réactions au dossier [Bien débuter] Une histoire d’EQ (6e partie)
- 100 réponses
- 29 participants
- 19 566 vues
- 38 followers
Nantho Valentine
4124
Rédacteur·trice
Membre depuis 22 ans
Sujet de la discussion Posté le 24/02/2015 à 09:46:24[Bien débuter] Une histoire d’EQ (6e partie)
Aujourd’hui, nous allons nous intéresser au phénomène du masquage fréquentiel : qu’est-ce donc et comment peut-on y remédier ?
Lire l'article
Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
Lire l'article
Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
francki09
506
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 18 ans
71 Posté le 09/03/2015 à 08:02:58
Pour une fois je trouve que Globule a taper juste dans son explication.
Qu'on soit debutant ou confirmé , logiquement quand on en est a ce stade la , c'est qu'on est ni sourd ni hèrmétique, donc il a raison, et je suis entierrement d'accord quand il parle de nos premieres decisions " la premiere impression est souvent la bonne "
La premiere ecoute et donc la premiere decision est logiquement la bonne car qui dit premiere decision dit premiere ecoute, et c'est souvent le fait d'ecouter pour la premiere fois , ou de ré ecouter avec du recul qui nous fait prendre conscience des points a améliorer.
Un petit èxcés de confiance en soit parfois ca a du bon
De toute facon il faut bien s'arreter sur une décision a un moment ou a un autre sinon on ne les finirai jamais nos mix
Qu'on soit debutant ou confirmé , logiquement quand on en est a ce stade la , c'est qu'on est ni sourd ni hèrmétique, donc il a raison, et je suis entierrement d'accord quand il parle de nos premieres decisions " la premiere impression est souvent la bonne "
La premiere ecoute et donc la premiere decision est logiquement la bonne car qui dit premiere decision dit premiere ecoute, et c'est souvent le fait d'ecouter pour la premiere fois , ou de ré ecouter avec du recul qui nous fait prendre conscience des points a améliorer.
Un petit èxcés de confiance en soit parfois ca a du bon
De toute facon il faut bien s'arreter sur une décision a un moment ou a un autre sinon on ne les finirai jamais nos mix
Franck Studio SDF
[ Dernière édition du message le 09/03/2015 à 08:04:19 ]
rroland
27029
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 20 ans
72 Posté le 09/03/2015 à 09:00:54
Perso, je suis d'avis de choisir dès l'enregistrement de prendre des options claires. Chaque étape implique de prendre des décisions, et garder des tas de possibilités dès 'enregistrement cela disperse l'énergie. A ne pas savoir où l'on va, on est perdu. Et je n'ai jamais eu à regretter ce type de travail. Comme le dit globule_655 : n'avoir que des pistes DI pour les guitares permet surtout de ne pas savoir ce que l'on veut. Autant cela peut être utile d'avoir une poste DI "en plus", autant n'avoir que cela ne donne aucune info sur ce que les gens souhaitent.
Le premier choix utile est de ne pas travailler dans un local à l'acoustique pourrie durant des séances d'une longueur infinie, dans l'urgence, etc. A force d'accumuler les bourdes, on ne peut être certain que 'une chose : on sera déçu du résultat. proposer un service sérieux, c'est cela aussi : organiser une session de travail dans des conditions décentes.
Le premier choix utile est de ne pas travailler dans un local à l'acoustique pourrie durant des séances d'une longueur infinie, dans l'urgence, etc. A force d'accumuler les bourdes, on ne peut être certain que 'une chose : on sera déçu du résultat. proposer un service sérieux, c'est cela aussi : organiser une session de travail dans des conditions décentes.
Rroland www.studiolair.be
Anonyme
8413
73 Posté le 09/03/2015 à 10:23:39
Citation :
Le premier choix utile est de ne pas travailler dans un local à l'acoustique pourrie durant des séances d'une longueur infinie, dans l'urgence, etc. A force d'accumuler les bourdes, on ne peut être certain que 'une chose : on sera déçu du résultat. proposer un service sérieux, c'est cela aussi : organiser une session de travail dans des conditions décentes.
Oui, certes, mais quand ca fait partie du projet lui meme d'enregistrer dans une acoustique improbable, que le groupe chercher quelque chose justement de complétement atypique... Il n'y a pas qu'une seule façon de bien faire les choses. Je suis d'accord qu'il faut une méthodologie mais je ne vois pas en quoi, enregistrer une roue de secours pose problème... Surtout que jusqu'à, maintenant, dans ce projet, je ne me suis servi que d'un seul back up (DI de gtr) pour reamper un son très difficile a obtenir...
