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Wavesfactory Spectre
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Test du Wavesfactory Effects Bundle

Exciter logiciel de la marque Wavesfactory

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Test écrit
16 réactions
Jésus revient !
9/10
Award Valeur sûre 2021
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Parti de petites banques pour Kontakt vendues trois fois rien, Wavesfactory n’en finit plus de se montrer toujours plus innovant et ambitieux, que ce soit du côté des instruments virtuels ou des plug-ins d’effets rassemblés en un bundle qui mérite bien qu’on s’y attarde.

Test du Wavesfactory Effects Bundle : Jésus revient !

Oui, je sais : le titre est énig­ma­tique, mais lorsque vous saurez que derrière Waves­fac­tory se cache en fait Jesus Ginard, un espa­gnol vivant à Majorque, vous aurez compris le clin d’oeil. Et le clin d’oeil est d’au­tant plus appuyé que l’ami Jesus a montré à plusieurs reprises qu’il était capable de petits miracles, réali­sant des banques comme des plug-ins souvent assez origi­naux bien que demeu­rant acces­sibles pécu­niai­re­ment parlant et simples d’em­ploi. C’est le cas de son Effects Bundle qui réunit déjà cinq outils de haute volée si l’on en croit certains de ses illustres utili­sa­teurs (Greg Wells, Alan Branch, Dom Morley, pour n’en citer que quelques uns), un bundle qui mérite bien qu’on le détaille, et dont le plug-in le plus popu­laire n’est autre que…

Tracks­pa­cer

trackspacerLorsqu’on veut mixer ensemble deux pistes qui tendent à se masquer l’une l’autre, l’une des méthodes les plus couram­ment employée consiste à réali­ser des égali­sa­tion complé­men­taires entre les deux. De manière plus bour­rine, on se conten­tera parfois via un compres­seur voire un compres­seur multi­bande en side­chain de creu­ser dans la piste A chaque fois qu’il se passe quelque chose sur la piste B. C’est en se basant là-dessus que Waves­fac­tory a imaginé Tracks­pa­cer : un égali­seur 32 bandes qui va analy­ser la courbe de réponse qu’on lui soumet via l’en­trée laté­rale, pour effec­tuer une égali­sa­tion inverse sur la piste qu’il traite. Dès lors, mixer un kick et une basse devient un jeu d’en­fant, tout comme d’as­seoir la place d’une voix au sein d’un play­back. L’idée est simple et redou­ta­ble­ment bien exécu­tée en l’oc­cu­rence.

L’in­ter­face de Tracks­pa­cer est ainsi irré­pro­chable dans ce sens où elle est d’une grande simpli­cité, qu’elle est lisible et qu’elle est enfin libre­ment redi­men­sion­nable. Sous un écran permet­tant de visua­li­ser le signal détecté et la correc­tion appliquée, on dispose d’un gros potard pour doser le trai­te­ment, flanqué de deux autres potards plus petits pour défi­nir la fréquence de coupure d’un coupe-bas et d’un coupe-haut, et donc la zone du spectre sur laquelle Tracks­pa­cer va travailler.

trackspacersettingsUn bouton Freeze permet de figer la courbe d’éga­li­sa­tion opérée, tandis qu’un petit point bleu dans le coin infé­rieur droit du visua­li­seur donne accès aux préfé­rences du logi­ciel : outre un pano­ra­mique dont vous pour­rez défi­nir s’il s’ap­plique en mode droite/gauche ou mid/side, on peut ici régler la vitesse d’at­taque et de relâ­che­ment du trai­te­ment et entendre unique­ment le signal utilisé par le side­chain. Bref, rien d’ex­tra­va­gant mais il n’en faut pas plus pour que le plug-in demeure simple à comprendre et utili­ser.

