Les gri-gris en Hi-Fi
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Dr Pouet

Et tout cela suite à quelques discussions entamées dans le pub d'AF.

Dr Pouet

va demander à un jazzman si on s'en fout du son
Il va dire : ‘oui, je joue en acoustique » ce qui veut dire non.

D'accord pour certains style de musique (un majorité). Pas pour tout.
Sur certains albums Pink Floyd bien connus, il est clair que le son fait vraiment partie du projet du groupe, et du plaisir de résultat obtenu. Et puis même quand ça ne fait pas partie du projet initial, quand une belle voix est vraiment bien rendue, ça ajoute un plaisir indéniable.
D’ailleurs des enregistrements anciens peuvent être plus beaux sur du matériel actuel que sur ce dont dispaient les ingés son de l’époque. Et sans falsifier le son. Simplement le message sonore était correctement enregistré sur le support, les micros étaient déjà très bons, mais les moyens de reproduction de l’époque étaient plus limités.
Et puis s-pour du classique ou du jazz, il n’est pas aussi clair que chez les Floyd que le son fait partie du projet, mais le réalisme sonore est quand même recherché.

chacal549

Je pense qu'il y a une confusion quelque part, la musique n'est pas principalement dans le son, elle était en partie dans l'instrumentation pendant longtemps faute de mieux, mais elle est aussi sur le papier, en fait ce n'est pas un objet tellement physique, que mental. Dans ce sens, ce n'est pas le son qui fait que l'on aime une mélodie, des rythmes et une harmonie, c'est dans une cohérence d'un discours. Bien entendu un bon son est aussi très intéressant, et spectaculaire, et agréable etc., mais le propos d'un air, d'une chanson, d'un thème, s'ils fonctionnent, ne se situe pas dans le son. Et peut-être que l'on produit beaucoup de musiques aujourd'hui qui s'appuient sur l'effet spécial du gros son principalement, en oubliant que ce n'est pas d'abord cela qu'il s'agit d'exprimer.
pas d'accord du tout.
C'est dénier la puissance et l'influence de l'audition sur les ressentis émotionnels, sur leur part primale, physiologique. C'est dénier que cette part primale peut être aussi une expression fondamentale, émotionnelle, sincère et parfois oui complètement central à la musique. C'est une vision, pour moi, extrêmement limitative de la musique dans sa démarche créative. C'est le déni des musiques contemporaines, atonales, des musiques d'ambiance, des musiques percussives, du drone, de la trance, de la tek, du métal, de tous ces styles ou la couleur et l'intensité du son font partie intégrante du message musical.
faut du sidechain de chacal
maiiiiiis

Avocat du diable et de sa musique et expert en vacuité dispendieuse.

Shreddator


Darkmoon

...C'est le déni des musiques contemporaines, atonales, des musiques d'ambiance, des musiques percussives, du drone, de la trance, de la tek, du métal, de tous ces styles ou la couleur et l'intensité du son font partie intégrante du message musical.
En effet!
En metal par exemple, quand tu fais un riff essentiellement rythmique en palm mute, si tu retires complètement le son très saturé et que tu joues la même chose sur une gratte acoustique ou, tiens, sur un piano, ça n'a plus aucun, mais aucun intérêt.
Exemple ici avec un acoustique
Exemple ici au piano
"Si t'enregistres à Poudlard, avec l'ingé son Dumbledore, les lois physiques tu peux t'en foutre. Mais dans l'monde réel, les lois physiques, les mesures, le dBFS, tout ça existe bel et bien." youtou

Jan mk2


Alan Parson a peut-être dit : "Audiophiles don't use their equipment to listen to your music. Audiophiles use your music to listen to their equipment."