Anonyme
8413
74 Posté le 09/03/2015 à 10:23:40
Citation :
Le premier choix utile est de ne pas travailler dans un local à l'acoustique pourrie durant des séances d'une longueur infinie, dans l'urgence, etc. A force d'accumuler les bourdes, on ne peut être certain que 'une chose : on sera déçu du résultat. proposer un service sérieux, c'est cela aussi : organiser une session de travail dans des conditions décentes.
Oui, certes, mais quand ca fait partie du projet lui meme d'enregistrer dans une acoustique improbable, que le groupe chercher quelque chose justement de complétement atypique... Il n'y a pas qu'une seule façon de bien faire les choses. Je suis d'accord qu'il faut une méthodologie mais je ne vois pas en quoi, enregistrer une roue de secours pose problème... Surtout que jusqu'à, maintenant, dans ce projet, je ne me suis servi que d'un seul back up (DI de gtr) pour reamper un son très difficile a obtenir...
Robin Schneider
816
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 16 ans
75 Posté le 09/03/2015 à 13:02:55
Je pense qu'on est tous plus ou moins d'accord au fond. Je suis un partisan de la DI "sortie de guitare" en plus d'une prise d'ampli. Ce qui permet d'avoir son parti pris dès la début et à défaut d'avoir "le son définitif de l'album tellement il est bien" on a déjà le cap bien défini pour faire un beau reamping.
La piste DI est également très utile au montage à l'heure des flex-time à gogo où lelle permet de bien visualiser les coups de médiator même si le son d'ampli est un mur d'harmoniques.
La notion de roue de secours n'est donc pas un problème du tout, surtout si on a un gros ordi et beaucoup d'entrées sur son système.
Je travaille sur un projet de project studio et je compte mettre au patch 8 split au niveau micro ou au niveau ligne pour pouvoir enregistrer "dry mic>preamp" d'un côté et avec un son déjà traité de l'autre.
Le souci c'est plutôt quand des ingés n'enregistrent que ce qu'on appelle la roue de secours pour ensuite tout créer au mixage à coup de plugin, surtout sur des styles un peu à l'ancienne comme le rock.
Au final, la question qu'on soulève tous et qui est finalement presque HS vis à vis de ces dossiers somme toute très technique : quel son recherche l'artiste dès le départ ? et au sein du projet, qui a la responsabilité de l'esthétique sonore ?
Ce peut très bien être le groupe si il sait exactement ce qu'il veut comme son. Si le groupe n'est pas sûr de lui il peut engager un directeur artistique ou laisser faire le technicien son qui s'occupe de la prise et/ou du mixage.
La question finalement c'est "qui décide de l'esthétique sonore ?". Si les prises sont destinées à être envoyé à l'autre bout du monde à un mixeur de renom qui souhaite avoir des pistes ultra dry pour appliquer "son style" sur le morceau, alors le technicien à la prise se doit d'appliquer le minimum de traitement possible.
En revanche, si l'artiste sait exactement ce qu'il veut ou si l'ingé/directeur artistique l'a déterminé dès le début du projet, autant directement partir dans cette direction dès la prise tout en se ménageant des possibilités de retour en arrière, notamment sur les guitares electriques, les voix etc.
Enfin, pour revenir au sujet, il reste l'aspect "technique" de l'égalisation quant à la gestion du grave, des résonnances parasites etc.
Si le contexte ne permet pas de régler le problème à la source (lieux de prise improbable, impossible d'obtenir une meilleure caisse claire bien accordée etc.) et qu'on a un bon EQ sous la main, autant régler le problème avec dès le départ (si on y parvient), ça fera moins de travail pour les étapes ultérieures.
La piste DI est également très utile au montage à l'heure des flex-time à gogo où lelle permet de bien visualiser les coups de médiator même si le son d'ampli est un mur d'harmoniques.
La notion de roue de secours n'est donc pas un problème du tout, surtout si on a un gros ordi et beaucoup d'entrées sur son système.
Je travaille sur un projet de project studio et je compte mettre au patch 8 split au niveau micro ou au niveau ligne pour pouvoir enregistrer "dry mic>preamp" d'un côté et avec un son déjà traité de l'autre.
