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Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.

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Sujet de la discussion Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.
Je fais un honteux copié-collé du post de Renaudg :

Citation de renaudg :
Salut,

Je me suis souvent demandé quels étaient les synthés de prédilection sur un certain nombre de tubes 80s en variété/synthpop internationale qui ont quelques riffs mémorables.

Toutes infos bienvenues :)


Alors on commence par celui-là.
Pro-one pour la basse et le synthé.
Pour le rythme j'entends divers sources : TR-808 + ARP 2600 ou TR-808 + Pro-one

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1491
Le "Monsieur Test" de ce magazine semble s’appeler Jean-Paul Verpeaux.
1492
Il avait fait changer son nom. La première syllabe n'était pas "ver", mais "pic"
Il a fait une association d'idée : "pic"... pic-vert...

Et c'est comme ça qu'on est passé de Jean-Paul Pipeaux, à Verpeaux.

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

1493

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

1494
C'est vraiment super intéressant tout ce travail d'archiviste de vilak.

Cela replace les synthés dans le contexte où ils sont apparus. Comment ils étaient présentés, perçus, utilisés, combien ils étaient vendus, ce qu'en disait la presse. Les journalistes musicaux découvraient ces nouveaux instruments étranges (ça ne m'étonne pas qu'il y ait des organistes parmi eux) et parlaient à des lecteurs néophytes, c'étaient des borgnes au royaume des aveugles. A part quelques pro privilégiés et des riverains de magasins de musique, le commun des mortels n'avait aucune source d'information alternative. Du coup on buvait ces paro... euh, ces grosses âneries en rêvant du jour où on pourrait se payer un petit coucou avec sa mini-paye de stage.
C'était le temps de l'insouciance, les journalistes pouvaient écrire n'importe quoi sur les synthés, les lecteurs ne pouvaient que le croire !

Aujourd'hui, tout cela est évidemment révolu. Les lecteurs devenus membres de forums sont parfaitement avertis. Les néophytes ne le restent pas longtemps, même si ils poussent souvent de travers. Mais une sorte de dichotomie s'est formée : la course à l'information rapide d'un côté, la critique immédiate sans retenue de l'autre. Vite-fait-mal-fait des deux côtés ! La forme a triomphé sur le fond. La vidéo d'influenceur est devenue parole divine, avec la possibilité de tout sanctionner par un pouce inquisiteur. Quoi qu'on fasse, on ne peut échapper aux critiques acerbes de certains venus se défouler cachés derrière leur écran.
On en vient à regretter ce temps où nous étions naïfs, prêts à croire n'importe quoi et impatients d'aller chercher le nouveau numéro de notre magazine préféré chez le marchand de journaux.
1495
C’est quoi, cette déprime ? :mrg:

[ Dernière édition du message le 17/04/2021 à 10:55:12 ]

1496
Citation de synthwalker :
C'est vraiment super intéressant tout ce travail d'archiviste de vilak.

Cela replace les synthés dans le contexte où ils sont apparus. Comment ils étaient présentés, perçus, utilisés, combien ils étaient vendus, ce qu'en disait la presse. Les journalistes musicaux découvraient ces nouveaux instruments étranges (ça ne m'étonne pas qu'il y ait des organistes parmi eux) et parlaient à des lecteurs néophytes, c'étaient des borgnes au royaume des aveugles. A part quelques pro privilégiés et des riverains de magasins de musique, le commun des mortels n'avait aucune source d'information alternative. Du coup on buvait ces paro... euh, ces grosses âneries en rêvant du jour où on pourrait se payer un petit coucou avec sa mini-paye de stage.
C'était le temps de l'insouciance, les journalistes pouvaient écrire n'importe quoi sur les synthés, les lecteurs ne pouvaient que le croire !

:bravo:

Et à l'époque le côté "imitatif" était vraiment mis en avant: pu*** le JX6Y il a de ces sons d'orgues, wouaahou ! :mrg:

Oui, la presse écrite était la quasi seule source d'information. Il y avait quelques salons, parfois un contact avec le représentant d'un importateur, épicétou.


1497
Je note aussi que le Jupiter-6 coûtait environ 6.900 euros d'aujourd'hui (soit plus que le prix du Moog One version 8 voies...). Ça remet un peu les choses en place :clin:

Ma chaîne electro YouTube

<<<<<<<< Hú Li >>>>>>>>

1498
Citation de croulebarbe :
Je note aussi que le Jupiter-6 coûtait environ 6.900 euros d'aujourd'hui (soit plus que le prix du Moog One version 8 voies...). Ça remet un peu les choses en place :clin:


A 22.000 francs, le JP6 coutait à peu près 6 Smic bruts de l'époque (3.680).





J'ai survolé l'interview. Quelle fatuité, j'en suis vraiment choqué.

Citation de synthwalker :
On en vient à regretter ce temps où nous étions naïfs, prêts à croire n'importe quoi et impatients d'aller chercher le nouveau numéro de notre magazine préféré chez le marchand de journaux.


Ce sentiment est très présent dans les "vieux de la vieille" de toute sous-culture (le terme n'est pas péjoratif, ne vous vexez pas).
Quand à 16/17 ans au début des 90's, je me suis intéressé aux mangas, j'ai sué, transpiré et lâché de grosses sommes pour avoir quelques vidéos, CD et bouquins.
Aujourd'hui, qui plus est avec Internet, l'information est immédiate et complète et la plupart des besoins peuvent être assouvis avec une bourse modeste .
1499
x
Hors sujet :
Citation :
au début des 90's, je me suis intéressé aux mangas

je me rappelle aussi de cette époque :mrg:

A Paris, tu avais une poignée de boutiques qui vendaient ça, je me souviens de la librairie japonaise "Junku", avec son sous sol dédié à ça, Tonkam, rue Monge, et les boutiques de jeux vidéos (notamment autour de Jussieu) qui en vendaient aussi.

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

1500
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Hors sujet :
Alors va d'urgence sur ce lien du forum Goldorak dont je suis modérateur, tu y trouveras beaucoup de liens qui te rappelleront des choses :

"Les premiers animefans français, souvenirs et témoignages"
https://www.goldorakgo.com/forums/viewtopic.php?f=4&t=4260

[ Dernière édition du message le 17/04/2021 à 13:10:32 ]