lasieste

des musiques contemporaines, atonales, des musiques d'ambiance, des musiques percussives, du drone, de la trance, de la tek, du métal, de tous ces styles ou la couleur et l'intensité du son font partie intégrante du message musical.
Il ne s'agit pas de nier que le propos musical peut aussi être atonal, bruitiste, percussif, expérimental, hypnotique, saturé, tout ce que l'on veut, dans l'harmonie au sens très large il y a de la place pour des formants, de la dissonance, etc., dans le rythme des bruits ou des percussion pas même métriques, etc., et dans la mélodie aussi on peut aussi comprendre ds suites composées de samples par exemple comme dans l'acousmatique.
Mais je ne crois pas que ce soit le son lui-même qui soit le juge de si cela fonctionne ou non, car on peut (on pourrait) écouter ces musiques via un écouteur de téléphone (pas l'oreillette, le son qui sort du combiné porté à l'oreille) à la toute petite bande passante, et encore être en mesure de l'identifier, ou de la critiquer au sens de décortiquer et d'analyser comme en musicologie. Certes il manquerait une partie de l'information, mais hormis quelques rares pièces où tout le spectre se jouerait en dehors des capacités de l'écouteur du téléphone, on pourrait apprécier (évaluer, aimer, rejeter, comparer, analyser, comprendre, retranscrire, etc.) tous ces styles de musiques aussi bien, quelque soit le moyen d'écoute, fut-ce un écouteur de combiné téléphonique. Et l'on trouverait, comme en musicologie là encore, certains titres, albums, mieux construits que d'autres, certains artistes meilleurs que d'autres de leurs contemporains, et de façon relativement objective, dans la limite des goûts et des couleurs, mais sur des critères purement musicologiques, historiographiés, argumentés de façon rationnelle, et cela sans même avoir besoin d'en référer au son et à sa reproduction (même si les aspects du son pourraient faire l'objet aussi d'une telle étude).
Ou bien si l'on ne reconnaît plus les aspects relativement objectifs d'une musicologie (ses méthodes, ses classifications historiques, ses cursus et ses approches etc.), et que l'on identifie la reproduction des musiques, leur qualité, à leur conditions de diffusion (sound systems, free party, boite de nuit, ascenseurs et galeries commerciales, radio FM, concerts et festival, support physique, etc.), ce qui pourrait justifier que l'on ne juge plus que par le son (ou principalement par là), alors c'est peut-être qu'on est passé dans un nouveau monde, où les politiques culturelles valent lieu de culture, où la hiérarchie des valeurs (ou l'idée d'une hiérarchisation des valeurs, sa possibilité du moins) a disparu sous le relativisme intégral, où le marché, qui impose les conditions d'écoute bien souvent, a pris le pas sur une culture musicale.
Les concepts de la musicologie ne sont pas immuables, ni ennyeux, ni tyranniques, simplement ils partent du point de départ classique, il y a une cohérence internes aux créations de l'art, qui justifie que l'on l'étudie, et qui autorise des objectivations, lesquelles on peut encore discuter ensuite. Je crois que le critère principalement du son des musiques, est la négation de cela, il écrase tous les autres crtères, et c'est pourquoi je pense qu'il y a une confusion parfois là-dedans, et dont tout le monde se plaint finalement : il y a trop de musiques nulles, qui n'en sont pas vraiment d'un point de vue musical ou musicologique, aussi bien produites fussent-elles. Le premier pas pour se sortir de cette confusion peut-être serait-ce de revenir à l'étude classique des musiques, qui s'intéresse avant tout, et même si sous des formes non conventionnelles, à la nature, à la cohérence, aux ruptures, aux accents, etc., du propos musical. On y trouverait que d'autant de raisons d'aimer ces musiques qui s'écoutent le mieux dans des circonstances et via des installations particulières, et cela permettrait de trier, sur des critères musicaux - et non sonores, de leur pertinence.
Par exemple récent, Ithaca de Thys&Amon Tobin 2020, ça sonne mieux sur les grosses écoutes du studio, mais même sur le radio réveil au hp de 5cm, ce sont des textures renversantes. Pourquoi? Grâces aux tensions organisées puis résolues, grâce à l'orchestration mise en œuvre, grâce au rapport étroit entre l'époque de sa sortie et la situation générale (même si ce sont des compositions anciennes sen réalité), bref tous critères qui sont autrement plus effectifs à décrire la réalité de l'excellence de cette musique, que son mixage ou sa qualité sonore propre. Et pourtant il s'agit à priori de musique à grand spectacle et faite pour jouer à fond du rendu sonore. Les mêmes pièces transcrites pour un orchestre classique, ou un piano, seraient encore prenantes, et nous diraient encore quelque chose de révélateur sur notre époque et ce qui s'y joue. Même en en changeant le son, et parce qu'on y trouve un propos et dans une cohérence étroite (enfin c'est mon jugement sur ces pièces, on peut toujours en discuter, rien ne change là-dessus, les goûts les couleurs etc.)

