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Ultrasone Signature Master
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Test des casques Signature Series Natural et Master de Ultrasone

Casque studio de la marque Ultrasone appartenant à la série Signature

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Test écrit
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Ultrasone et les matines
8/10
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Frères et soeurs AFiens et AFiennes, dormez-vous ? Il est temps de se réveiller au son d'Ultrasone. Cette semaine, on teste les nouveaux modèles Natural et Master, derniers ajouts à sa gamme Signature. Des groß basses, des aigus qui scintillent... On vous dit tout sur ces nouveaux casques made in Bavaria.

Test des casques Signature Series Natural et Master de Ultrasone : Ultrasone et les matines

On vous l’avait annoncé en septembre dernier, Ultra­sone étend sa gamme de casques Signa­ture avec trois nouveaux modèles. Pour ce test, nous en avons sélec­tionné deux : le modèle Natu­ral (axé moni­to­ring et prise de son) et le modèle Master (axé… ben, maste­ring, bien entendu).

Emballage UltrasoneSur ces casques, Ultra­sone reprend ses deux tech­no­lo­gies proprié­taires, c’est-à-dire le système S-Logic (ici en version « 3 », qui a pour but d’af­fi­ner et d’ac­cen­tuer la spatia­li­sa­tion et l’im­pres­sion de profon­deur sonore) et le système ULE – pour Ultra Low Emis­sion (qui limi­te­rait la présence du champ magné­tique du haut-parleur à proxi­mité de l’oreille). Il nous parais­sait donc inté­res­sant non seule­ment de tester les casques avec les habi­tuels bench­mark et écoute subjec­tive, mais aussi d’es­sayer de voir de plus près ce qui consti­tue cette tech­no­lo­gie.

Pour finir cette intro­duc­tion, préci­sons qu’on a affaire au haut de gamme de la marque : le Natu­ral est à 649 €, le Master à 949 €. Des chiffres à garder en tête quand on parlera des quali­tés des produits.

Débal­lage : Ding

Mallette et papier UltrasoneOn peut dire ce qu’on veut, côté présen­ta­tion du produit, Ultra­sone sait mettre les formes : embal­lage élégant, casque bien protégé avec à l’in­té­rieur du carton une petite mallette, portant le sigle de la série, le logo de la marque et une repro­duc­tion de la pastille métal­li­sée que l’on retrouve sur le modèle du casque (cuivre pour Pulse, argent pour Natu­ral, or – appa­rem­ment véri­ta­ble­ment plaqué – pour Master). Marke­ting ? Certes mais la mallette est toujours une bonne idée pour trans­por­ter un casque, surtout un casque de ce prix-là.

Passons rapi­de­ment sur l’ap­pa­rence du casque, qui n’est pas du tout de notre goût… Diffi­cile de s’ima­gi­ner porter avec sérieux un casque avec une médaille dorée sur chaque oreillette. Mais, chacun ses goûts.

Casque emballéChaque casque est accom­pa­gné de ses acces­soires et, chez Ultra­sone, on n’est pas radin : trois câbles diffé­rents pour chaque modèle – droit de 1,2 m avec dune prise jack stéréo 3,5 mm plaqué or, un torsadé de 3 m, avec une prise jack stéréo 6,35 mm plaqué or et, pour finir, un câble  droit 1,20 m, avec jack 3,5 mm plaquée or, micro inté­gré et télé­com­mande (câble pour utili­sa­tion nomade, appel télé­pho­nique…). Pour les câbles, une seule diffé­rence existe entre les deux casques : le Master a des jacks de marque Neutrik.

Câble fiche NeutrikÀ ce propos, ce qui nous frappe dès le début, c’est la ressem­blance entre les casques. On se demande, en les mani­pu­lant, s’il existe une grande diffé­rence (autre que moné­taire) entre le modèle Natu­ral et le modèle Master : deux casque circum-auri­cu­laires fermés, fabriqué dans le même plas­tique de bonne qualité, avec des parties démon­tables (présence de nombreuses vis, ce qui, je le répète de test en test, est toujours un signe de sérieux de la part d’un construc­teur, puisque le produit sera répa­rable).

