Le Pub de l'écologie
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Anonyme

en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.

Point-virgule

 Je prends la 9 et la 3 régulièrement et je ne les entends pourtant pas. Faudrait que j'y dorme ptêt.
 Je prends la 9 et la 3 régulièrement et je ne les entends pourtant pas. Faudrait que j'y dorme ptêt.  
 « La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

Anonyme

ça va m'encourager à descendre avec ma clope sur le quai, ça.


le reverend

Même les grillons qu'on entendait dans le métro ont disparu.
Ils ont disparu avec l'interdiction de fumer : comme dit plus haut, les mégots étaient leur nourriture principale.
Et du coup les petites bestioles qui les chassaient (loirs, souris etc...) ont également disparu.
Perso, je ne m'en plains pas
Et en plus je supportais pas les fumeurs dans le métro.
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

Anonyme




Anonyme


Anonyme


Anonyme


Anonyme

 du coup sur tout ce qui est ticket/billet à recycler, je fais en amont un tri sélectif en enlevant soigneusement la bande magnétique.
 du coup sur tout ce qui est ticket/billet à recycler, je fais en amont un tri sélectif en enlevant soigneusement la bande magnétique.
El Migo



samy dread

Non je ne mettrai pas de pull

Anonyme


samy dread

Non je ne mettrai pas de pull

Anonyme



Dr Pouet

« La confrérie des insectes », ces scientifiques indépendants qui enquêtent sur la disparition des abeilles
Dans son livre « Et le monde devint silencieux », notre journaliste Stéphane Foucart dévoile comment l’agrochimie a infiltré et instrumentalisé des organisations scientifiques reconnues et des ONG de protection de la nature.
Pourquoi les insectes ne viennent-ils plus s’abîmer sur nos pare-brise, pourquoi leur bourdonnement joyeux n’anime-t-il plus autant nos jardins ? Dans un ouvrage intitulé Et le monde devint silencieux, édité conjointement par Le Monde et Seuil, notre journaliste Stéphane Foucart raconte comment les grandes firmes d’agrochimie sont parvenues à installer l’idée que l’effondrement des pollinisateurs était un mystère, en aucun cas lié à la mise sur le marché, au début des années 2000, des insecticides néonicotinoïdes. Une stratégie du doute calquée en tous points sur celle mise en œuvre par l’industrie du tabac dans les années 1950. A l’époque, les cigarettiers, inquiets des études révélant que les goudrons de la cigarette étaient cancérigènes, font appel à un communicant de génie, John Hill. Ce dernier théorise le fait que combattre la recherche est une perte de temps. Mieux vaut faire diversion en la poursuivant, en faisant ce que l’historien des sciences Robert Proctor a appelé de la « recherche leurre ». La cigarette provoquerait des cancers ? Et l’hérédité ? Et la nutrition ? Et le stress ? Et la pollution ? Autant de domaines de recherche que les industries du tabac se mettent à financer avec ardeur. Cet écran de fumée qui leur a permis si longtemps de faire douter de l’effet cancérigène de leur produit a été mis en place de manière similaire et redoutablement efficace par l’industrie agrochimique. Ainsi les fabricants de pesticides tentent-ils de comprendre la disparition des abeilles…
Dans un chapitre du livre de Stéphane Foucart, dont nous publions un large extrait ci-dessous, notre journaliste décortique la façon dont ces firmes ont infiltré, financé et instrumentalisé des organisations scientifiques ou associatives. Face à eux, « la confrérie des insectes » est sur un chemin de crête. Ce groupe de 70 scientifiques (biologistes, toxicologues, ornithologues, entomologistes, spécialistes de conservation, etc.) d’une vingtaine de nationalités regroupés au sein de la Task Force on Systemic Pesticides tente, depuis dix ans, de mener une recherche totalement indépendante des firmes, sur les causes réelles du déclin des insectes, des oiseaux et du reste du vivant. Un projet mené en parallèle de leurs travaux académiques, sur leur temps personnel et sur leurs propres deniers.
(...)
https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/08/29/la-confrerie-des-insectes-ces-scientifiques-independants-qui-enquetent-sur-la-disparition-des-abeilles_5504190_3244.html

El Migo

Je veux dire on le sait depuis longtemps, mais ça devient aveuglant.