kosmix

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 16/01/2021 à 18:29:15 ]

chacal549

ce que tu es en train de dire, pour faire une métaphore, c'est qu'on apprécie autant un bon hamburger avec une paille, puisqu'elle nous permettra quand même, via le jus, d'apprécier la qualité objective du steak.
Ce n'est pas tout à fait faux, mais la gourmandise dans tout ça? le gras sur les doigts, la bouche pleine, la transgression?
J'insiste donc sur ce point duquel tu passe totalement à coté: le plaisir primal, sensoriel, spontané, STRICTEMENT émotionnel qui est le propre de beaucoup de musiques populaires et de musiques amplifiées.
J'adhère totalement à ton approche ultra-intellectualisée, presque mathématique, de la musique DANS UN CERTAIN CONTEXTE.
Mais par exemple quand je vais danser ou me défouler dans un concert de métal, j'ai envie, voire BESOIN que ça me ramone les entrailles. Parce que je ne vais pas "écouter la magnifique résolution d'un arrangement dont la texture est intéressante", je vais m'immerger dans une émotion partagée avec l'interprète.
Et ce n'est pas comme tu le prétends une déculture, au contraire c'est la part la plus historiquement ancienne de la musique et celle dont l'humanité ne s'est jamais défaite. En dénier l'importance voire parfois l'aspect essentiel et central, oui, c'est restrictif.
Edit, j'étais passé à coté de cette phrase:
il y a trop de musiques nulles, qui n'en sont pas vraiment d'un point de vue musical ou musicologique, aussi bien produites fussent-elles
désolé mais tu ne peux pas dire que les concepts de musicologie ne sont pas immuables et tyranniques et quelques phrases plus loin faire preuve d'un élitisme manifeste

Avocat du diable et de sa musique et expert en vacuité dispendieuse.
[ Dernière édition du message le 16/01/2021 à 19:02:33 ]

Neveud

vous arriveriez pas à synthétiser votre pensée et faire des posts plus courtsaka tl;dr
aujourd'hui je reste couché / tout a déja été fait / rien ne disparait / tout s'accumule (dYmanche)
[ Dernière édition du message le 16/01/2021 à 19:15:34 ]

lasieste

Ce que j'ai dans le pif plutôt c'est la culture du son qui oublie celle de la musique. Je crois que c'est un travers où nous en sommes un peu parfois, on entend des tracks bien produites dans l'ensemble, ou de mieux en mieux, mais de plus en plus vides d'idées musicales, et sans cesse davantage de commentaires qui confondent la réalisation technique avec la réalisation musicale. Or c'est un peu dommage, maintenant qu'on a pris 10 ou 20 ans à acquérir la technique, si on pouvait revenir un peu chacun à cette recherche de développer son style, son vocabulaire, en se faisant confiance sur le fait que la technique suivra (comme on l'a acquise), on pourrait peu à peu sortir de la phase de l'auto-prod/music making/home-studisme où c'est la course à la technique, et les discussions interminables comme ici où parfois ça tourne en rond de façon stérile, et le paysage y gagnerait en belles choses à proposer et à écouter sans doute.
D'ailleurs je constate que c'est un peu la tonalité de nombre de ceux qui ont commenté mes longues explications depuis hier, même avec des bémols, des remarques et des divergences, et je trouve cela bien rassurant sur la réalité de notre engeance.

Dr Pouet

Citation :il y a trop de musiques nulles, qui n'en sont pas vraiment d'un point de vue musical ou musicologique, aussi bien produites fussent-elles
désolé mais tu ne peux pas dire que les concepts de musicologie ne sont pas immuables et tyranniques et quelques phrases plus loin faire preuve d'un élitisme manifeste
En poussant le raisonnement plus loin, on pourrait dire que toute la musique qu’on écoute c’est de la merde, car trop simpliste harmoniquement, vu qu’on utilise même pas les quarts de tons.


lasieste

Mais je pense à des choses plus simples, et qui sont difficiles, c'est difficile d'écrire des mélodies (ou des motifs) simples et belles, de composer des harmonies (ou des textures) qui se tiennent et qui ne sont pas des recettes précuites, d'abandonner le 4x4 quantifié pour créer des rythmes (ou des ambiances) plus humains, et de faire de la musique avec tout cela. Cela demande beaucoup de travail sur les instruments, le résultat est souvent personnel et dans une continuité de style, mais c'est bien cela que nous apprécions chez les artistes que nous suivons, une unité de style qui se déploie singulièrement.
Laisser un peu la technique à sa place de servante, et revenir à cette recherche artistique, voilà l'idée.
[ Dernière édition du message le 16/01/2021 à 19:53:29 ]

