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Sujet Végétariens, vegans et végétaliens c'est par ici !

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Sujet de la discussion Végétariens, vegans et végétaliens c'est par ici !
Histoire de ne plus polluer l'autre topic et comme c'est un sujet qui apparaît de temps en temps, on peut en discuter ici ! :bravo:
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???
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ça se lave, mais quand tu pars plusieurs jours, ben tu ne les laves pas !
(sauf à randonner avec la machine à laver sur le dos)

Et quand c'est du sport à la journée, même en les lavant ça garde un peu l'odeur donc sur du long terme ça fouette.
Après, c'est pas dramatique, hein.


Le recyclé, c'est principalement des polaires, doudounes et compagnie, effectivement.

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

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interview du directeur d'un resto Universitaire à Stasbourg qui sert environ 400 repas végétaliens par jour sur un total de 1500....Il explique que l'offre a été mise en place progressivement pour répondre à la demande.
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Génial, çà fait super plaisir de voir ce genre de news :bave:
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Citation :
L’épluchage des légumes

Nos aliments sont vivants

Au commencement de chaque végétal était une graine. Puis, grâce à l’alchimie de l’eau et de la photosynthèse, cette graine est devenue une fleur, une tige ou un arbre. Puisant sa nourriture dans le sol, grâce au magnétisme du soleil et à l’humidité de la rosée ou de la pluie, la plante fait intervenir des milliers de composés organiques et aboutit, au bout de quelques mois, au fruit mûr ou à la plante épanouie.

Dans certains cas (les fruits, les tubercules, les haricots, les courges), le processus biologique est arrivé à son terme. Dans d’autres (les salades, les légumes verts), c’est l’homme qui l’interrompt. « Chaque cellule d’un animal ou d’une plante, nous dit Claude Aubert, est une micro-usine en pleine activité qui, à travers sa membrane, absorbe des substances nutritives et rejette des déchets, tandis que des centaines d’enzymes déclenchent et contrôlent d’innombrables réactions biochimiques.

Le couteau du boucher ou du jardinier met n à cette intense activité. Le sang ou la sève, qui transportent les éléments nutritifs jusqu’aux cellules, cessent de circuler. Un autre processus s’amorce alors, qui conduit plus ou moins rapidement à la pourriture.» Tout l’art de notre cuisine sera d’éviter le plus possible l’oxydation. Dès lors que le fruit a été cueilli ou que le légume est sorti de terre, le processus d’oxydation commence. Le fait d’acheter des légumes avec leurs fanes ralentit ce mécanisme. Faites l’essai chez vous : achetez des poireaux avec leur « barbe » et achetez-en dont la barbe a été coupée. À conditions de stockage égales, l’un se étrira beaucoup plus rapidement que l’autre.

N’épluchez jamais vos légumes à l’avance car la vitesse d’oxydation augmente avec la surface de contact avec l’air. Ainsi, une carotte entière ne s’appauvrit que très lentement de son carotène si elle est placée au frais. En revanche, elle perd sa provitamine A très rapidement dès lors qu’elle est râpée et laissée à l’air ambiant. Vous avez sans doute fait l’expérience de râper une pomme dans une assiette. Très rapidement elle brunit. Le brunissement est l'expression visible à l’œil nu de l’oxydation. Il suft d’ajouter un peu de citron pour ralentir considérablement le phénomène et ainsi sauvegarder les précieuses vitamines.

Méez-vous des mixeurs car ils oxydent les aliments 200 fois plus rapidement. Pour atténuer cet inconvénient, ajoutez du citron aussitôt. Évitez de conserver des légumes râpés, même au frais. Si j’insiste sur le sens de l’épluchage des légumes et des fruits, c’est que, là aussi, on peut atténuer grandement l’oxydation. Il faut toujours éplucher un légume de la fane vers la racine. C’est-à-dire du haut vers le bas (du ciel vers la terre). Prenons l’exemple d’un poireau. On le coupera en deux de la fane verte vers le blanc. En dernier lieu, on retirera la racine, c’est-à-dire la barbe. Elle peut d’ailleurs être utilisée comme aromate pour préparer une salade ou une sauce. Pour ce qui concerne la pomme de terre, vous devrez vous entraîner à reconnaître l’œil de pousse des germes. En général, l’œil de pousse se situe du côté le plus pointu du tubercule (cela correspond à l’attache de la eur). Coupez-en une en deux. Vous pourrez observer comme une colonne vertébrale centrale avec de petites ramications.