Et dans les faits, ça marche souvent incroya­ble­ment bien, au point d’en faire un must have lorsqu’il s’agit de régler en trois clics un problème épineux. Voyez ces exemples où la voix est rame­née vers l’avant par rapport aux guitares, et où un kick se dégage d’une basse :

BASSE­bouf­fe­KICK
00:0000:03
  • BASSE­bouf­fe­KICK00:03
  • BASSE­bouf­fe­KI­CK­cor­rige(2)00:03
  • BASSE­bouf­fe­KI­CK­cor­ri­geAt­tack00:03
  • LAflaque­NO­tracks­pa­cer00:14
  • LAflaque­WI­TH­tracks­pa­cer00:14

On se gardera bien de mettre des Tracks­pa­cers partout dans un projet sous peine d’ob­te­nir des choses assez impré­vi­sibles avec des side­chains en cascade, mais pour peu qu’on sache l’uti­li­ser à bon escient, l’ou­til est tout bonne­ment excellent dans son rapport simpli­cité/effi­ca­ci­té… Que lui repro­che­rait-on ? Quasi­ment rien, vu qu’à moins de 60 euros, Tracks­pa­cer n’a même pas le défaut d’être cher… Disons qu’on aime­rait dispo­ser d’un système de compa­rai­son A/B pour swit­cher d’un réglage à l’autre, encore que cela ne soit vrai­ment pas très gênant à l’usage vu le peu de contrôles avec lesquels il faut dealer… Bref, une petite tuerie…

Les plus :

  • Une idée simple…
  • …pour un plug-in simple à utili­ser
  • Inter­face nickel
  • Effi­ca­cité
  • Mono ou stéréo par bande, en L/R ou M/S
  • Le prix

Les moins :

  • Pas de compa­rai­son A/B de réglages

Note : 4,5

Spectre

Ça ressemble à un égali­seur, ça a un nom d’éga­li­seur, mais comme vous vous en doutez, ce n’est pas un égali­seur. Repre­nant l’in­ter­face d’un EQ para­mé­trique 5 bandes, Spectre est en effet un exci­ter basé sur 10 algos de satu­ra­tion : Tube, Warm tube, Solid (à tran­sis­tor), Tape, Solid, Diode, Class B (Distor­sion de croi­se­ment typique des amplis de classe B), Bit (crusher évidem­ment), Digi­tal, Rectify et Half rectify.

spectreChacune des 5 bandes peut recou­rir à l’un des dix algos, sachant que vous pouvez ensuite déter­mi­ner, comme sur un EQ, la fréquence centrale et la largeur de la bande, ainsi que son « boost » et le ou les canaux sur lesquels elle travaille : stéréo, gauche, droite, milieu ou côté. Les possi­bi­li­tés sont déjà énormes de ce côté, en sachant que vous pouvez défi­nir le niveau d’en­trée dans le plug-in (crucial pour un trai­te­ment basé sur de la distor­sion), le niveau de sortie avec compen­sa­tion du gain possible (crucial aussi), et enfin le dosage de l’ef­fet. Au bas de l’in­ter­face, outre une belle collec­tion de presets orga­ni­sés par caté­go­ries, on signa­lera la possi­bi­lité de travailler dans 3 quali­tés possibles pour acti­ver ou non un suréchan­tillon­nage x4 ou x16 au prix d’une plus grande charge CPU, un moyen de défi­nir le compor­te­ment de la satu­ra­tion entre subtil, médium ou agres­sif, et un trai­te­ment de de-Empha­sis débrayable pour suppri­mer le boost spec­tral que Spectre applique à son premier étage de trai­te­ment. L’in­ter­face est une nouvelle fois redi­men­sion­nable et un manuel complet mais non traduit vous attend au format PDF…

Vous l’au­rez compris : on est face à une bête un peu plus complexe que Tracks­pa­cer, mais qui n’est pas pour autant plus compliquée à utili­ser car l’idée de reprendre les codes d’un égali­seur para­mé­trique rend Spectre extrê­me­ment intui­tif… Par la qualité des distor­sions modé­li­sées comme par son côté complet, le plug-in a du coup vite fait de se rendre indis­pen­sable, que ce soit pour redon­ner de la présence à une voix trop terne, de l’air à un mix trop sourd, des basses à un kick manquant d’as­sise. Ce sera aussi un outil très effi­cace pour sculp­ter des sons de guitares doublées et s’as­su­rer d’une complé­men­ta­rité spec­trale entre elles, et ceci de manière autre­ment plus simple qu’en chan­geant les réglages sur l’am­pli ou encore les réponses à impul­sion des baffles. Bref, c’est un remarquable couteau suisse qui nous est proposé et qui peut sans conteste prétendre au titre de meilleur « exci­ter » du marché dans son rapport puis­sance/qualité/simpli­cité. Au rayon des menues critiques, on souli­gnera un petit manque de contraste sur certains textes de l’in­ter­face et surtout sur l’icône permet­tant de lier le niveau d’en­trée au niveau de sortie pour effec­tuer de la compen­sa­tion de gain. On déplo­rera encore le manque d’un système de compa­rai­son A/B entre deux réglages, tout comme le fait que rien ne bouge sur l’in­ter­face en terme de visua­li­sa­tion, ce qui est un peu dérou­tant mais pas gênant.

