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Le Pub de l'écologie

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Sujet de la discussion Le Pub de l'écologie
Hello les amis!

en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:

pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:

1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
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24551
Ne pas placer d'espoirs excessifs envers la conscience écologique de Joe Biden

Belle voiture cela dit :bravo:

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


24552

Two Beers or not two beers... ?

24553
Ah oui cette vidéo est :bave:
24554
MDRRRR :mrg: Onfray ..il ferait mieux de fermer sa gueule quand même parfois :facepalm:

101112

[ Dernière édition du message le 09/11/2020 à 22:34:12 ]

24555
parfois non, tout le temps oui
24556
cette fois s'en est trop, ils me gonflent avec leur propagande

dans l'Union (PQR de la Marne) on peut lire aujourd'hui un article sur Téréos, producteur de sucre betteravier :
Titre de l'article :
Citation :
La hausse de 114 % des résultats semestriels du groupe est contrebalancée par la baisse de 23 % des rendements betteraviers provoquée par la jaunisse.


puis :
Citation :
Le groupe coopératif sucrier Tereos (siège à Origny-Sainte-Benoite, dans l’Aisne) revoit à la baisse ses prévisions de rendement betteravier. Elles passent de -12 %, par rapport à la moyenne des 5 ans, à -23 %, a annoncé le 18 novembre, Alexis Duval, président du directoire. « Les effets de la jaunisse sur la croissance automnale de la plante sur de nombreuses parcelles ont entraîné des baisses de rendements plus fortes qu’estimées par les modèles agronomiques avant la récolte », précise le groupe.
Le développement exceptionnel cette année de la jaunisse est lié bien sûr à l’interdiction des néonicotinoïdes, prononcée en janvier 2018. L’absence de solution de remplacement a impliqué la prolifération de pucerons vecteurs de la maladie. Si la filière vient d’obtenir du Parlement une dérogation pour trois ans, planteurs de betterave et sucriers sont donc touchés de plein fouet pour la campagne qui a commencé en septembre.


Quand on lit ça, on pense que la baisse de 23% est dû entièrement à la jaunisse.

Et bien c'est faux. Je n'ai pas de preuve absolue que c'est faux, mais ce Mr Duval n'a pas plus preuve que ces 23% sont dus à la jaunisse, il s'agit au mieux d'une affirmation sans preuve.

En effet, extrait d'un article de la même presse du 19/11 :
Citation :
Titre : Une campagne betteravière atypique

Sept semaines après son lancement, les inquiétudes des agriculteurs se sont confirmées : la baisse de rendement est constatée. En cause, la sécheresse et la jaunisse.






J e n’ai jamais vu cela ! », s’exclame Alain Caillet, Et ce n’est pas un petit nouveau dans le métier qui l’affirme mais un agriculteur chevronné, en activité depuis trente-deux ans. « La sécheresse d’abord. Après un hiver pluvieux, il n’y a pratiquement pas eu d’eau en avril, peu en mai et ensuite en juin. Mais entre le moment où je sème mes betteraves le 26 mars et le moment où il pleut vraiment, elles ont été un mois et demi sans rien » , détaille-t-il les yeux rivés sur son carnet où il conserve précieusement les dates clefs, comme celles des semis, de la pluviométrie, etc.

Conséquence, elles ont très mal levé et quand, enfin, cela a été le cas, les levées étaient très hétérogènes. Par ailleurs, comme elles n’ont pas couvert toute la terre, il a donc fallu désherber pour supprimer les mauvaises herbes, ce qui n’est habituellement pas chose courante.
Ensuite, parallèlement à la sécheresse qui sévissait, il y a eu la jaunisse. À l’origine, il s’agit de plusieurs virus transmis exclusivement par des pucerons vecteurs lorsqu’ils piquent las feuilles de betteraves pour y prélever de la sève.
Et si Alain Caillet ne s’attendait pas à un rendement identique à celui de l’année dernière, soit soixante-quinze tonnes par hectare, - il en possède dix-huit - il visait au moins les cinquante. La réalité a été encore plus dure puisqu’au premier tour d’arrachage quelques jours après le lancement de la campagne début octobre, il n’a obtenu qu’une moyenne de quarante-et-une tonnes par hectare. Une quantité faible au regard de la moyenne des ses années, qui n’a pas été compensée par la richesse en sucre des betteraves produites. La valeur standard est de 16 % de richesse saccharine. « En dessous de ce palier, je n’avais jamais vu non plus », fait remarquer l’agriculteur. Au-delà, on gagne du tonnage, en dessous, on en perd. Cette année, c’est à vous dégoûter d’aller arracher des betteraves. » Le prestataire qu’il emploie pour travailler à sa place doit revenir fin novembre pour arracher à nouveau. Mais Alain Caillet ne se fait pas d’illusion.
« Nous avons une très grande hétérogénéité des rendements. Par rapport à d’habitude, on perd entre 10 et 50 % selon les parcelles. »



En 2019 déjà, on a eu une baisse de rendement suite à une sécheresse : Article du 16/12/19
Citation :
À plus de la moitié de la campagne 2018/2019, la confédération générale des planteurs de betterave (CGB) délivre ses premières prévisions. Les rendements progressent légèrement à 85,5 tonnes par hectare, après une année 2018 faible à 81,9 tonnes. Ils ne passent pas la moyenne des 5 ans qui est de 89 tonnes


Cette année la luzerne qui pousse en même temps que la betterave a vu ses rendement descendre d'une 20aine de %

je mets les liens, mais sans abonnement, ça vous servira à rien

https://journal.lunion.fr/lunion?M_BT=7531431735082#CAP/web,2020-11-19,CHA|CAP_QUOTIDIENS,2020-11-19,CHA,1|24

https://abonne.lunion.fr/id116934/article/2019-12-16/les-planteurs-de-betterave-voient-le-bout-du-tunnel

https://journal.lunion.fr/lunion?M_BT=7531431735082#CAP/web,2020-11-24,CHA|CAP_QUOTIDIENS,2020-11-24,CHA,1|34

Non je ne mettrai pas de pull

24557
dans la même veine :
Citation :
Le pangolin n’y est pour rien et ça change tout. Ça change tout car la responsabilité du calvaire pandémique enduré sur les cinq continents pourrait bien se situer du côté du luxe, de la richesse ostentatoire, de l’imposition mondialisée d’une forme de réussite sociale évaluée à la seule aune de ce qu’on possède et porte sur le dos.

Le pangolin n’y est pour rien, mais la production industrielle de fourrure à destination d’acheteurs fortunés en revanche y est pour tout. Le vison serait l’animal intermédiaire du coronavirus légué par la chauve-souris à notre espèce.


https://www.les-crises.fr/pangolin-gate-par-yann-faure/

Non je ne mettrai pas de pull

24558
salut je forwarde ton lien dans le sujet du Covid.
Musicalement,

Alain Souchon n'est pas un film

24559
J'ai rien compris : le covid c'est le pangolin qui bouffe Trop sucré ? J'ai bon ?

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

24560
Non ce sont les visons (li vizon :rabbijacob: ) qui ont un plan machiavélique avec les chauve souris pour dépeupler le 17e et l'avenue des Champs Elysées.

One Breath III : Find out the end of the story, piece by piece : WBBTMR - One Breath III

Je vous en prie, allongez vous dans les plantes vertes.

[ Dernière édition du message le 24/11/2020 à 18:24:27 ]