Jean Michel JARRE, mort ou vif?

Ton discours n'a aucun sens pour moi darklinux.
Je bosse dawless, j'ai plein de synthés aussi bien numériques que de purs analos, même récents, et c'est tout sauf une "commodité" pour moi.
Et je ne comprends le sens que tu donne au terme "commodité". (du luxe ? inutile ? démocratisé ? bon marché ?)

J'ai l'impression de comprendre que par "synthé" tu entends "vst". Quid des synthés analos, même sans mémoire donc sans presets ?
"Un synthé , c 'est avant tout du code" : je vois pas de code dans le 2600, le kobol ou le Solar 50...
Rien que là j'ai du mal à suivre le reste de ton raisonnement...

Je pense que ça n'a aucun rapport avec la commodité telle qu'on l'entend en français, mais que c'est du franglais utilisé couramment en génie logiciel pour désigner un commodity software. Un commodity software, c'est ce qu'on appelle en bon français un logiciel sur étagère, un code développé par une tierce partie, interchangeable, avec plusieurs fournisseurs possibles plus ou moins équivalents. Bref, un logiciel qui n'a plus rien d'original, sans beaucoup de valeur ajoutée.

Ha au sens de marchandise en fait (commodity, encore un beau faux ami), là en effet je peux comprendre que le "synthé" (hard ou soft) puisse être perçu comme un produit de conso bien plus qu'un investissement du à sa démocratisation. (surtout vst)
Mais je ne vois pas ce que ça lui retire d'autre, à chacun de s'investir à la hauteur qu'il veut avec l'instrument qu'il veut peu importe son prix, y compris un harmonica, une guimbarde, ou un lamellophone maison.