Spec­tre­Drum­sDRY
00:0000:08
  • Spec­tre­Drum­sDRY00:08
  • Spec­tre­Drum­sBASS00:08
  • Spec­tre­Drum­sSIDES00:08
  • Spec­tre­Drum­sCLIP00:08
  • Spec­tre­Cel­lo­Dry00:09
  • Spec­tre­Cel­loOD00:09
  • Spec­tre­Gui­tars­Dry00:24
  • Spec­tre­Gui­tars­Wet00:24
  • Spec­tre­MIX­dry00:24
  • Spec­tre­MIX­Bas­sim­prove00:24
  • Spec­tre­MIX­hifi00:24

Les plus :

  • Le son
  • Grande poly­va­lence
  • Inter­face fami­lière et très bien pensée
  • 10 algos de satu­ra­tion
  • Mono ou stéréo par bande, en L/R ou M/S
  • Over­sam­pling x16
  • Le prix

Les moins :

  • Quelques contrastes gênant la lisi­bi­lité sur l’in­ter­face graphique
  • Pas de compa­rai­son A/B de réglages
  • Inter­face statique

Note : 4,5/5

Cassette

Inutile de reve­nir sur l’ex­cellent test réalisé par Nantho il y a quelques temps sur Audio­fan­zine, si ce n’est pour souli­gner qu’il s’agit d’une simu­la­tion extrê­me­ment complète et réaliste de rendu sur cassette audio, avec tout ce que cela implique comme déli­cieux arte­facts, et non d’un simu­la­teur de magné­to­phone de studio à bande. Nous sommes donc ici face à trai­te­ment Lo-Fi qui conserve les mêmes quali­tés lors de notre test et les mêmes défauts : on aime­rait toujours dispo­ser d’un système de compa­rai­son de réglages A/B, tout comme d’ef­fets typiques de la bande : Tape Stop / VariS­peed, etc. Mais à moins de 60 euros, la qualité des émula­tions comme la variété des réglages propo­sés en font un produit de réfé­rence dans son domai­ne…

Allez voir ça de plus près sur le test que nous avions réali­sé…

Echo Cat

D’une bande l’autre, on passera de Cassette à Echo Cat, émula­tion accla­mée du WEM Copi­cat Inventé en 58 par Char­lie Watkins, un delay à bande mythique, au même titre que l’Echo­plex, le Binson Echo­Rec ou le Roland Space Echo. Il est évidem­ment ques­tion de retrou­ver ici tout ce qui fait le son de ce genre d’ef­fet et qui tient dans la façon dont la bande dégrade les échos géné­rés, tant d’un point de vue spec­tral que dyna­mique en intro­dui­sant du bruit et de la distor­sion. Mais il est aussi ques­tion de faire une relec­ture moderne de l’ef­fet, en lui ajou­tant des possi­bi­li­tés absentes de l’ori­gi­nal : synchro­ni­sa­tion au tempo de l’hôte pour chacune des trois têtes de lecture, usage en Mid/Side, gestion de l’image stéréo, filtres sur la distor­sion, possi­bi­lité de ducking…

