T’avais pas dit que tu arrêtais sur le sujet, toi ?
Moi je vais me prendre une mousse. Je t’en offrirais bien une pour discuter de manière plus fluide IRL, mais c’est couvre-feu. À la tienne.
Il n'y a pas d'autre monde. Il y a simplement une autre manière de vivre.
kruks
1592
AFicionado·a
Membre depuis 14 ans
6292Posté le 12/03/2021 à 18:28:34
Citation :
T’avais pas dit que tu arrêtais sur le sujet, toi ?
Bah ouais mais c'est le couvre feu alors j'me fait chier
Normalement un vendredi soir à cette heure là c'est accoudé à un comptoir que je discute de ce genre de sujets
Cela dit je reste curieux sur la façon dont tu évalues le réel.
Cela dit je reste curieux sur la façon dont tu évalues le réel.
Pour satisfaire ta curiosité, j'ai écrit dans l'autre sujet:
Citation de Mr. :
Je ne dis pas que c’est inutile, mais que c’est un outil dangereux parce qu’il peut être très mal utilisé et causer de grands dommages. Et que malheureusement il est trop souvent mal utilisé, et surtout avec un manque de clarté sur le point de vue de l’auteur.
Donc oui on peut se servir de ces méthodes, mais avec rigueur et transparence. Comme de beaucoup de choses, en fait.
"Bunt Magnet strums the strings of nostalgia and sarcasm with equal flair.". Bah quoi ? Y a pas mort d'homme hein...
Shreddator
2846
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
6299Posté le 12/03/2021 à 21:27:02
Citation de EPE_be :
Citation de kruks :
Quelqu'un a quelque chose à ajouter ?
Au sens strict les sciences sociales ne sont pas plus des sciences que les sciences économiques
La plupart des économistes perçoivent l'économie comme une «science dure», mais certains envisagent la discipline comme une science humaine/sociale, y compris des économistes de droite comme Hayek (et sûrement d'autres plus actuels que je ne connais pas).
Sinon, avant de dire que les sciences sociales ne sont pas des sciences, ce qui est courant chez ceux qui font des sciences dites «dures» (dont moi, je disais ça il y a 5 ou 6 ans parce que je n'y connaissais rien) faudrait avoir une idée claire de ce qu'on appelle la science. Ce qui est assez ironique c'est que c'est chez les scientifiques «durs» (et encore pire, chez les ingénieurs) que les connaissances en épistémologies sont les plus faibles : c'est rare de croiser des physiciens ou des biologistes qui aient une idée claire et non naïve de ce qu'ils appellent la science.