Les trésors cachés du rock
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Jules Joffrin
Je ne parle pas de disques de collections, mais des trucs, soit réédités il y a peu, soit complètement oubliés, ...
Voila je commence avec ça, Kevin Ayers, ancien membre de Soft machine, je ne connais que cet album mais c'est assez chouette, bien arrangé, typique seventies
stanlea
Careful with that axe, Eugene !
safred
je suis hs;je sais......
Anonyme
Hors sujet : 55/65/1.70 fuck ya'all
sinon
Citation : For a little while in the early 1940s, he was just the blind guy with the vast beard who stood at 54th Street and 6th Avenue in New York playing home-made drums. But Louis Thomas Hardin wasn't your average busker. By the time of his death at age 83 in 1999, he had written more than 80 symphonies, 300 rounds, countless organ and piano works, scores for brass bands and string orchestras, and five books called The Art of the Canon. His compositions had been sung by women as varied as Julie Andrews and Janis Joplin. He also left a nine-hour piece for 1,000 musicians and singers called Cosmos, which is yet to be performed.
He has been described as the godfather of minimalism, although he refused the label. He said: "Bach was doing minimal in his fugues. So what's new?" That said, he also described his music as being about "the art of concealing art: maximum effect but with minimum means". He described himself as a classicist, walking humbly in the footsteps of Bach, Mozart, Beethoven, Wagner and Brahms. "With spear in hand I defend those values against all comers," he wrote. "I am a tonalist at odds with all atonalists, polytonalists, quartertonalists, computerisers etc."
During his lifetime he was admired by musicians such as Igor Stravinsky, Charlie Parker and Frank Zappa. He hung out with poet Allen Ginsberg, comedian Lenny Bruce and writer William S Burroughs. When Elvis Costello curated the South Bank's Meltdown festival in 1995, he invited Hardin to play; the audience included the pianist Joanna MacGregor.
Je sais, c'est pasdu rock....
Et pour finir, une bonne adresse pour dépenser ce qui reste de vos économies
Aquarius records
Désolé....
Jules Joffrin
Citation : Je crois qu'on ne peut définitivement pas avoir bon goût et un gros ventre.
Vfred , tu me déçois, là. Je suis le contre exemple parfait.
position.on.off
Citation :
Vfred , tu me déçois, là. Je suis le contre exemple parfait.
pquoi tu es maigre comme un clou ?
(dslé j'ai pas pu resister )
Heldon jazzyTron
Citation : Moondog, un extraterrestre qui n'a pas attendu les années 70 pour se ballader habillé comme çà dans New-York, une oeuvre inclassable du classique au minimalisme, bonne ballade...
Vi ! Vu en concert y'a ... bin avant sa mort - forcément, en Arles lors du festival MIMI (Mouvement International des Musiques Innovatrices) dont j'ai déjà parlé, et où j'avais vu par exemple Terry Riley.
Je ne sais plus si j'avais pira... enregistré le concert, mais c'était assez déconcertant. Il était malheureusement aveugle, et ne jouait que de la grosse caisse. une pianiste l'accompagnait. j'ai pas adoré sur le coup.
La vie, c'est comme un train de montagne
stanlea
Sinon, j'ai découvert deux labels russes très intéressants :
http://www.excentrica.org/
et son cousin
http://www.electrosound.ru/
Pour les amateurs de musique expérimentale... mais vous connaissiez peut-être déjà.
Careful with that axe, Eugene !
Philippe Spectral
Citation : et sur cette version, y'a aussi l'acide sous la banane?
bonne question, il faudra que je lèche la pochette pour voir...
fredian
Anonyme
1979
Henry Cow en version minimaliste avec juste
fred frith, chris cutler et Dagmar Krause au chant
vraiment un album superbe à (re)découvrir
Notamment quelques envolées de Frith au piano qui valent le détour
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