Pour en savoir plus, on va regar­der les spéci­fi­ca­tions, et l’on découvre qu’en effet ils sont très proches : même driver en mylar et titane de 40 mm, même aimant au néodyme, même plage de fréquence annon­cée (8 Hz – 44 Hz), même SPL (98 dB) et même impé­dance (32 ohms, plutôt basse, on aime bien). Alors, certes, le modèle Master béné­fi­cie d’une paire de cous­si­nets supplé­men­taire (en véri­table cuir, là où le Natu­ral a du cuir arti­fi­ciel) et il pèse un peu plus lourd (325 grammes contre 310). Mais l’on peine, au premier coup d’oeil, à voir de diffé­rence impor­tante entre les deux modèles.

Ultrasone MasterCe qui ne consti­tue pas néces­sai­re­ment une critique, étant donné que les deux casques nous laissent un bon senti­ment quant à leur robus­tesse, leur ergo­no­mie (oreillettes repliables laté­ra­le­ment et verti­ca­le­ment) et leur confort. Sur ce dernier point, en parti­cu­lier, rien à redire : on béné­fi­cie d’une très bonne isola­tion phonique, complé­tée par une impres­sion agréable grâce à des cous­si­nets et une mousse d’ar­ceau bien rembour­rés, et qui s’adaptent bien à la forme du crâne.

S-Logic 3Pour aller voir plus loin, on retire le cous­si­net (plutôt faci­le­ment) et la mousse de protec­tion, pour décou­vrir une struc­ture complexe, faite d’évents et de réflec­teurs, qui couvre partiel­le­ment le driver. Au final, il ne faut pas se leur­rer : à moins qu’il n’em­barque un système élec­tro­nique de correc­tion, un casque reste toujours la mise en appli­ca­tion des mêmes éléments – 2 haut-parleur avec leur impé­dance et leur courbe spéci­fique, dont la réponse en fréquence est trans­for­mée acous­tique­ment par la forme des écou­teurs (ouvert ou fermé, avec des évents ou non, avec des maté­riaux absor­bant ou non), et des câbles/connec­tiques de plus ou moins bonne qualité. Point. Ici, il s’agit donc, si nous compre­nons bien ce que nous avons observé, d’une plaque en mu-métal (d’où la tech­no­lo­gie ULE) avec un ensemble diffé­rents d’évents corol­laires et centraux, plus ou moins calfeu­trés, plus un réflec­teur rouge dont la forme est proba­ble­ment calcu­lée pour répondre aux réflexions sonores dans le canal audi­tif.

Mais alors, qu’est-ce que cela vaut, une fois qu’on met le casque sur la tête ? Passons au bench­mark pour en savoir plus.

Bench­mark : Daing

Si vous êtes un habi­tué de ces tests, vous le savez déjà : nous avons mis en place un proto­cole de mesures objec­tives, afin de complé­ter l’écoute compa­ra­tive subjec­tive. Avec l’aide précieuse de notre parte­naire Sonar­works, nous avons le plai­sir de pouvoir vous four­nir des courbes précises de la réponse en fréquence et du taux de distor­sion harmo­nique (THD), réali­sées à l’aide d’une tête arti­fi­cielle et de maté­riel de mesure de labo­ra­toire.

La première chose qui nous frappe quand on observe ces courbes, c’est leur simi­la­rité. En parti­cu­lier, en ce qui concerne la linéa­rité, on a l’im­pres­sion que les modèles Natu­ral et Master sont sépa­rés par peu de choses.

Obser­vons d’abord la courbe du modèle Natu­ral :

On a ce que l’on pour­rait nommer trois « bosses » – une première accen­tua­tion autour de 60 Hz, une seconde autour de 1000 Hz, une dernière vers 10 kHz. Si l’on observe la courbe du modèle Master, on retrouve à peu de chose près les mêmes pics. Entre ces pics, on remarque des atté­nua­tions, plus ou moins fortes, sur le modèle Natu­ral : plus spéci­fique­ment une chute assez impor­tante des basses en dessous de 30 Hz, un creux léger vers 300 Hz (diffé­rence de 6 dB entre 60 Hertz et 300 Hertz), et surtout un creux impor­tant juste avant 3.000 Hz (diffé­rence de 14 dB entre 1000 Hz et 2800 Hz). Au-dessus de 3 kHz, on trouve l’ha­bi­tuel série de bosses et de creux, le « profil acci­denté », que l’on retrouve dans la plupart des casques du marché.

Ultrasone Signature Natural PAPFRUltrasone Signature Natural THD

Quelle diffé­rence majeure avec le modèle Master ? Eh bien, l’on pour­rait dire que le Master reprend les mêmes carac­té­ris­tiques et les accen­tue encore plus, avec un pic de +10 dB à 11 kHz, et une diffé­rence de 9 dB entre 80 Hertz et 300 Hertz. On lui trou­vera donc, à l’écoute, des basses et les aigus encore plus boos­tées, par rapport à un médium rela­ti­ve­ment linéaire.

