Le pub de la Corona...

Et pendant ce temps dans les écoles que le gouvernement refuse de fermer malgré l'alarme générale, non seulement il n'y a aucune consigne d'organiser les cours de sport en extérieur, mais ceux se déroulant à l'intérieur doivent se dérouler sans masque. Il semblerait que le gouvernement vise toujours l'immunité de groupe via les plus jeunes.

En cas de teufeurs, on stoppe la fete illico, on confisque le matos, et place a l'isolement forcé ( je n'ai pas parlé de violence, ni de coups de matraque, ni d'enfermement, attention...) mais un moment donné il faut agir, quitte a faire payer les soins engagés aux contrevenants. L'argument de la liberté ne tiens pas longtemps face aux cuistots (nombreux, hélas...)qui se suicident en ce moment a cause de la fermeture de leur établissement. Ce n'est pas anti jeunes, même si les teufeurs avaient 70 ans et faisaient un thé dansant, je penserai pareil.

Cas particuliers (...) dans la pratique sportive : sous le contrôle des professeurs d’EPS, pas de masque mais on veille à la distanciation physique ;

le texte du journal :'Sur une parcelle boueuse, vingt teufeurs ont poussé le son en plein couvre-feu, ce week-end. Drôle d’endroit pour une fête. Dans la nuit de samedi à dimanche, une vingtaine de personnes, les pieds dans la boue et le cœur à la fête ont été repérées par les services de police effectuant sur place une banale ronde de surveillance, peu après le pont de l'autoroute, en plein champ. Les forces de l’ordre ont demandé les renforts de la BAC (Brigade anticriminalité) de Reims et quinze à vingt personnes se sont mobilisées pour faire cesser ce rassemblement illégal sur fond de musique techno. Les contrevenants étaient également une vingtaine. Douze d’entre eux ont été verbalisées pour avoir violé le couvre-feu en vigueur à 18 heures, les autres se sont évaporés dans les champs avant d’avoir été interpellés. Les organisateurs, deux personnes, originaires pour l’une, de Mairy-sur-Marne, pour l'autre, de Belgique, n’étaient pas connues des services de police. Elles sont poursuivies dans le cadre d’une procédure pour tapage. Il n’y avait encore jamais eu de telle soirée à cet endroit. Cet événement ne manque pas de faire penser à celui survenu à Matougues le 8 août dernier, même si le nombre de fêtards est bien différent : ils étaient presque un millier ce jour-là, et puis, le maire, Bruno Adnet, avait témoigné en disant que le son était d’une telle puissance que « toute la commune en a profité » . Samedi, ce n’était pas le cas à Recy. Les riverains ne s’étaient aperçus de rien et la maire, Carole Saguet-Simon, n’en aurait pas été informée si les policiers ne lui avaient pas rendu compte du rassemblement. Elle explique : « Je n’ai pas été prévenue par les Recyots. L’agriculteur ne s’est pas non plus manifesté, je ne sais pas sur quel terrain cela s’est tenu. Heureusement, il ne s’agit que de vingt personnes mais c’est grave de se réunir même si c’est en plein air. Là où je suis inquiète, c’est que je vois que les bords de Marne et les prés doivent intéresser les jeunes festifs pour du squattage sauvage. Je préférerais que Recy soit connu pour d’autres choses que pour cela, d’autant que ce sont des personnes extérieures à Recy, il n’y a aucun Recyot dans le lot qui soit venu. »