café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique

LR, la danse de la honte
1 juillet 2021 Par Ilyes Ramdani

Une députée Les Républicains et le vice-président du parti s’en sont pris publiquement aux « danses traditionnelles », aux « tam-tams » et aux « étendards étrangers » lors de certains mariages. Loin d’être anecdotiques, ces sorties traduisent la dérive idéologique d’une partie de la droite qui a chaviré dans l’électoralisme.
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Pour appuyer son raisonnement, l’élue du Doubs a expliqué : « Souvent, dans nos villes et nos villages, certaines familles, françaises ou non, d’origine étrangère, brandissent des drapeaux étrangers et manifestent leur tradition par des danses et des spectacles. » Une situation qui « insupporte les gens », a assuré Annie Genevard : « Lorsque l’on est marié dans une mairie française, j’estime qu’il faut se plier aux codes. »

Le lendemain, sur CNews, elle a reçu le soutien du maire (LR) de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), Gilles Platret. Lequel a parlé de certains mariages comme d’un « envahissement » à la mairie et évoqué ces « personnes qui ne respectent rien », brandissent des « étendards étrangers », viennent « avec les tam-tams et la musique », « arrivent systématiquement en retard ». Au cas où ce n’était pas suffisamment clair, l’élu a précisé : « Le problème, c’est l’Afrique du Nord. »

C’est à ce type de saillies que l’air du temps nous habitue. Jusqu’à nous faire oublier qu’il ne s’agit là de rien d’autre que l’expression crasse de la haine de l’autre. L’erreur serait d’en sourire, de traiter cela comme des anecdotes politiques ou de n’y voir que des « dérapages » et des expressions isolées.(...)

La politique de l’eau dans les mains d’un monopole privé
2 juillet 2021 Par Martine Orange

Cela a été les grands sujets oubliés de la bataille entre Suez et Veolia. Il n’a jamais été question de politique de l’eau, de préservation des ressources, de service public. Par sa position dominante, Veolia pourtant va se retrouver en situation d’imposer sa loi aux collectivités.

Indemnité de licenciement : quand barème Macron rime avec humiliation
5 juillet 2021 Par Cécile Hautefeuille

C’est une nouvelle illustration des effets du barème en vigueur depuis 2017 devant les conseils de prud’hommes. Le patron d’une salariée, licenciée de manière abusive, proposait de lui verser 100 euros d’indemnité. Elle a finalement obtenu un mois de salaire, le maximum prévu.

Donc CasioXWG1 me "décrit" comme un "parasite" qui vit sur le dos de la communauté, puisqu'il décrit très précisément mon cas personnel, et je lui ai repondu:

Mais il ne m'a jamais repondu , et la modération n'a pas "bougé" alors que CasioXWG1 venait d'émettre des propos un "brin" provoque et un légèrement insultant à mon égard.