Le souci c'est plutôt quand des ingés n'enregistrent que ce qu'on appelle la roue de secours pour ensuite tout créer au mixage à coup de plugin, surtout sur des styles un peu à l'ancienne comme le rock.
Au final, la question qu'on soulève tous et qui est finalement presque HS vis à vis de ces dossiers somme toute très technique : quel son recherche l'artiste dès le départ ? et au sein du projet, qui a la responsabilité de l'esthétique sonore ?
Ce peut très bien être le groupe si il sait exactement ce qu'il veut comme son. Si le groupe n'est pas sûr de lui il peut engager un directeur artistique ou laisser faire le technicien son qui s'occupe de la prise et/ou du mixage.
La question finalement c'est "qui décide de l'esthétique sonore ?". Si les prises sont destinées à être envoyé à l'autre bout du monde à un mixeur de renom qui souhaite avoir des pistes ultra dry pour appliquer "son style" sur le morceau, alors le technicien à la prise se doit d'appliquer le minimum de traitement possible.
En revanche, si l'artiste sait exactement ce qu'il veut ou si l'ingé/directeur artistique l'a déterminé dès le début du projet, autant directement partir dans cette direction dès la prise tout en se ménageant des possibilités de retour en arrière, notamment sur les guitares electriques, les voix etc.
Enfin, pour revenir au sujet, il reste l'aspect "technique" de l'égalisation quant à la gestion du grave, des résonnances parasites etc.
Si le contexte ne permet pas de régler le problème à la source (lieux de prise improbable, impossible d'obtenir une meilleure caisse claire bien accordée etc.) et qu'on a un bon EQ sous la main, autant régler le problème avec dès le départ (si on y parvient), ça fera moins de travail pour les étapes ultérieures.
Rob' Schneider,
Ingénieur du son et musicien à We Tailor Sound,
Batteur de La Loom Spencer and Partners
Musicien joker de Joe Chicago
Favorite tools : Samar VL37A, PorticoII, Reaper, Smart Eq, Axiom.
EraTom
2282
AFicionado·a
Membre depuis 13 ans
77 Posté le 09/03/2015 à 19:22:34
Citation :
Pourquoi pas.Qu'on a un bon EQ sous la main, autant régler le problème avec dès le départ (si on y parvient), ça fera moins de travail pour les étapes ultérieures.
Ceci dit : Moins de travail pour les étapes ultérieures mais plus à la prise. Au global ça ne change rien. Régler un EQ ça reste régler un EQ.
En terme de transparence, problème de phase, etc. on trouve plus de solutions satisfaisantes en numérique qu'en analogique (c'est factuel) ; à la prise ou non alors ?
Bref, faux débat que voilà et je ne comprends pas trop pourquoi, sur ce coup, il faudrait absolument choisir dès le début.
Citation :
Ben justement, ce qu'évoquait ReNo Mellow est la piste "en plus" qui peut servir de roue de secours, rien de plus.Autant cela peut être utile d'avoir une poste DI "en plus", autant n'avoir que cela ne donne aucune info sur ce que les gens souhaitent.
Et personnellement, ce qui me fait réagir est que je ne vois pas en quoi prévoir une roue de secours pourrait empêcher quelqu'un d'avoir une vision claire du projet et de faire des choix au lieu de tourner en rond sans but.
Pour relancer la modes des anaphores :
- Ce n'est pas parce que l'on pose une boîte à sucre sur la table que je vais sucrer mon café.
- Ce n'est pas parce que j'ai 6 vitesses à ma bagnole que je vais griller tous les stops.
- Ce n'est par parce qu'il y a un filet tendu que le trapéziste va rater son triple saut périlleux.
- Ce n'est pas parce que j'ai une piste DI en plus sur chaque prise que je retarde chaque décision.
Nom d'un cul, c'est tout de même insupportable ces anaphores
Au contraire même, savoir que l'on a les arrières protégés permet de s'éviter quelques hésitations...
[ Dernière édition du message le 09/03/2015 à 19:24:46 ]
Anonyme
9677
78 Posté le 09/03/2015 à 20:05:33
Hors sujet :
Toi Président, tu interdiras les anaphores !
EraTom
2282
AFicionado·a
Membre depuis 13 ans
79 Posté le 09/03/2015 à 22:40:03
x
Hors sujet :Moi Président, je ferais mes discours sur du True Epic Heavy Metal.
- < Liste des sujets
- Charte