Sujet de la discussionPosté le 12/06/2006 à 09:55:45Le Pub de l'écologie
Hello les amis!
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
J’ignore le jambon et continue la discussion sur la concurrence : celle-ci ressemble d’ailleurs à un équilibre instable. Ça marche bien pour les voitures et les téléphones, beaucoup moins pour la grande distribution qui a pour effet de saccager l’agriculture et donc la nature, très mal en informatique : Microsoft, Google, Facebook ont des monopoles dans leurs domaines...
Beaucoup de théories économiques ferment les yeux sur ces situations qui ne sont pas conformes à leurs espoirs.
Ce n'est que mon point de vue mais que les reins, le foie ou les poumons de Marc Dutroux ou Emile Louis servent à d'autres, je n'y vois aucun inconvénient.
C'est bien ça le problème. :soleilvert: :unité731:
Epe-be: le raccourci que tu emploies est simpliste et inapproprié: les déportés n'avaient commis aucune faute et se retrouvaient là en majorité à cause de leur religion, de leur orientation sexuelle ou de leur conviction politique. Notre système actuel n'est pas parfait mais je ne crois pas que la majorité des détenus soient innocents.
@ boulooban: suffisamment pour savoir que les conditions de vie y sont ignobles et ne favorisentp en rien une réinsertion réussie dans la société une fois la peine effectuée.
Un rein = 5 ans de prison en moins
Un demi-foie, un poumon = 10 ans
Un coeur = amnistie
Du moment que c'est géré par des boites privées c'est acceptable
Bof de toutes façons on aura bientôt des organes cultivés en boîte de Pétri sans problèmes de rejet immunitaire donc les organes de prisonniers vont subir une grosse dévaluation.