Ultrasone Signature Master PAPFRUltrasone Signature Master THD

Pour finir, deux points attirent notre atten­tion, sur lesquels nous serons critiques. En premier lieu la dispa­rité assez forte (jusqu’à 5dB) entre voie de gauche et voie de droite, ce qui nous fait soupçon­ner une tolé­rance plutôt impor­tante dans la sélec­tion des haut-parleurs. Deuxième critique, la distor­sion harmo­nique qui, sur les basses et les aigus, dépasse faci­le­ment les 1%. Sans surprise, le modèle Master, avec ses effets d’ac­cen­tua­tion plus pous­sés, présente une THD plus forte (jusqu’à 2,7 % à 4,5 kHz).

Passons à l’écoute

Écoute : Dong

Richard Hawley – Don’t Get Hung Up In Your Soul (sur True­lo­ve’s Gutter)

Une ballade acous­tique, avec beau­coup de réverbe et une diffé­rence de dyna­mique impor­tante entre la voix et la guitare. Par rapport aux courbes obser­vées dans la partie précé­dente, le résul­tat n’est pas très surpre­nant : dans les deux cas, une guitare avec beau­coup de détails dans l’at­taque, jusqu’à bien perce­voir le son du plectre, une voix mise en avant, dont l’ar­ti­cu­la­tion est très souli­gnée, sans pour­tant tomber trop dans le sifflant. La basse sur ce morceau a tendance à être assez sourde, et ici c’est le casque avec le moins de grave (Natu­ral) qui s’en tire le mieux, l’autre ayant tendance à en rajou­ter un peu trop, quitte à perdre de la préci­sion. En tout cas on est frappé par le fait que les deux casques ne sont sépa­rées que par des diffé­rences subtiles. Un point très bon à souli­gner : la spatia­li­sa­tion. On appré­cie tout parti­cu­liè­re­ment le suivi de la réverbe sur la voix est la scie musi­cale, dans l’es­pace pano­ra­mique, qui donne une belle impres­sion de profon­deur au mix

Sun Kil Moon – Butch Lulla­bye (sur Common As Light And Love…)

Sur l’in­tro, on doit entendre à la fois les notes graves, les harmo­niques médiums ajou­tées par la distor­sion, l’at­taque légè­re­ment piquée des notes, tout en sépa­rant bien la grosse caisse qui sonne assez sèche et médium. Encore une fois, la basse convainc plutôt sur le côté punchy, que sur la préci­sion du timbre. Cepen­dant, on ne peut pas dire qu’elle manque tota­le­ment de subti­lité, les attaques sont précises et elle se diffé­ren­cient bien de la grosse caisse. et surtout les notes les plus graves passent sans problèmes. La voix, bien mise en avant, a un timbre et des attaques très clairs sur les deux casques. Même impres­sion que pour le titre précé­dent : les deux casques ont des signa­tures sonores très proches l’une de l’autre. Là aussi, comme sur l’écoute précé­dente, le modèle Natu­ral nous a paru un peu plus équi­li­bré.

Massive Attack – Tear­drop (sur Mezza­nine)

Un titre avec beau­coup d’ex­trême grave, mais qui ne doit jamais masquer les nombreux détails dans le haut médium et l’aigu. Une des diffi­cul­tés récur­rentes, sur ce morceau, c’est de retrans­crire l’ac­cen­tua­tion aiguë de la voix (son  égali­sa­tion, mais aussi le timbre de la chan­teuse) sans causer de fatigue audi­tive. Les casques ultra­sone s’en tire plutôt bien, ce qui est surpre­nant pour des casques avec un telle accen­tua­tion des aigus. En parti­cu­lier, on ne remarque pas de sifflantes gênantes. Les réso­nances dans l’ex­trême grave, que l’on retrouve en parti­cu­lier sur la grosse caisse durant le premier couplet, sont bien présentes à l’écoute sur le modèle Master, beau­coup moins sur le Natu­ral. Cepen­dant, sur la préci­sion et l’équi­libre des timbres, c’est le modèle Natu­ral qui nous a le plus convaincu.

