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Matériel et méthode pour lire la musique dans sa tête

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Sujet de la discussion Matériel et méthode pour lire la musique dans sa tête
Bonjour,

Je connais quelques rudiments de solfège, harmonie, etc. et j'aimerais apprendre à "lire la musique" dans les partitions, cad à pouvoir prendre une partition et la chanter sans l'aide d'un instrument.

J'imagine qu'il faut s'astreindre à un certain travail quotidien, mais je ne sais pas trop comment faire pour que ce soit "optimal" en termes de temps passé.
Quels méthodes me conseillez-vous ? Avec quels ouvrages, outils ou logiciels éventuellement ?

Merci d'avance pour votre aide :D:.
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111
Citation :
tu es un menteur ou tu sais pas lire, ou un mélange des deux

Peut-être suis-je les deux, mais je ne permets pas de propos aussi désobligeants et catégoriques.

J'ai simplement proposé à Alexandre une méthode qui a fait ses preuves pour faire un travail auditif progressif, efficace et productif, sans le besoin de recourir aux modulations, structures tonales, degrés, tonalité, etc.

On peut en effet chanter juste un intervalle en se servant d'un morceau existant dans la mémoire collective, sans moduler ni faire appel au directeur de la Royal Academy of Music.

C'est aussi simple que cela.

C'est toi-même qui a introduit des concepts avancés faisant appel à la connaissance de la tonalité. C'est inutile ici, en tout cas dans les premiers temps de l'apprentissage.

C'est indispensable pour faire des études musicales sérieuses, mais c'est complètement hors de propos et prématuré au stade qui nous intéresse ici.

Je ne vois pas comment exprimer les choses de manière plus limpide.

On peut lire et entendre des choses simples sans connaître certaines notions abstraites; il faut arrêter d'effrayer les gens; ça fait beaucoup de mal à l'ensemble des élèves et des profs !

En tout cas, c'est ce qui ressort de ton discours qui cite constamment tonique, tonalité, degrés, etc.

Peut-être as-tu besoin de tout cela pour te rassurer...
112
Mefci aux deux tetes de noeud de service d'avoir rendu le sujet illisible...

C'est quoi vos vies pour que vous ayez besoin d'imposer ce que vous pensez etre la verite a tout le monde?

Vous kiffez les dictatures, les bourrins et les etroits d'esprit? Vous essayez de leur ressembler?

J'exagere un peu parce que vous avez quand meme donne des pistes et nourri la discussion mais a un moment fermez la, suivez votre methode puisque c'est la meilleure, et laissez les gens lire ce sujet tranquillement nom d'une pipe!

https://soundcloud.com/abbaon

 

113
Le probleme c'est quand des types comprennent meme pas que le solfege lui meme EST la Methode.
Il y a sept notes a gerer avec comme moyen mnemotechnique la gamme de do.
Quand tu trouves pas une note, tu te rechantes la gamme de do et ca te trouve la note que tu cherches.

Le probleme, c'est que toi meme, en venant affirmer qu'il s'agit de debats de methodes, tu viens en fait par ton inculture rajouter une couche pour noyer le fait que le solfege EST la methode.


Dans les pays anglos saxons qui ont a b c d e f g comme noms de notes, eux meme utilisent le solfege do re mi fa sol la si do, dans son but originel, pour apprendre a chanter ou entendre des partitions.

Apres t'a un bolos cmme Arno Jules qui vient pretendre que mentionner les noms des inventeurs des methodes utilisées mondialement depuis plusieurs siecles, ou meme mentionner l'inventeur du solfege, c'est faire du name dropping.
Faire ca c'est de la pure désinformation.
Ca serait comme expliquer la gravité a quelqu'un en mentionant galilée et qu'un autre pretende que c'est du name dropping, c'est totalement con. icon_facepalm.gif
114
Citation de Arno :
Citation :
tu es un menteur ou tu sais pas lire, ou un mélange des deux

Peut-être suis-je les deux, mais je ne permets pas de propos aussi désobligeants et catégoriques.

J'ai simplement proposé à Alexandre une méthode qui a fait ses preuves pour faire un travail auditif progressif, efficace et productif, sans le besoin de recourir aux modulations, structures tonales, degrés, tonalité, etc.

On peut en effet chanter juste un intervalle en se servant d'un morceau existant dans la mémoire collective, sans moduler ni faire appel au directeur de la Royal Academy of Music.

C'est aussi simple que cela.

C'est toi-même qui a introduit des concepts avancés faisant appel à la connaissance de la tonalité. C'est inutile ici, en tout cas dans les premiers temps de l'apprentissage.

C'est indispensable pour faire des études musicales sérieuses, mais c'est complètement hors de propos et prématuré au stade qui nous intéresse ici.

Je ne vois pas comment exprimer les choses de manière plus limpide.

On peut lire et entendre des choses simples sans connaître certaines notions abstraites; il faut arrêter d'effrayer les gens; ça fait beaucoup de mal à l'ensemble des élèves et des profs !

En tout cas, c'est ce qui ressort de ton discours qui cite constamment tonique, tonalité, degrés, etc.

Peut-être as-tu besoin de tout cela pour te rassurer...


Encore une fois, c'est la methode que tu proposes qui implique de faire des modulations, donc c'est bien toi qui introduit des concepts avancés.
Ce qui implique donc d'utiliser des termes tels que degrés tonique modulation pour refuter la pertinence de cette methode icon_facepalm.gif




115
Citation :
Encore une fois, c'est la methode que tu proposes qui implique de faire des modulations,


Non.
116
Exemple basique :
Sol sol la sol do si : happy birthday en do majeur
On veut vérifier d'oreille que happy birthday débute par une seconde majeure.
On pense à la chanson au clair de la lune, dont on sait qu'elle débute par une seconde majeure.
Sol sol la si la sol si la ma sol.
On pense donc à un morceau en sol majeur.

