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Eventide Tverb
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Test de la réverbe logicielle Eventide Tverb

Réverbération algorithmique logicielle de la marque Eventide

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Test écrit
35 réactions
Plug-in héroïque ?
7/10
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Eventide s'est associé au célèbre producteur/ingénieur du son Tony Visconti afin de créer un nouveau joujou sobrement baptisé Tverb. Comme nous allons le voir, ce plug-in est un peu à part puisqu'il ne s'agit pas d'un traitement audio "classique", mais plutôt d'une technique de production bien particulière. Revue de détail...

I will be King

Dispo­nible pour Mac (OS X 10.7+) et PC (Windows 7+) aux formats VST, AAX et AU, la Tverb d’Even­tide utilise le système de protec­tion iLok. Que les aller­giques au célèbre dongle physique se rassurent, l’édi­teur offre la possi­bi­lité, grâce au logi­ciel iLok License Mana­ger, de lier l’au­to­ri­sa­tion à une clé iLok, mais égale­ment direc­te­ment à votre ordi­na­teur. Notez aussi que l’achat du plug-in comprend deux licences à répar­tir libre­ment entre clé(s) USB iLok 2 ou ordi­na­teur(s).

Pour en finir avec les détails tech­niques, sachez qu’une instance de la Tverb consomme entre 0,8% et 1,2% de ressource CPU sur ma machine de guerre (Mac Pro fin 2013 Hexa­coeur Xeon 3,5 GHz – 32 Go DDR3) et induit 8 samples de compen­sa­tion de latence. Ces chiffres me paraissent tout à fait raison­nables, d’au­tant que ce joujou n’est pas de ceux que l’on glisse sur toutes les pistes d’un projet. Mais de quoi s’agit-il exac­te­ment ? C’est ce que nous allons voir tout de suite…

Eventide Tverb : Tverb

Comme son nom le laisse suppo­ser, Tverb navigue dans des eaux réver­bé­rantes, même s’il n’est pas ici ques­tion de la « réver­bé­ra­tion à papa » clas­sique. Afin de créer ce plug-in, Even­tide s’est inspiré d’une tech­nique de studio utili­sée pour la première fois par Tony Visconti lors de l’en­re­gis­tre­ment du titre « Heroes » de David Bowie. Depuis sa paru­tion en 77, cette chan­son a inspiré bon nombre de produc­teurs et l’as­tuce de Visconti est désor­mais un clas­sique des studios. La combine a pour base une cruelle réalité d’alors : il ne restait plus qu’une piste dispo­nible pour enre­gis­trer la voix du roi David et Visconti souhai­tait égale­ment captu­rer la réver­bé­ra­tion du lieu d’en­re­gis­tre­ment à deux endroits distincts. Pour pallier le manque de voies, l’in­gé­nieux ingé­nieur du son a eu l’idée d’en­voyer trois micros sur l’unique canal : le premier pour capter le chant du Thin White Duke, le deuxième légè­re­ment plus loin pour reprendre un peu du son de la pièce, et le dernier encore plus loin pour une réverbe plus pronon­cée. Le truc réside dans l’em­ploi de Gates sur les signaux des micros 2 et 3 avec des constantes tempo­relles diffé­rentes. Ainsi, lorsque Bowie chante douce­ment, aucun Gate ne s’ouvre et l’en­re­gis­tre­ment se réduit au signal inti­miste du premier micro ; lorsque sa voix s’en­vole sensi­ble­ment, le Gate du micro 2 s’ouvre et ajoute alors une petite ambiance ; enfin, lorsque David déraille, tous les micros sont ouverts pour un rendu d’une profon­deur envoû­tante.

 

Repro­duire cette méthode dans le monde réel ou virtuel n’a, en soi, rien de vrai­ment sorcier. Dans le premier cas, il suffira de calquer son mode d’en­re­gis­tre­ment à celui de Visconti ; dans le second, un envoi de la piste de chant vers deux canaux auxi­liaires virtuels avec un couple Gate/réverbe judi­cieu­se­ment confi­guré sur chacun d’eux fera la blague… Encore faut-il avoir le lieu ou le plug-in de réver­bé­ra­tion capable de tenir la route face à la salle origi­nelle, la Meis­ter­saal du Hansa Tons­tu­dio à Berlin. De plus, la solu­tion tout-en-un propo­sée par Even­tide semble offrir des pers­pec­tives beau­coup plus vastes que la tech­nique dont il s’ins­pire, jugez plutôt…

You will be Queen

La première chose qui frappe lors de l’ou­ver­ture de la Tverb, c’est son inter­face graphique photo­réa­liste du plus bel effet. Cela peut vous paraître anodin, mais l’édi­teur améri­cain nous a habi­tué à des GUI autre­ment plus austères, parfois à la limite du fouillis. Or, le graphisme est ici d’une élégance certaine et propose un agen­ce­ment rendant l’uti­li­sa­tion du plug-in diable­ment intui­tive. Seule ombre au tableau, cette inter­face n’est pas redi­men­sion­nable et il faut bien avouer que la lisi­bi­lité n’est pas opti­male sur un grand écran. Mais passons…

