Le Pub de l'écologie

Pollution modérée à l'ozone jusqu'à demain inclus, liée à la combinaison de l'ensoleillement, de la chaleur et des émissions de dioxyde d'azote (circulation automobile et industries). Hors confinement, nous aurions un pic de pollution à l'ozone actuellement en France.

Les particules fines, PM 10, sont émises par l’activité agricole et l’activité résidentielle et tertiaire (chauffage).

Dans le Grand Est, elle fut d’abord stable en début de confinement, avant de chuter fortement, mais de manière classique, avec un épisode de forts vents de nord-est.

Ensuite, un pic, dépassant le seuil d’information du public dans la Marne et les Ardennes a été observé le samedi 28 mars, redescendant très vite dès le lendemain avec le retour du vent. « Cet épisode, après étude, peut s’expliquer par l’arrivée de particules terrigènes issues de sols nus et désertiques, importés pas des masses d’air venues du Sahara mais aussi d’Ukraine et du Kazakhstan », précise Emmanuel Grab-Sommesous.

Dans les Haut de France, Atmo indique que « la baisse du trafic n’a pas d’impact significatif visible sur les concentrations en particules pour le moment par rapport à la première quinzaine de mars. Ceci s’explique par des niveaux de concentrations sur le début du mois assez faibles et par l’origine multisources de ce polluant ».