Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.

Voila ma source
http://www.frenchviolation.com/dm/index.php/post/2007/05/18/81-a-broken-frame

Citation de Coramel :

(pendant ce temps, Dave s’en fourrait plein le pif et Fletch faisait le café).

Rhôôô quelle médisance !

Note : je sais que tout le monde ici a une dent contre Andrew Fletcher (visiblement c'est un trait commun aux fans de DM) mais Alan Wilder insiste quand-même sur le fait qu'il joue un rôle important dans l'organisation du groupe.

Vilak, tu es sûr pour le JP8 ? il me semblait que c'était lui qui faisait les brass et textures cuivrées à la fin de Leave in silence et sur Satellite...

De toute facon eux suel le savent, une chose est sur, L'album d'apres bouleversa tout avec les sample.

Puis en live, a force de passer en vsti, je trouve que ca ne sonne plus du tout comme avant, il y a un cote hifi trop propre que je n'aime pas

Alan Charles Wilder was born into a middle class family and was raised in Acton, West London. He began piano at the age of eight, through the encouragement of his parents. Later on, he learned the flute at St Clement Danes grammar school and became a leading musician in his school bands. After school, Alan worked as a studio assistant at DJM Studios. This led to him ending up working for bands such as The Dragons and Dafne & the Tenderspots (as Alan Normal). Others include Real to Real (featuring Adrian Chilvers on bass, Pete Fresh on guitar, Wolfgang Marlander on drums and Paul St. James on vocals), The Hitmen, and The Korgis, appearing on the UK No. 13 single "If I Had You" (1979).

musicien-nes du Punk Rock ou de la New Wave

Suicide, Thau and Leon assembled at Ultima, along with hapless in-house engineer Larry Alexander. They started by setting up Rev’s Farfisa, Rhythm Prince, distortion boxes and hooked in transistor radio. Max’s [kansas City] manager Peter Crowley still marvels at Suicide’s set-up at that time. “They didn’t have any money, so Marty had a primitive drum machine and old Farfisa keyboard, which had broken keys and a bunch of Electro-Harmonix guitar distortion devices that he plugged in series between the keyboard and amplifier in order to get this really raunchy sound. My belief is that they never sounded better than when they had that broken down stuff.”

on pouvait se permettre n'importe quel excès, car le seul droit de réponse était le courrier des lecteurs

Aujourd'hui, on te saute dessus dès que tu omets un Award ou que tu notes trop bas.

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Hors sujet :

dans la version vynil de leur compil de 85, Depeche Mode n'a pas mis quelques unes des mauvaises critiques qu'ils ont eu à l'époque ?
Il me semble l'avoir lu.

Ah oui, ça fait plusieurs chroniques / critiques de ce magazine que je trouve très réac, pour ne pas dire facho, en tout cas insupportable... C'est quand même en grande partie grâce à l'émancipation gay britannique fin 70's/début 80's que la New Wave a émergé, démocratisant la musique électronique à grands coups de synthés, samplers et BAR. Jusqu'alors, les différents courants étaient plutôt élitistes, avec leurs strings machines planantes, modulaires spaghettis et Minimoog pour virtuoses.

Merci pour les scans à venir!