Eventide Tverb : Meistersaal

L’in­ter­face se divise essen­tiel­le­ment en deux parties. Le quart supé­rieur repré­sente la fameuse Meis­ter­saal et permet de placer libre­ment via glis­ser/dépo­ser les micros 2 et 3, ce qui aura pour effet de modi­fier le son réver­béré. Il est égale­ment possible de rentrer direc­te­ment au clavier la posi­tion laté­rale ainsi que la distance (malheu­reu­se­ment en pieds, pas en mètres…) de ces micros en cliquant sur les bulles appa­rais­sant lors de leur survol. Si cette façon de mani­pu­ler les micros ne sera pas la plus utili­sée, il est inté­res­sant de noter qu’elle permet de les placer exac­te­ment au même endroit, chose impos­sible dans le monde réel et qui n’est pour­tant pas sans inté­rêt, comme nous le verrons plus tard. 

Autre fonc­tion utile, Tverb comprend des raccour­cis qui faci­litent gran­de­ment la vie lors de la recherche du bon empla­ce­ment. Ainsi, le « glis­ser + Shift » sur un micro mets celui-ci en solo, un « glis­ser + clic droit » limite le dépla­ce­ment à un seul axe, « Alt + clic » ou double clic renvoie aux valeurs par défaut et « glis­ser + Cmd » augmente la préci­sion du chan­ge­ment de valeur.

Dernier point concer­nant ce quart supé­rieur du plug-in, et pas des moindres, le survol du micro prin­ci­pal permet d’ac­ti­ver des filtres passe-haut et passe-bas, mais surtout offre la possi­bi­lité de choi­sir la direc­ti­vité du micro ! En posi­tion cardioïde, le micro ne capte pas le son de la pièce ; en mode bidi­rec­tion­nel, nous obte­nons un léger ajout d’am­biance ; et enfin, en posi­tion omni­di­rec­tion­nelle, le signal s’ac­com­pagne d’une bonne dose de réverbe, certes subtile, mais bel et bien discer­nable. 

Eventide Tverb : Console

Passons main­te­nant à la partie infé­rieure de la Tverb. Cette dernière reprend le look d’une console vintage type Neve et offre 4 voies : une tranche pour chaque micro (donc post-réver­bé­ra­tion) et la voie master. À l’ins­tar de la confi­gu­ra­tion utili­sée par Visconti à l’époque, nous trou­vons un compres­seur sur la tranche du micro 1 avec les réglages clas­siques (on/off, seuil, ratio, temps d’at­taque et de relâ­che­ment, gain), et des modules de gate pour chacune des deux autres tranches avec les contrôles on/off, seuil, temps d’at­taque, de main­tien (Hold) et de relâ­che­ment, un switch Link pour lier les réglages des deux gates, et enfin un switch « Pre » pour que le signal pilo­tant les gates soit prélevé avant le compres­seur. Pas grand chose à redire ici, c’est simple et fonc­tion­nel. Seul détail légè­re­ment gênant, les indi­ca­teurs de niveaux d’en­trée et de réduc­tion de gain pour chaque module sont un tanti­net lilli­pu­tiens et donc pas vrai­ment utiles.

Concer­nant les tranches des micros à propre­ment parler, le premier détail qui saute aux yeux, ce sont les rota­tifs pour la balance gauche/droi­te… Contrai­re­ment à la tech­nique « de base » qui était, de fait, mono­pho­nique, la Tverb est stéréo ! Cela n’a peut-être l’air de rien dit comme ça, mais vous verrez à l’oc­ca­sion de la séance d’écoute que l’im­pact sonore de ce « détail » est diable­ment attrayant. 

Remarquez égale­ment la présence de boutons « Mute », « Solo », et inver­sion de pola­rité pour chacune des 3 tranches. Enfin, si cette fois-ci les VU-mètres indiquant les niveaux de sortie de chaque tranche sont d’une taille correcte, il est regret­table que la mani­pu­la­tion des faders vienne assom­brir ce beau tableau tant leur manie­ment à la souris n’est pas des plus aisés. En effet, il arrive fréquem­ment qu’en essayant « d’at­tra­per » un fader, ce dernier fasse litté­ra­le­ment un bond, et c’est loin d’être pratique.

