Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
=LouF=
6394
Je poste, donc je suis
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6722Posté le 05/12/2014 à 12:53:30
En l’occurrence, on ne lui demande pas de maitriser ses émotions mais son comportement : se calmer et manger. C'est pas plus que ce qu'on lui demande à l'école.
Et on est pas des tyrans, on fait écho à ses émotions,on dialogue, et on lui demande un petit effort pour se nourrir, pas de décortiquer un artichaut qu'elle détesterait.
Et puis quand tu connais un peu ton mioche, tu sais faire la différence entre détresse, stress et testage de l'autorité.
Au passage, on a tout les deux notre diplome de pédagogie, petite enfance comprise pour madame, donc on savait....
l'appréciation qu'on peut avoir de la déco de Noel de ma voisine dépend de la conscience qu'on a de l'état de la société.
[ Dernière édition du message le 05/12/2014 à 12:55:08 ]
KoalaMan
19513
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
6723Posté le 05/12/2014 à 13:04:45
Pour le "je veux pas manger", on lui pose la question de savoir si elle veut aller au lit direct. Et si c'est oui, elle va au lit direct, sans que l'on se mette en colère.
Paf.
Le lendemain, en général, ça se passe bien. Mais faut dire qu'on peut se le permettre, elle est une bonne mangeuse, fait bien ses quatre repas par jour, donc elle ne va pas mourir de faim.
Y'a juste des fois où elle n'a pas faim, et dans ce cas-là, on ne la force pas à manger.
Si c'est une "crise" et qu'elle veut juste nous tester, le but est de lui montrer que ça ne nous ennuie pas (=que c'est inutile), et que la seule qui en pâtit, c'est elle.