Tout cela passe par quatre onglets : dans Heads, on accède au réglage de chacune des trois têtes, qu’il s’agisse du temps de délai, du volume et du pan et de la fréquence de coupure des filtres coupe-bas/coupe-haut. Dans l’on­glet Tape, l’au­teur de Cassette offre ensuite de quoi para­mé­trer l’ému­la­tion de la bande, ce qui passe par le réglage du Wow, du Flut­ter et de l’âge de cette dernière évidem­ment, mais va même jusqu’à émuler la join­ture de la boucle : un sens certain du détail ! L’on­glet Motor permet de régler la ronflette de ce dernier comme sa vitesse avec la possi­bi­lité d’ap­pliquer une modu­la­tion sur celle-ci. Master propose enfin tout ce qui est rela­tif à la stéréo et l’éga­li­sa­tion globale de l’ef­fet, mais aussi une fonc­tion de ducking qui baisse auto­ma­tique­ment le volume des répé­ti­tions quand le signal dry joue, ce qui favo­rise l’au­di­bi­lité de ce dernier… Bref, il y a de quoi faire, que ce soit en motifs ryth­miques complexes ou en pseudo réverbes et slap back, le tout pouvant être sali à loisir à mesure des répé­ti­tions qui peuvent se défor­mer à l’in­fini, nous renvoyant à la belle époque de Robert Frip et de ses expé­ri­men­ta­tions. Notez que les ajouts apportent un vrai plus, la syncro bien sûr, le ducking aussi, mais encore et surtout la gestion de la stéréo via le Mid/Side : un vrai régal pour étof­fer le son d’une piste !

Voyez ce que ça donne sur ces quelques exemples (les premières mesures sont dry à chaque fois) :

delay­cat
00:0000:38
  • delay­cat00:38
  • delay­cat­drums01:09

Encore une fois, à part un système de compa­rai­son de réglage A/B, il n’y a rien à redire sur ce qui nous est fourni : la musi­ca­lité et le carac­tère sont là. Bravo !

Les plus

  • Le son !
  • Inter­face très bien pensée
  • Syncro au tempo
  • Mode M/S et gestion de la stéréo
  • Ducking

Les moins :

  • Pas de compa­rai­son A/B de réglages

Quan­tum

quantumDernier né de la gamme d’ef­fets de l’édi­teur, Quan­tum est assu­ré­ment son projet le plus ambi­tieux et nova­teur, même s’il repose sur une idée une nouvelle fois très simple : propo­ser un hybride entre tran­sient desi­gner et multief­fet qui permette de trai­ter diffé­rem­ment l’at­taque et le sustain du signal, un peu dans l’es­prit du Physion d’Even­tide sorti il y a quelques années.

L’in­ter­face est une nouvelle fois très réus­sie, à la fois classe et bien orga­ni­sée, même si bien des labels sont un peu trop petits. Cette dernière s’or­ga­nise assez logique­ment : la colonne de gauche est dédiée aux attaques et à leur section d’ef­fets dédiée, celle de droite propose la même chose pour les sustains. Quant au centre de l’in­ter­face, il propose au sommet un visua­li­seur qui permet de voir ce qui est détecté comme attaque ou comme sustain avec de quoi affi­ner la détec­tion, et en-dessous une zone qui servira à éditer chacun des effets que vous êtes suscep­tible d’uti­li­ser.

fxOn dispose exac­te­ment de la même liste de 16 effets pour chaque section : Chorus, Compres­sor, Convo­lu­tion, Delay, Enhan­cer, EQ, Flan­ger, Limi­ter, Lo-Fi, Phaser, Pitch Shif­ter, Reverb, Satu­ra­tion, Stereo Tools, Tremolo et Vibrato. Notez que vous pour­rez utili­ser l’in­té­gra­lité des effets dans chaque section mais que vous n’au­rez droit qu’à une occu­rence : impos­sible donc de mettre deux delay de suite. En revanche, vous avez tout loisir pour muter l’un d’eux et réor­ga­ni­ser leur ordre.

Même si l’on regret­tera le fait qu’ils ne disposent pas de presets pour rappe­ler simple­ment certains réglages, les modules d’ef­fet eux-même sont assez bien foutus, offrant un bon compro­mis entre simpli­cité et fonc­tion­na­lité, à la manière de ce qu’on peut voir dans les snapin de Kilo­hearts pour ceux qui connaissent. On retrouve notam­ment des algos de Spectre pour l’en­han­cer ou la distor­sion, tandis que la seule possi­bi­lité de pouvoir char­ger ses propres réponses impul­sion­nelles dans le proces­seur à convo­lu­tion étend encore confor­ta­ble­ment le terrain de jeu. Reste à éprou­ver le concept sur le terrain, histoire de voir si ce Quan­tum tient de la brillante idée au-delà du papier.