Je ne m’at­tar­de­rai pas sur la voie master tant cette dernière est limpide. En revanche, prenons un instant pour parler du module situé juste au dessus de cette tranche, à savoir le module baptisé « Room ». Contrai­re­ment à ce que l’on pour­rait croire, le but de cette section n’est pas de trai­ter la réver­bé­ra­tion a poste­riori. En fait, il s’agit ici de mode­ler le son de la pièce produi­sant la réver­bé­ra­tion, chose plutôt déli­cate dans la vie de tous les jours. Il est ainsi possible de modi­fier la taille de la queue de réverbe, la diffu­sion et le rendu fréquen­tiel dans le haut et le bas du spectre. L’en­semble est simple, effi­cace, rien à signa­ler.

Eventide Tverb : TinyVerb

Pour termi­ner ce tour d’ho­ri­zon, jetons un oeil à la barre supé­rieure du plug-in. En partant de la droite nous avons un réglage de mixage entre le signal source et le signal traité, un judi­cieux bouton « Mix Lock » permet­tant de verrouiller ce dosage lors du passage d’un preset à un autre, un bouton « i » ouvrant le manuel de la Tverb (très bien fait et bourré de bons conseils… mais seule­ment en anglais), et enfin un bloc consa­cré aux presets afin de les sauve­gar­der, rappe­ler, compa­rer, navi­guer, etc. Bref, rien de fonciè­re­ment neuf par rapport à d’ha­bi­tude chez Even­tide. Et c’est bien dommage d’ailleurs car certaines choses pour­raient être amélio­rées à mon sens. Par exemple, la fonc­tion « Compare » est inté­res­sante mais se limite à compa­rer un preset avec une varia­tion de celui-ci, ce qui n’est pas aussi puis­sant qu’un « undo/redo » ou un compa­ra­teur A/B. De plus, face au nombre impres­sion­nant de presets, le système de gestion est un poil archaïque… Des fonc­tions de recherche et / ou de tags seraient les bien­ve­nues pour s’y retrou­ver plus faci­le­ment. Enfin, si la fonc­tion « Mix Lock » est fort sympa­thique pour un plug-in de réver­bé­ra­tion « clas­sique », elle n’est pas des plus utiles ici car la Tverb s’uti­lise prin­ci­pa­le­ment en insert ; une option simi­laire pour les réglages de seuil des modules de gate et du compres­seur aurait été beau­coup plus inté­res­sante, me semble-t-il.

Avant de passer aux exemples sonores, une dernière remarque. L’uti­li­sa­teur devra faire atten­tion à l’al­ter­nance Play/Stop de la tête de lecture de sa STAN. En effet, si l’en­chaî­ne­ment est trop rapide, les gates n’au­ront pas le temps de reve­nir à leur posi­tion de « repos », ce qui peut pertur­ber la prise de déci­sion en situa­tion de mixage.

Stan­ding by the wall

Quoi de plus logique qu’une ligne de chant pour commen­cer cette séance d’écoute ?

01 Vox dry
00:0001:01
  • 01 Vox dry 01:01
  • 02 Vox cardio 01:01
  • 03 Vox omni 01:01
  • 04 Vox bi 01:01

Pour ces quatre premiers extraits, j’ai voulu illus­trer l’im­pact du choix de la direc­ti­vité du micro 1. Avouez que cette option est sympa­thique pour ajou­ter une petite touche d’am­biance, non ?

Passons main­te­nant au coeur de la Tverb avec les micros 2 et 3.

05 Vox wet only
00:0001:01
  • 05 Vox wet only 01:01
  • 06 Vox wet 01:01
  • 07 Vox wet pan 01:01
  • 08 Vox wet invert 01:01

Le premier exemple présente le signal unique­ment issu de ces deux micros avec les gates réglés de façon à s’ou­vrir progres­si­ve­ment en fonc­tion de l’in­ten­sité du chant. L’ex­trait suivant reprend les mêmes réglages avec en sus le signal du micro 1. Jolie mise en pers­pec­tive, n’est-ce pas ? Le sample suivant va encore plus loin en exploi­tant les possi­bi­li­tés stéréo­pho­niques du plug-in, ce qui permet de créer un mouve­ment laté­ral fort plai­sant. Enfin, le dernier extrait exploite une astuce présen­tée dans le manuel utili­sa­teur. Les micros 2 et 3 sont placés rigou­reu­se­ment au même endroit avec exac­te­ment les mêmes réglages de tranche à une excep­tion près, l’une des voies a sa pola­rité inver­sée. Résul­tat des courses, la réver­bé­ra­tion s’en­tend cette fois-ci lorsque la voix est calme et s’éteint lors des passages plus « pêchus ». Effet de contraste garanti pour une mise en oeuvre enfan­tine, un vrai régal !

Voyons à présent ce que donne la Tverb sur d’autres instru­ments, en commençant par un trom­bone.