Char­lie Mingus – Solo Dancer (sur The Black Saint And The Sinner Lady)

Voilà un morceau avec beau­coup de souf­flants jouant dans des tessi­tures simi­laires : c’est très touffu et le but est d’es­sayer de discer­ner les timbres. Ici, c’est dans le médium qu’il faut faire preuve de subti­lité : bien sépa­rer les diffé­rents cuivre – le sax solo, le piano, la contre­basse, dans une image stéréo nette et large. Du point de vue de la spatia­li­sa­tion, les deux casques savent vrai­ment tirer leur épingle du jeu : c’est large, profond, précis. Pour ce qui est de la distinc­tion des instru­ments les uns par rapport aux autres, à l’écoute notre préfé­rence est allé vers le modèle Natu­ral. Une seule raison à cela : les basses très accen­tuées du modèle Master on tendance à un peu trop masquer la sono­rité de certains instru­ment par rapport à d’autres (par exemple les trom­bones ont tendance à couvrir un peu les sax). Un peu de fatigue audi­tive commence à se faire sentir.

Edgar Varèse – Ioni­sa­tion (New York Phil­har­mo­nic, dir. Pierre Boulez)

Ici on cherche à juger de l’image stéréo et du suivi de la réver­bé­ra­tion natu­relle de la salle, qui joue sur l’im­pres­sion d’es­pace. L’écoute se fait entre 0:30 et 1:15 mins. Ce qui nous frappe en premier lors de cette écoute finale, c’est le rendu très précis de l’es­pace et de l’acous­tique de la salle de concert. La réver­bé­ra­tion natu­relle de la caisse claire, qui émane préci­sé­ment de la place de l’ins­tru­ment dans le pano­ra­mique, pour s’étendre ensuite à droite et à gauche, est tout simple­ment remarquable. D’au­tant plus que la réverbe suit avec préci­sion les accen­tua­tions dyna­miques du jeu du percus­sion­niste. Sur ce titre, il nous a semblé que c’était plutôt le modèle Master qui brillait, surtout grâce à un rendu très agréable et géné­reux du timbre des percus­sions les plus graves (timbale, Gong, grosse caisse d’or­chestre) sans pour autant occul­ter la sono­rité des instru­ments plus médiums.

Conclu­sion

Ce n’est pas le premier test d’un casque Ultra­sone que nous réali­sons dans ces pages, et cette fois-ci comme la précé­dente, nous sommes obli­gés de recon­naître l’ori­gi­na­lité des casques, tout en admet­tant que les partis pris du construc­teur pour­ront en rebu­ter certains. Comme souvent chez Ultra­sone, ça monte bien haut et ça descend très grave, avec une courbe sur laquelle le construc­teur n’hé­site pas accen­tuer forte­ment certaines fréquences. Si vous recher­chez de la linéa­rité en dessous de 1000 Hz, vous ne sonnez pas à la bonne porte. De plus, nous avons trouvé que ces accen­tua­tions impor­tantes du grave et de l’aigu pouvait causer, à longueur du test, une certaine fatigue audi­tive. C’est domma­geable pour des casques profes­sion­nels, utili­sés sur de longues durées de travail. Toute­fois, et plus objec­ti­ve­ment, il nous semble que même les détrac­teurs de la marque alle­mande seraient obli­gés de recon­naître la qualité de l’image stéréo et de la profon­deur du son de ces casques. Mais, là où nous montre­rons véri­ta­ble­ment plus critique, c’est sur le prix du modèle Master qui, malgré quelques éléments d’ex­cel­lente qualité (par exemple les fiches Neutrik), ne nous a pas semblé assez diffé­rent ni dans sa construc­tion ni dans son rendu sonore, pour justi­fier ses 300 € le plus. En revanche, pour ce qui est du modèle Natu­ral, l’écoute nous a paru tout à fait convain­cante de ses quali­tés propres, et avec sa person­na­lité qui ne répon­dra pas à toutes les attentes, mais qui saura certai­ne­ment en intri­guer plus d’un.

8/10
Points forts
  • Bonne isolation
  • Robuste
  • Pliable
  • Sa mallette
  • Confortable
  • Spacialisation du son excellente
  • Médiums et aigus précis
Points faibles
  • Grave trop accentués (surtout sur Master)
  • Un peu fatiguant auditivement
  • Look clinquant
Auteur de l'article Pr. Soudure de La Feuille

Venu à la musique par le bruit, j'y retournerai un jour. J'aime les beaux circuits bien propres, les musiques sales et moches. Technicien de jour, la nuit je dors.


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