On pense/chante/joue donc successivement une melodie en do majeur, puis une mélodie en sol majeur.
On a donc fait un changement de tonalité.
Donc une modulation.



117
Citation :
On pense donc à un morceau en sol majeur.


Citation :
On pense/chante/joue donc successivement une melodie en do majeur, puis une mélodie en sol majeur.


Mais pourquoi, à ce stade, penser à une tonalité ?

C'est loin d'être indispensable pour entendre et/chanter des intervalles.

Tout comme il n'est pas indispensable de connaître la grammaire pour parler.

Il est inutile de compliquer les choses.

Je le répète, la technique qui consiste à se servir de mélodies d'un répertoire personnel pour identifier des intervalles est une excellente technique. Ce n'est pas la seule mais il est inutile de vouloir dissuader et/ou dégoûter celles et ceux pour qui ça marche de s'en servir.

Je me demande quelle est la motivation d'une telle démarche.
118
Citation de Arno :
Citation :
On pense donc à un morceau en sol majeur.


Citation :
On pense/chante/joue donc successivement une melodie en do majeur, puis une mélodie en sol majeur.


Mais pourquoi, à ce stade, penser à une tonalité ?

C'est loin d'être indispensable pour entendre et/chanter des intervalles.

Tout comme il n'est pas indispensable de connaître la grammaire pour parler.

Il est inutile de compliquer les choses.

Je le répète, la technique qui consiste à se servir de mélodies d'un répertoire personnel pour identifier des intervalles est une excellente technique. Ce n'est pas la seule mais il est inutile de vouloir dissuader et/ou dégoûter celles et ceux pour qui ça marche de s'en servir.

Je me demande quelle est la motivation d'une telle démarche.

Pourquoi penser à une tonalité ?

C'est absurde comme question.

Quand une mélodie tonale est jouée ou pensée elle va naturellement créer une attraction vers un point central.
C'est l'essence même de la musique non atonale.
Qu'on le veuille ou non, qu'on le perçoive consciemment ou inconsciemment, c'est ce qui se passe.

Et proposer une technique qui est orthogonale à cette tendance naturelle et à l'essence même de la musique non atonale, ça n'a pas de sens, c'est faire un détour considérable plutot qu'aller droit au but.
119
Citation :
Quand une mélodie tonale est jouée ou pensée elle va naturellement créer une attraction vers un point central.
C'est l'essence même de la musique non atonale.
Qu'on le veuille ou non, qu'on le perçoive consciemment ou inconsciemment, c'est ce qui se passe.


Certes, mais ce n'est pas ce qui nous intéresse ici.

Je le répète, il est inutile d'encombrer l'esprit de celles et ceux qui souhaitent juste entendre des intervalles avec des concepts plus avancés comme celui de tonalité. J'ai appris à entendre les intervalles sans même savoir ce qu'était une tonalité, une conclusion, un résolution, une droite orthogonale, Guido d'Arezzo ou Busby Berkeley.

Pour rester sur une note positive et constructive, j'encourage vivement celles et ceux qui veulent travailler leur oreille à utiliser cette astuce. Je ne cherche pas à l'imposer et à l'ériger comme solution unique mais je fais part simplement ici de son existence et de son utilité. Point de dénigrement, chacun fait comme il l'entend. Ha ! Ha ! Ha !

J'ai utilisé moi-même cette aide et je l'utilise avec mes élèves et ça donne d'excellents résultats, à long terme. Alors, pourquoi s'en priver en s'effrayant avec des concepts théoriques inutiles à ce stade ? Je ne comprends pas.

Personnellement, je cesse là ma participation à cette discussion.

Ami(e)s musicien(ne)s, éclatez-vous avec les intervalles, leurs noms, leurs couleurs et vos standards favoris ! Et ne vous laissez pas décourager par les théoristes réactionnaires !

Enjoy !
120
Citation de Arno :
Citation :
Quand une mélodie tonale est jouée ou pensée elle va naturellement créer une attraction vers un point central.
C'est l'essence même de la musique non atonale.
Qu'on le veuille ou non, qu'on le perçoive consciemment ou inconsciemment, c'est ce qui se passe.


Certes, mais ce n'est pas ce qui nous intéresse ici.

Je le répète, il est inutile d'encombrer l'esprit de celles et ceux qui souhaitent juste entendre des intervalles avec des concepts plus avancés comme celui de tonalité. J'ai appris à entendre les intervalles sans même savoir ce qu'était une tonalité, une conclusion, un résolution, une droite orthogonale, Guido d'Arezzo ou Busby Berkeley.


Et je te répète que c'est ta méthode qui encombre l'esprit inutilement avec le concept de modulation et de changement de tonalité, non pas parce que ta méthode mentionne le terme modulation et tonalité, mais parce-que ta méthode fait concretement effectuer des modulations et des changement de tonalité.

Donc ta méthode applique concretement le concept de modulation dont tu te targues de ne pas parler. On pourrait appeler ça l'hôpital qui se fout de la c'est quand même la charité.


Et j'ai aussi appris à entendre des intervalles sans savoir ce qu'était une tonalité, pour me rendre compte par la suite de l'inefficacité flagrante de cette méthode par rapport au travail direct sur la gamme de do majeur.

[ Dernière édition du message le 24/05/2016 à 15:36:38 ]