09 Trom­bone dry
00:0000:48
  • 09 Trom­bone dry 00:48
  • 10 Trom­bone wet 00:48
  • 11 Trom­bone FX 00:48

Le premier extrait se résume au signal source. Pour le deuxième, aucun gate n’est activé et nous pouvons consta­ter que la réver­bé­ra­tion à elle seule vaut déjà son pesant de caca­huètes. Le dernier exemple emploie diffé­rents réglages pour les gates afin d’ob­te­nir une agréable sensa­tion de pers­pec­tive.

Passons à une ligne de basse synthé­tique.

12 Synth dry
00:0000:23
  • 12 Synth dry 00:23
  • 13 Synth wet 00:23
  • 14 Synth FX 00:23

Comme pour l’exemple précé­dent, le premier sample est « sec », le deuxième n’uti­lise pas les gates, et le troi­sième utilise des réglages permet­tant de renfor­cer le mouve­ment de vague ryth­mique du riff.

Testons la bête sur une guitare élec­trique.

15 eGtr dry
00:0000:21
  • 15 eGtr dry 00:21
  • 16 eGtr wet 00:21

Même démarche que précé­dem­ment et même constat : la réverbe seule sonne déjà très bien et les modules de gates permettent d’ob­te­nir rapi­de­ment une sensa­tion de mouve­ment des plus plai­santes.

En sera-t-il de même sur une batte­rie ?

18 Drums dry
00:0000:12
  • 18 Drums dry 00:12
  • 19 Drums wet 00:18
  • 20 Drums FX 00:14

Ici, j’ai volon­tai­re­ment utilisé une dose de réver­bé­ra­tion exagé­rée sur le bus complet car une fois les gates acti­vés et judi­cieu­se­ment réglés, le mouve­ment généré me parais­sait inté­res­sant.

Enchaî­nons avec une prise de piano.

21 Piano dry
00:0001:24
  • 21 Piano dry 01:24
  • 22 Piano wet 01:24
  • 23 Piano FX 01:24

Déci­dé­ment, la tech­nique de Visconti n’a pas son pareil pour renfor­cer le côté « drama­tique » d’une perfor­mance ! 

Pour finir, voici une petite expé­rience réali­sée à partir d’une piste de piano élec­trique.

24 ePiano dry
00:0000:24
  • 24 ePiano dry 00:24
  • 25 ePiano wet only 00:24
  • 26 ePiano FX 00:24

Pour ces exemples, j’ai tenté d’au­to­ma­ti­ser le mouve­ment des micros 2 et 3 au sein de la pièce virtuelle. Bien que le rendu soit ici plutôt outran­cier, la bonne nouvelle c’est que l’au­to­ma­tion se passe sans anicroche, pas le moindre clic audio comme c’est malheu­reu­se­ment trop souvent le cas avec certaines réverbes. Ici, tous les réglages sont auto­ma­ti­sables en toute trans­pa­rence. Chapeau bas !

Voilà qui clôture notre session d’écoute. Je tiens à souli­gner que la réali­sa­tion de ces exemples sonores a été un véri­table jeu d’en­fant. La prise en main n’est qu’une pure forma­lité et les conseils distil­lés dans le manuel d’uti­li­sa­tion consti­tuent une véri­table mine d’or.

As though nothing could fall

Si vous m’avez fait l’hon­neur de lire ces quelques lignes jusque-là, vous devez certai­ne­ment vous douter de la conclu­sion que je m’ap­prête à livrer. Tverb (221 € prix géné­ra­le­ment constaté) n’est certes pas exempt de défauts, il ne fait d’ailleurs pas non plus partie des plug-ins que je quali­fie­rais d’in­dis­pen­sables. Mais Bon Dieu que ça sonne ! La réver­bé­ra­tion à elle seule vaut déjà le détour. Mais la faci­lité de mise en oeuvre de la méthode Visconti et les sensa­tions sonores de mouve­ment, contraste et pers­pec­tive que cela procure enfoncent défi­ni­ti­ve­ment le clou pour faire de cet outil bien plus qu’un acces­soire super­flu. Honnê­te­ment, je ne lui décerne pas un Award parce que nous ne pouvons pas en donner un à tout le monde, mais ce n’est vrai­ment pas l’en­vie qui m’en manque.

Télé­char­gez les extraits sonores (format WAV)

  • Eventide Tverb : TinyVerb
  • Eventide Tverb : Tverb
  • Eventide Tverb : Meistersaal
  • Eventide Tverb : Console

 

7/10
Points forts
  • Le son !
  • Possibilités bien au-delà de la technique originale
  • GUI attrayante
  • Utilisation intuitive
  • Manuel complet et bourré de conseils
  • Automation totale sans clic audio
  • iLok avec ou sans dongle USB…
Points faibles
  • … Mais iLok quand même
  • Interface petite sur grand écran et non redimensionnable
  • Distance des micros exprimée en pieds
  • Maniement des faders délicat
  • Pas de comparateur A/B ou d'undo/redo
  • Gestionnaire de presets pas assez poussé

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