Anonyme

Pas même le peuple!

oryjen


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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

#Houba

Ex-producteur retraité de la musique en 2016

Anonyme



Anonyme


El Migo


Anonyme

En pleine saison des pommes locales. Question de prix? Même pas. Les siennes sont en vente jusqu'au Carrefour de la ville, presque deux fois moins cher. Incompréhensible.
L'exploitant vaporise à peu près 35 traitements dessus en moyenne (pomme Sarthoise en référence ) au cours de la vie de la pomme , donc quitte à attraper la mort, autant qu'elle vienne pas d'chez nous! On pourra blâmer autrui de nos malheurs.

Cynisme off.
Sinon ça se récupère pour 0€ chez des anciens qui peuvent plus s'occuper du verger, ou récupérer celles qui sont pas ramassées dans la ferme pédagogique (et les nèfles pourrites à point aussi
 ) sans traitements, ou les jardins privés désertés dès mi-août... mais là c'est du vol. Et c'est mal le vol, mais des pommes qui nourrissent des humains c'est bien, et le bien c'est pas mal.
) sans traitements, ou les jardins privés désertés dès mi-août... mais là c'est du vol. Et c'est mal le vol, mais des pommes qui nourrissent des humains c'est bien, et le bien c'est pas mal. 
Payer pour une pomme ça se fait encore, par habitude, flemme ou nécessité, mais c'est assez ridicule vu l'abondance par chez moi.
Elles sont l'objet de partage sur la place publique, un carton avec un "servez-vous" dessus et hop, des heureux...juste à côté des maraîchers qui s'en plaignent pas.
Et puis...les incroyables comestibles et jardins partagés, les serres municipales pour les fleurs, la cuisine centrale.
Ce thread est un concentré de sujets dépressogènes² ++, mais localement il y a du très bon aussi, malgré la folie ambiante qui entend nous chasser de là, avec Elan.
Ressasser des trucs négatifs comme ici ça rend juste malheureux. Au final c'est l'impression que me fais ce thread, ça manque de positif. Pause!
réponse à w-addict et darinze:
Citation de TripleOverhead :Citation de W-Addict :Fichtre je n’ai pas eu le manuel du touriste... là depuis dimanche la W-Mobile se repose. On fait les courses au marché / épicerie du coin. On balance pas nos déchets à la plage ou dans la rue. On n’insulte personne.
Et c’est inquiétant, nous sommes légions...
C'est pas parce que tu as ta carte de membre des Castor Junior tout comme moi, que les soucis qui impactent gravement certains coins n'existent pas.
Bien sûr que les problèmes sont légions également. Par exemple hier je fais ma petite sortie quotidienne running et en arrivant sur le port de la ville voisine je remarque le parking réservé aux camping-cars. Bah un tas de 2m d’immondices divers, alors qu’il y a des containers.
Hier soir le camping-car d’en face qui fais chauffer son moteur 15 minutes avant de bouger.
C’est sûr qu’en constatant ça je me dis que beaucoup de gens (et moi compris) ne sont pas prêts pour changer...
Petite note d’espoir, parce qu’il y a de petites initiatives :
- mon fils est devenu copain avec un local ( un fils de lifeguard). Le môme a couru après un paquet de chips emporté par le vent pour le mettre lui-même à la poubelle. Perso quand je passe sur la plage je ramasse les déchets que je trouve.
- le camping où je séjourne sensibilise ses clients à l’impact qu’on peut avoir. Et organise des ramassages sur la plage
Ok tout ça c’est c’est juste 5 mg de positivisme, ça ne changera pas la situation dans l’urgence nécessaire. Il faudrait de vrais décisions politiques, au niveau international. Mais là autant se pendre tout de suite...
