Les gri-gris en Hi-Fi

C'est d'ailleurs audible quand on rippe un CD qui commence à faire des erreurs de lecture dans certains CD Audio ou avoir des temps de chargement très longs, signe de dégradation. On entend bien qu'à certains moment, le lecteur de l'ordi s'excite comme un fou alors que la barre de progression du rippeur ne bouge pas.

Est-ce un test scientifique (et même un rip va utiliser la fenêtre max du correcteur, donc c'est le cas idéal) ou un test idiophile ?

2 coups de condescendance en une page. Joli score. Tu serais gentil de te calmer.
Je ne cherche pas à défendre une idée, mais à comprendre. Si t'estimes que je suis trop con pour comprendre, passe ton chemin. Sinon, explique au lieu d'affirmer que "c'est comme ça et que si je ne te crois pas, c'est que je suis idio(phile)".

Je ne vais pas parler des erreurs dont à propos de quoi on ne sait pas si elles sont détectées, corrigées ou pas.
Par contre, il y a des CD qui ne passent plus sur certains lecteurs (ou font des glitchs) et qu'on arrive quand même à ripper (et à obtenir un fichier propre, même si je n'ai jamais comparé avec le fichier d'une autre source). Ce qui veut bien dire qu'il y a une différence de fonctionnement quelque part, non ?

C'est pour ça qu'il me semble audacieux d'affirmer que chopper le flux audio sur la sortie numérique d'un lecteur de CD audio et que riper le même CD sur un ordi donne la même chose. Ça doit donner la même chose s'il n'y a aucune erreur, mais dans le cas contraire...

La couleur noire ou blanche ne change rien.

https://www.elitediffusion.com/catalog/images/Marigo%20Ultima%20Sign%20Mat%20HF%202013.pdf?osCsid=2c3e6684b69e053bf09b3a98bae21cbb

Un bijou de bullshit.

ça c'est magnifique quand même, sous entendu que lors de l'impression du texte sur le CD celui-ci est orienté (par rapport à quoi, mystère)
Faudra m'expliquer comment on oriente quoique ce soit sur un disque.

Le gain en fluidité est tout à fait étonnant, les extinctions de notes
progressent de manière totalement inattendue en termes de microdétails et de
durée. Les cordes de la pipa perdent leur début dʼagressivité habituelle et nous gratifient
dʼun cortège harmonique beaucoup plus subtil, beaucoup plus documenté. Même constat à lʼécoute
de «Gotcha» de Patricia Barber en «live». Le Mat apaise littéralement lʼambiance générale, le
message ne montre plus aucune crispation. Lʼaération progresse, les fins de notes se prolongent,
lʼartiste et ses musiciens semblent jouer de manière plus détendue, la focalisation supérieure
contribue à ouvrir un peu plus la scène sonore. Un accessoire... indispensabl