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Sujet Commentaires sur le test : Test du Nymphes de Dreadbox

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Sujet de la discussion Commentaires sur le test : Test du Nymphes de Dreadbox
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Après le succès du Typhon, le Nymphes promet le son analogique polyphonique à tarif modéré. Avec une interface ultra minimaliste, voyons si les arbitrages opérés permettent d’allier le plaisir des doigts à celui des oreilles…


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j'en perds mon français, je voulais dire encensement
152
Citation de synthwalker :
Si la façade du Nymphes avait pu ressembler à l'éditeur...

+1 Absolument, je ne l'aurais pas renvoyé s'il ressemblait à ça !

Au passage, je ne comprendrai jamais l'intérêt d'acheter du hardware dans le but de s'en servir avec un éditeur pour créer ses sons, il y a vraiment une logique qui m'échappe là :?!:

Je ne parle pas du Nymphes, un éditeur (si on est à l'aise avec ça...) peut effectivement se justifier mais généralement, à chaque nouvelle annonce de synthé même s'il est criblé de potards, on a toujours les guignols de service qui réclament à cor et à cri un éditeur pour pouvoir s'en servir (sans parler de la sempiternelle demande d'une version rack !). Une préoccupation générationnelle sûrement, je n'ai pas d'autre explication :???:
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Ça dépend du synthé. Sur un synthé basique genre une Bassline on a tout sous la main donc ça semble évidemment inutile.
Mais sur un Minilogue XD, l'éditeur permet notamment de charger de nouvelles formes d'onde du multi engine, ou simplement gérer les noms et ordre des presets.
Sur un Wavestate ça permet d'aller en profondeur (et sans doute plus facilement aussi) dans ses entrailles.
Et sur l'Osmose à venir ou son ancêtre le Continuum, le Eagan Matrix est tellement touffu que c'est impossible de faire du sound design directement depuis le hardware (et j'en suis le premier désolé).

[ Dernière édition du message le 16/01/2022 à 09:23:11 ]

154
Moi non plus je ne vois pas l'intérêt d'investir dans du hardware pour se coltiner un éditeur, un soft comme librairie ok, mais pour le sound design, non
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Le Continuum ou l'Osmose c'est différent, depuis le départ c'est un concept d'interface hardware + éditeur software, le but du hardware étant d'embarquer un instrument inédit + les processeurs sonores et celui du software d'éditer un synthé à moteurs multiples nécessitant absolument une édition graphique.
156
Perso, je n'aime pas faire de la musique avec l'ordinateur, mais eh les filles et les gars, on n'a pas tous le même usage.

Ne peut-on pas imaginer qu'un musicien préfère l'interface d'un ordinateur et soit, malgré tout, un peu fétichiste du hardware ?
Ne peut-on pas imaginer qu'un musicien adore le son analogique mais privilégie le séquençage (...) de son instrument dans une station audionumérique ?
Ne peut-on pas imaginer qu'un musicien préfère concevoir ses programmes sur un ordinateur et utilise ensuite son instrument sans ordi sur scène ?

Je pense que ce n'est pas qu'on ne comprend pas les préférences des uns et des autres, c'est juste qu'on ne les ressent pas.
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Citation de stiiiiiiive :

Ne peut-on pas imaginer qu'un musicien préfère concevoir ses programmes sur un ordinateur et utilise ensuite son instrument sans ordi sur scène ?


Je peux comprendre l'attrait pour du vsti, ou un soft pour une workstation bien plus dense qu'un synthé et nettement moins oriente potard
Mais généralement le plaisir d'un synthe hardware classique et barde de contrôles, c'est le contact avec l'instrument, une souris et un écran te sors complètement du process

[ Dernière édition du message le 17/01/2022 à 01:41:20 ]

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Hors sujet :
Ah "généralement", oui. Je pointais justement du doigt que "généralement" ne suffit pas lorsqu'on parle de la variété de goûts et de couleurs :)

J'ai fait mes armes sur Nord G2 : un modulaire à l'écran à la maison, un synthé à potards sur scène.
Je ne fais plus de synthèse à l'écran, mais je n'ai fait le pas du modulaire hardware non plus.
Va comprendre :D
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Citation de stiiiiiiive :

Ne peut-on pas imaginer qu'un musicien préfère concevoir ses programmes sur un ordinateur et utilise ensuite son instrument sans ordi sur scène ?

Je pense que ce n'est pas qu'on ne comprend pas les préférences des uns et des autres, c'est juste qu'on ne les ressent pas.


C'est justement ce que je fais avec mon Moog Sirin. Je bosse les sons à la maison avec l'éditeur et je peaufine sur le synthé direct en répète. Et je bidouille en live aussi direct sur le synthé.

C'est comme ça que j'envisageais le Nymphes du coup.
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Citation de Juljaaz :
C'est justement ce que je fais avec mon Moog Sirin. Je bosse les sons à la maison avec l'éditeur et je peaufine sur le synthé direct en répète. Et je bidouille en live aussi direct sur le synthé.


Le parallèle avec la gamme Minitaur/Sirin me semble tout à fait pertinent. :bravo:

Et des contrôleurs hardware programmables - donc universels - comme l'electra.one permettent de rapprocher les deux univers si nécessaire, i.e. en rajoutant les contrôleurs physiques, l'écran (tactile) et/ou l'affichage des valeurs qui manquent au(x) synthé(s).

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Hors sujet :
J'ai d'ailleurs fait un profil pour le Minitaur. :oops:

« What is full of redundancy or formula is predictably boring. What is free of all structure or discipline is randomly boring. In between lies art. » (Wendy Carlos)