N’avez-vous jamais constaté auparavant qu’à taille égale, certaines pommes de terre cuisaient plus vite que d’autres ?

C’est que, sans le savoir, vous en avez épluché certaines dans le bon sens et d’autres non. Ainsi, éplucher dans le bon sens diminue le temps de cuisson et ralentit l’oxydation du fait du respect de l’« orientation moléculaire », c’est-à-dire du sens de pousse. Un menuisier ne rabote-t-il pas son bois dans le sens de la bre ? S’il rabotait à contresens cela fendrait le bois et le détruirait. Il en est de même pour tous les légumes.

Marion Kaplan





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Le confinement c'est un moment pour penser aux animaux d'élevage qui passent leurs vie enfermés pour la plupart...Les poissons dans leur bocal ou aquarium, les zoos, les chiens et chats dans les refuges qui attendent un nouveau foyer...
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Tu parles, des privilégiers, bien planqués de cette nature hostile et de l'affreux pangolin.:oops2::mrg:
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Tout à fait Cola, se serait bien que les gens prennent simplement conscience, sans cynisme, de cette effroyable, pour beaucoup d'animaux, réalité ...
Rien à voir d'ailleurs avec notre confinement, toute la journée dans nos canapés devant la télé, à grignoter des friandises en se languissant.

[ Dernière édition du message le 31/03/2020 à 01:12:34 ]

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les agriculteurs de la régions qui nécessitent de la main d oeuvre, on eu un soutien populaire, combien de temps ?, beaucoup se sont proposés pour travailler dans les champs. Je parle de la récolte des asperges qui tourne actuellement. La distance de sécu est ok et on peu bosser. L agriculture Moyenne et petite prend un coup. Le livreur bio local continu.:bave: il n ont pas d asperges. :(
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Salut, allez je poste j'ai besoin d'aide.
Comment vous êtes-vous remotivés pendant les downs transitionnels ?
Comme le moral est mof je me mets pas trop la pression mais l'envie revient. Mes carottes sont ou plutôt étaient: moins nuire à autrui, la caisse que j'avais en surf quand j'étais débutant vegétalien strict.

Pour la nourriture je suis revenu de trèèès loin culturellement: Breton de base enfilant la plaquette de 500g de beurre/semaine , viande à tous les repas. Et transition douce vers végétarisme/végétalisme vers 2011 avec un retour flexitarien l'an passé pour convénience sociale. Mais là je suis en pleine régression flemme/junkfood/OD de sucreries et il est temps que j'arrête... ça va peut être me remotiver de vous lire.


Citation de Djardin :
Et pour la durée de vie, en prenant de la qualité le synthétique doit tenir plus que la laine.

Pas de solution pour le lin ou le chanvre, j'ai pas creusé à vrai dire mais l'info m'intéresserait.

Pour la laine le mérinos c'est chouette, pour la durée de vie je valide 2 ticheurtes à manche longue sur plus de 3000 kilomètres de sac à dos. L'un est mort, je l'ai achevé en 2017 lors d'une rando Pyrénées > Paris. L'autre n'a pas bougé parce que moins porté, c'est du Décath' qui a 7 ou 8 ans. Les calebutes merinos ont pas duré, lavé souvent et obligé de les essorer trop durement pour que ça sèche en marchant. Si je regarde en arrière en effet mon ticheurte synthétique de qualité est toujours là et il a servi tout autant mais c'est beaucoup plus galère à l'usage, socialement inacceptable niveau odeurs passé une journée de marche. Tout dépend du contexte quoi. :)

J'ai pas trouvé mieux que le mérinos pour faire un sac à dos léger, être protégé du froid en couchant dehors, sans puer la mort. Pour les voyages non motorisés ou randos au long cours j'aurais pas trop de scrupules à en racheter mais en faisant attention. Je croyais bien faire avec du matos "naturel" à l'époque et puis j'ai découvert le "museling" par la suite... :|
Pour info la marque anglaise Finisterre a ses propres moutons et ne pratique pas cette torture, c'est pour les portefeuilles bien garnis malheureusement. Encore que, ça reste gérable pour les sous-vêtements.

D'ailleurs pour revenir sur le sujet, hormis le trajet, je pensais bien faire avec mes fromages aux noix de cajous aussi, et puis j'ai découvert les conditions de travail des femmes, leurs mains mutilées.
Ca peut être assez désespérant de constater que l'exploitation se cache partout.