Synthés dans la variété française 80s ?
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Une interview intéressante sur la composition/mixage du titre Etienne Etienne !
)
Coramel
6662
Modérateur·trice généraliste
Membre depuis 22 ans
Merci Ladent 
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vilak
3971
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 7 ans
Music with e-
134
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 17 ans
Citation de kosmix :
Ah mais elle ne sortait donc pas de nul part cette fameuse "Guesch" Patricia avec don Étienne Étienne Étienne !
Bon Da Capo bof bof bof !
Une interview intéressante sur la composition/mixage du titre Etienne Etienne !
vilak
3971
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 7 ans
Je viens d'apprendre la mort en décembre 2022 de Jean-Paul Corbineau, la "voix douce" des Tri Yann, un groupe dont les chansons ont accompagné les quinze premières années de ma vie.
Waouh, là ça me fait vraiment mal!!!
En hommage, je vous met la chanson la plus électronique de celles qu'il interprète dans le groupe. Extraite d'un album enregistré entre juin et juillet 1983, la présence du DX7 est improbable pour des questions de timing et rupture de stock.
Waouh, là ça me fait vraiment mal!!!
En hommage, je vous met la chanson la plus électronique de celles qu'il interprète dans le groupe. Extraite d'un album enregistré entre juin et juillet 1983, la présence du DX7 est improbable pour des questions de timing et rupture de stock.
vilak
3971
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 7 ans
François Bréant et son Odyssey, accompagnant Bernard Lavilliers sur scène en 1977
Et une petite anecdote marrante :
La civière
1977
Lavilliers est en pleine ascension. On commence à tourner dans les théâtres municipaux, et les centres culturels. Néanmoins la manière familiale de tourner n’a pas changé. Nous voyageons entassés dans un Ford Transit avec Bernard, Michel Martig, le manager. Jean Louis Dagorno l’ingénieur façade et « Frisé » le roadie. C’est dire le temps passé ensemble à débriefer le concert de la veille, proposer de nouvelles idées pour le concert du soir, Parler de philo, de politique, de musique, de cinoche. Déconnage, dérision et non-sens sont omniprésents et Bernard malgré ses airs sérieux de pourfendeur des tyrannies, ne perd jamais une occasion de se pourfendre aussi la pipe.
Dans « bandits joyeux, insolents et drôles » il y a drôle.
A chaque concert, il déclamait le très tragique poème de Boris Vian, « J’voudrais pas crever ».
Un soir, nous sommes en coulisses à attendre le « noir salle » pour notre entrée en scène. Bernard repère une civière de premier secours contre un mur et propose :
_ « On va les sidérer. Voilà, je m’installe dans la civière comme si j’étais clamsé, Manu et François vous me portez jusqu’à l’avant scène devant le micro, vous me déchargez au sol comme un sac de patate. Je ressuscite, bondis au micro et déclame : « J’voudrais pas crever ». On le fait ? »
Et on l’a fait. Pendant quelques secondes le public s’est cru dans un spectacle de Odeurs ou du Bonheur des Dames. Pas facile après ce gag de potache, d’enchaîner sur « Lettre ouverte à Louis Pauwels » ou « C’est la grande marée », mais on l’a fait quand même.
Et une petite anecdote marrante :
La civière
1977
Lavilliers est en pleine ascension. On commence à tourner dans les théâtres municipaux, et les centres culturels. Néanmoins la manière familiale de tourner n’a pas changé. Nous voyageons entassés dans un Ford Transit avec Bernard, Michel Martig, le manager. Jean Louis Dagorno l’ingénieur façade et « Frisé » le roadie. C’est dire le temps passé ensemble à débriefer le concert de la veille, proposer de nouvelles idées pour le concert du soir, Parler de philo, de politique, de musique, de cinoche. Déconnage, dérision et non-sens sont omniprésents et Bernard malgré ses airs sérieux de pourfendeur des tyrannies, ne perd jamais une occasion de se pourfendre aussi la pipe.
Dans « bandits joyeux, insolents et drôles » il y a drôle.
A chaque concert, il déclamait le très tragique poème de Boris Vian, « J’voudrais pas crever ».
Un soir, nous sommes en coulisses à attendre le « noir salle » pour notre entrée en scène. Bernard repère une civière de premier secours contre un mur et propose :
_ « On va les sidérer. Voilà, je m’installe dans la civière comme si j’étais clamsé, Manu et François vous me portez jusqu’à l’avant scène devant le micro, vous me déchargez au sol comme un sac de patate. Je ressuscite, bondis au micro et déclame : « J’voudrais pas crever ». On le fait ? »
Et on l’a fait. Pendant quelques secondes le public s’est cru dans un spectacle de Odeurs ou du Bonheur des Dames. Pas facile après ce gag de potache, d’enchaîner sur « Lettre ouverte à Louis Pauwels » ou « C’est la grande marée », mais on l’a fait quand même.
vilak
3971
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 7 ans
Toujours Bréant, toujours avec Lavilliers, quelques années plus tard
Coramel
6662
Modérateur·trice généraliste
Membre depuis 22 ans
Il est bizarre cet accordéon, non? 
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kosmix
46850
Ma vie est un thread...
Membre depuis 19 ans
Mode d'emploi, page 12 : utiliser l'Odyssey en accordéon chromatique...
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
Coramel
6662
Modérateur·trice généraliste
Membre depuis 22 ans
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Push-Pull
20266
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
La photo est géniale, on voit bien qu'ils avaient l'air de bien s'amuser.
D'autant plus que su l'Ody les volumes des VCO sont baissés, le filtre est en bas avec résonnance à fond, et il y a juste la modulation du filtre par le S/H qui est ouverte.
Il devait se taper un bon solo de nawak façon R2D2 !
D'autant plus que su l'Ody les volumes des VCO sont baissés, le filtre est en bas avec résonnance à fond, et il y a juste la modulation du filtre par le S/H qui est ouverte.
Il devait se taper un bon solo de nawak façon R2D2 !
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