Sujet Merci virtualfred
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J'attaque dès ce soir, j'ai juste regardé ta playlist pour l'instant : Y'a de quoi faire
Wolfen
13863
Rédacteur·trice
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Développeur de Musical Entropy | Nouveau plug-in freeware, The Great Escape
Jules Joffrin
22971
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
VFred
19498
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
SCOTT WALKER
Scott (1967)
Scott 2 (1968)
Scott 3 (1969)
Scott 4 (1970)
Fuyant la célébrité facile déclenchée en Grande Bretagne par le raz de marée "Walker Brothers", Scott quitte le groupe en 1967 pour s’exiler dans un monastère.
Là bas, les chants grégoriens qu’il entendra auront une influence sur les 4 chefs d’œuvres qui allaient suivre... ainsi que Jacques Brel que Scott découvrira à cette époque.
Les 4 joyaux seront parsemés - on peut l’affirmer sans trop prendre de risque - des plus belles reprises de Brel qu’il est possible d’entendre ainsi que de nombreuses créations de son cru. Maniaque du son, il peaufine des nuits entières ses albums, sa voix surtout ainsi que l’orchestration luxuriante qui l'accompagne.
Malgré son inimitable voix de crooner, l’univers de Scott Walker n’est celui des séducteurs à la Sinatra (Walker en était fan), mais plutôt celui des loosers, de l’amoureux largué par sa douce, proche du suicide ou de l’automutilation.
L'univers sombre de cet artiste unique donnera des idées quelques années plus tard à Bowie, Nick Cave, David Sylvian, Marc Almond et à pas mal de groupes cold wave des 90’s comme This Mortal Coil par exemple.
Je garde cette chronique pour le thread dédié car elle est pas mal.
Scott (1967)
Scott 2 (1968)
Scott 3 (1969)
Scott 4 (1970)
Fuyant la célébrité facile déclenchée en Grande Bretagne par le raz de marée "Walker Brothers", Scott quitte le groupe en 1967 pour s’exiler dans un monastère.
Là bas, les chants grégoriens qu’il entendra auront une influence sur les 4 chefs d’œuvres qui allaient suivre... ainsi que Jacques Brel que Scott découvrira à cette époque.
Les 4 joyaux seront parsemés - on peut l’affirmer sans trop prendre de risque - des plus belles reprises de Brel qu’il est possible d’entendre ainsi que de nombreuses créations de son cru. Maniaque du son, il peaufine des nuits entières ses albums, sa voix surtout ainsi que l’orchestration luxuriante qui l'accompagne.
Malgré son inimitable voix de crooner, l’univers de Scott Walker n’est celui des séducteurs à la Sinatra (Walker en était fan), mais plutôt celui des loosers, de l’amoureux largué par sa douce, proche du suicide ou de l’automutilation.
L'univers sombre de cet artiste unique donnera des idées quelques années plus tard à Bowie, Nick Cave, David Sylvian, Marc Almond et à pas mal de groupes cold wave des 90’s comme This Mortal Coil par exemple.
Je garde cette chronique pour le thread dédié car elle est pas mal.
Jules Joffrin
22971
Vie après AF ?
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VFred
19498
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
J'attaque dès ce soir, j'ai juste regardé ta playlist pour l'instant : Y'a de quoi faire
Dom Janvier
25841
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Membre depuis 22 ans
VFred
19498
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
Ben quoi ? 
C’est sûr que ce n’est pas de ta bouche qu’on risque de l’entendre
A part dire du mal et réciter le menu crevette...
C’est sûr que ce n’est pas de ta bouche qu’on risque de l’entendre
A part dire du mal et réciter le menu crevette...
Jules Joffrin
22971
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
VFred
19498
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
Je suis fait les deux albums de Colin Blunstone hier soir. Y’a que véritables petites merveilles !!! 
C’est très différent des Zombies même si on retrouve le timbre inimitable de ce compositeur attachant.
Tellement inimitable que lorsque j’ai découvert il y a peu les Zombies, j’avais l’impression de connaître cette voix.
Effectivement, Colin Blunstone a chanté sur pas mal d’albums d’Alan Parsons Project (The eagl will rise again - PYRAMID, Old and wise - EYE IN THE SKY, Dancing on a highwire – AMONIA AVENUE, Somebody out there – VULTURE CULTURE).
On peut supposé que ces participations furent plus alimentaires qu’artistiques, même si j’aime bien Alan Parsons. Mais leurs univers sont plutôt aux antipodes.
Ca doit faire une bonne quinzaine d’année que je n’ai pas écouté Alan Parsons Project, pourtant la voix de Colin Blunstone est resté figée dans ma mémoire.
C’est très différent des Zombies même si on retrouve le timbre inimitable de ce compositeur attachant.
Tellement inimitable que lorsque j’ai découvert il y a peu les Zombies, j’avais l’impression de connaître cette voix.
Effectivement, Colin Blunstone a chanté sur pas mal d’albums d’Alan Parsons Project (The eagl will rise again - PYRAMID, Old and wise - EYE IN THE SKY, Dancing on a highwire – AMONIA AVENUE, Somebody out there – VULTURE CULTURE).
On peut supposé que ces participations furent plus alimentaires qu’artistiques, même si j’aime bien Alan Parsons. Mais leurs univers sont plutôt aux antipodes.
Ca doit faire une bonne quinzaine d’année que je n’ai pas écouté Alan Parsons Project, pourtant la voix de Colin Blunstone est resté figée dans ma mémoire.
Jules Joffrin
22971
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Membre depuis 20 ans
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