Quan­tum est d’abord un proces­seur de tran­si­toires et c’est donc sans le moindre effet secon­daire qu’il s’agit d’ap­pré­cier son à-propos. La première bonne nouvelle, c’est qu’il se comporte extrê­me­ment bien sur une batte­rie, permet­tant de réduire les attaques au néant complet ou de les rendre proémi­nentes, et d’as­sé­cher une prise batte­rie comme d’al­ler cher­cher géné­reu­se­ment les réso­nance des futs et l’am­biance de la pièce. Inutile de dire qu’alors, on prend un certain plai­sir à utili­ser tous les jouets qui nous sont offerts pour réali­ser des choses plus ou moins utiles ou barrées. Cela pourra très bien permettre de chan­ger le son de pièce d’une batte­rie pour la rempla­cer par une réverbe plus maîtri­sable, ou encore donner du mordant aux frappes en appliquant un bitcru­sher ou une disto sur les attaques unique­ment. Bref, un outil autant utile en situa­tion de mixage que pour faire des choses plus créa­tives et que l’on a hâte de compa­rer avec l’EQ d’Even­tide récem­ment sorti pour en appré­ci­ser les diffé­ren­ces…

Voici quelques exemples de ce qu’il est possible d’ob­te­nir, sachant que comme pour tous les plug-ins de l’édi­teur, il est vive­ment recom­mandé de télé­char­ger les versions d’éva­lua­tion pour se faire une idée :

QUAN­TUM­drum­sDRY(2)
00:0000:08
  • QUAN­TUM­drum­sDRY(2)00:08
  • QUAN­TUM­drum­sBubbles00:08
  • QUAN­TUM­drum­sRe­du­ce­Tran00:08
  • QUAN­TUM­drum­sWeird­Sides00:08
  • QUAN­TUM­gui­tars­DRY00:22
  • QUAN­TUM­gui­tars­GLITCH00:22


Les plus

  • Inter­face très bien conçue
  • Excellent moteur de sépa­ra­tion tran­si­toires/sustains
  • Une belle collec­tion de modules d’ef­fet
  • Très perti­nent sur les sons percus­sifs
  • Utili­sable pour le mixage comme le sound design et la prod

Moins

  • Sur certaines sources, il faut bien twea­ker pour obte­nir une sépa­ra­tion inté­res­sante
  • On aime­rait encore plus d’ef­fets ; auto­pan, reverse, etc.
  • Pas de possi­bi­lité d’uti­li­ser plusieurs occu­rence d’un même effet dans chaque chaîne
  • Pas de presets pour les modules d’ef­fets
  • Pas de compa­rai­son A/B de réglages

Note : 4,5

Conclu­sion

Deux effets créa­tifs, deux trai­te­ments orien­tés mixage et un multief­fet pouvant être aussi bien utilisé pour la prod, le sound design ou encore le mixage : il ne fait aucun doute que ce bundle a de l’al­lure et que son prix n’a rien d’in­co­hé­rent en regard de la qualité de ce qui nous est proposé tant sur le plan du son que sur celui de l’er­go­no­mie ou de l’ori­gi­na­lité. Il appar­tien­dra à chacun de voir ce qui l’in­té­resse là-dedans à l’heure de faire chauf­fer la carte bleue. On a hâte en tout cas de décou­vrir quelles prochaines idées Jésus va explo­rer pour complé­ter tout cela, sachant que le petit auteur de banques de sons pas chères a fait bien du chemin et joue aujour­d’hui dans la cour des grands. Chapeau bas !

9/10
Award Valeur sûre 2021
Points forts
  • Voir de détail pour chaque plug-ins mais de manière globale :
  • Originalité des outils
  • Qualité des traitements
  • Interfaces bien pensées et redimensionnables
  • Prix, en bundle évidemment, mais à l'unité aussi
Points faibles
  • Pas de comparaison A/B
Auteur de l'article Los Teignos

Si j'avais eu le physique, nul doute que j'aurais fait un grand Sumo, mais vu que je ne pèse que 80 kg, j'occupe mon temps comme je peux entre musique et littérature.


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Si j'avais eu le physique, nul doute que j'aurais fait un grand Sumo, mais vu que je ne pèse que 80 kg, j'occupe mon temps comme je peux entre musique et littérature.