flic stop péremptoire. On avait la plupart du temps des sourires en réponse.
Arrive une voiture pleine de vieux qui ralentit, s'arrête le pare-chocs à 5 cm de mes genoux (déjà...), puis s'avance tout doucement et... me pousse !
Je fais signe au papy d'arrêter les conneries, mais non, il me pousse doucement avec son machin d'une tonne.
Je tape sur le capot pour le faire réagir, mais non, il continue.
Pas content et voyant que tout le monde est passé, je vais à sa portière et tape sur le carreau en lui demandant s'il a laissé son cerveau à la maison. Le mec m'ignore ostensiblement et regarde fixement droit devant lui.
J'avoue que j'ai pris un coup de sang : j'ai ouvert sa portière, ai enlevé ses lunettes que j'ai posées sur ses genoux et lui ai collé une gifle.
Il n'a pas moufté, non plus que personne dans la voiture.
Bon, j'en suis pas très fier (je ne suis pas très porté sur la violence), mais ça me fait toujours marrer que, malgré le coup de sang, j'ai eu le réflexe de lui enlever ses lunettes avant de lui en coller une.
C'était plutôt un soufflet qu'une baffe, mais avec le protège-poignet, il a pu la sentir quand même un peu passer. Je pense surtout qu'il s'est pris une belle honte devant sa rombière et ses passagers.
>>>>>>> La fabrique du crétin digital ? <<<<<<<<<
======== Peut-on planer sous terre ? =========
[ Dernière édition du message le 01/02/2021 à 11:50:30 ]
Projacks
5613
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