Citation :C'est bien pire que le simple fait de "ne pas changer grand chose" : cela a pour effet pervers de donner à beaucoup de personnes le sentiment que "quelque chose est fait" et que "des mesures sont entreprises".c’est juste 5 mg de positivisme, ça ne changera pas la situation dans l’urgence nécessaire
Or ce serait comme une grande cour d'école, jonchée de feuilles et de branches mortes, avec un petit gamin de 4 ans accroupi dans un coin,qui ramasse pour jouer un ou deux débris... alors on le regarderait, et on se dirait "Ah, la cour n'est pas encore tout-à-fait perdue, regardez, il y a des actions citoyennes locales qui se font!". Et ça occulte totalement le vrai problème, qui est que le cantonnier fait tout pour ne pas balayer avec son gros balai, au motif que ça le fatigue.
On en est là. On laisse totalement les gros pollueurs polluer, tout en multipliant les spots pour nous dire de changer nos ampoules et de ne pas laisser couler l'eau du robinet pendant qu'on se lave les dents, pour une planète plus verte et un avenir construit sur des valeurs authentiquement bio et nanani et nanana.
L'important c'est plus les viocs comme nous. Mais NON chacun n'occulte pas forcément les enjeux...c'est tout aussi rationnel de vouloir vivre un peu de bonheur là où tu vis, que de tenter d'analyser froidement ce qui se passe.
Quand je fais des ramassages les questions des enfants sont toujours "qu'est-ce qu'elle fait la madame", ou "qu'est ce qu'elle transporte" ?
La réponse de l'adulte va de "parce que la madame est sale" à "tu te rappelles les oiseaux qu'on a soignés à la LPO ?".
C'est pas parce que ça sert à presque rien qu'il faut pas le faire. Utile ou pas je m'en moque, j'aime l'idée de semer des graines et je me tape de l'avis des autres sur ces questions, militants ouverts/débiles ou conformistes aussi fins. Nous jugeons tous de toute manière.
Dorénavant je me promène avec des sacs d'avance pour les gens qui s'assurent d'un "c'est bien ce que vous faites."
Ca vaut le coup de le faire, ne serait-ce que pour l'échange que ça crée, et quitte à discuter de l'aspect vain de la chose et pointer les problèmes réels...en douceur. Le déni ne se cure pas par la violence des rapports humains. Les effondrologues convaincus ont bien cerné le truc d'ailleurs. Comment en parler sans provoquer de réaction violente, de dépression, de souffrance, de déni chez l'autre...suis tombé dans le panneau à titre perso, trop de colère à un moment T, mais j'ai compris la leçon.
Nous vivons une époque formidable, impossible d'être sans contradictions mais c'est pas parce que ça paraît anecdotique qu'il faut pas le faire. J'attends pas qu'on me dise quoi faire, ni les ramassages annuels. Il faudra arrêter de jeter mais je me plais à croire qu'on fera pas l'impasse de ramasser les déchets du capitalisme (êtres humains compris) dans tous les cas.

oryjen

Zéro traitement.
Zéro euro.
Et le goût! LES goûts!
Et c'est pas comme si on n'avait pas de véhicules polluants pour s'en aller les ramasser facile...
Allez comprendre. L'esclave chérit ses chaînes: Elles lui font comme une sorte de contrat social...
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 30/08/2019 à 02:44:30 ]

boulooban

Même pas besoin de bouger


Anonyme

Sur le dépliant publicitaire d'un supermarché du coin, une promotion pour des pommes de... Nouvelle-Zélande.
effet collatéral des accords France-Nvelle Zelande consécutifs au rainbow warrior, obligeant la France à acheter massivement et sous dumping économique de l'état, des produits de nvelle zélande ?
Nan mais je déconne pas, si le distributeur est français, c'est possible que ça soit ça, c'est plus rentable pour lui de faire venir de pommes de l'autre bout du monde que du visionnage, grâce à diverses aides bien débiles, qu'il serait ptet temps de dénoncer.
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