iktomi

L'exemple que j'ai donné concernant mon ancien combi (sans même parler de l'état de mon audition), je ne suis pas certain que ça soit du même niveau que ce que certains qualifient de "système pourri mais j'apprécie quand même écouter dessus"...
[ Dernière édition du message le 16/01/2021 à 20:00:54 ]

kosmix


Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

lasieste

Sinon perso, si j'écoute une musique que j'apprécie, et bien si le système est pourrit, je préfère ne pas l'écouter du tout.
Et j'irais plus loin en disant qu'il y a très peu de choses qui m'enragent plus que mon système d'écoute qui se met subitement à merder / freezer au moment où je devrais frissonner de plaisir sur un morceau que j'adore.
Tu connais Oval Sound System? Je crois que tu devrais regarder de près, cela pourrait grandement t'aider dans la problématique, et peut-être aussi pour l'hyperacousie, à vérifier https://fr.audiofanzine.com/oval-sound-system/avis/
edit: une vidéo édifiante
[ Dernière édition du message le 16/01/2021 à 21:34:20 ]

chacal549

C'est bien pour cela que les instruments continus sont un succès de ces dernières années.
Mais je pense à des choses plus simples, et qui sont difficiles, c'est difficile d'écrire des mélodies (ou des motifs) simples et belles, de composer des harmonies (ou des textures) qui se tiennent et qui ne sont pas des recettes précuites, d'abandonner le 4x4 quantifié pour créer des rythmes (ou des ambiances) plus humains, et de faire de la musique avec tout cela. Cela demande beaucoup de travail sur les instruments, le résultat est souvent personnel et dans une continuité de style, mais c'est bien cela que nous apprécions chez les artistes que nous suivons, une unité de style qui se déploie singulièrement.
Laisser un peu la technique à sa place de servante, et revenir à cette recherche artistique, voilà l'idée.
(je vais mettre des balises HS pour Iktomi et les autres

j'ai l'impression de retrouver dans notre débat celui sempiternel chez les guitaristes de dire "est-ce que the edge est un bon guitariste, lui qui se borne à aligner des dizaines d'effets sur des notes basiques"
je persiste à trouver ton approche rigide. la simple idée de laisser des choses "à leur place", que ce soit la technique ou autre chose, est contre-créative, l'approche institutionnelle de ce qui est bien ou pas prenant le pas sur l'ouverture. La musique savante et basée sur l'harmonie, c'est bien. la musique simpliste et basée sur le son, c'est bien aussi. Elles n'ont juste pas le même postulat de départ et le même objectif. La musique, comme tous les arts, est multiple dans ses approches, ses apports et ses valeurs
Avocat du diable et de sa musique et expert en vacuité dispendieuse.

lasieste

En fait tout le monde fait de la "musique savante", même sans le savoir, c'est à dire basée sur ces trois concepts simples (mél., ryth., harm.) qui peuvent prendre des formes différentes dans les musiques synthétiques (j'ai proposé motif, texture, ambiance, mais on pourrait utiliser ses propres termes aussi bien.)
Si on est fâché avec cela (pour x raison), on peut aussi imaginer que le "son seul suffit", tout en continuant à faire de la "musique savante sans le savoir", puisqu'il y bien toujours une façon d'organiser un parcours fréquentiel, au sein d'un cadre fréquentiel, et dans le temps (pour dire autrement la nécessité de ces concepts simples en musique).
C'est un peu dommage de rester fâché avec ces concepts simples, parce qu'en en (re)prenant conscience ou en se réconciliant avec cette réalité nécessaire, et en en soignant la pratique ou l'attention qu'on y porte, on peut mettre à profit toutes les découvertes faites sur le son, au service de musiques plus fortes et plus riches.
Parfois, de ne pas savoir assez la musique, peut inciter à abandonner la recherche proprement harmonique, ou à utiliser des recettes, ou à se cantonner dans une exploration sonore. Mais cela peut être une chance aussi, si l'on abandonne pas cette recherche, de sortir avec des solutions singulières, en (ré)inventant une ou des façons d'interpréter l'harmonie comme on le peut.
Tous les artistes majeurs ont un style bien reconnaissable, qui est fait de solutions singulières (c'est à dire irrégulières, imparfaites) à des problèmes d'harmonie le plus souvent (et de ryth., et de mél. aussi) S'ils avaient été des musiciens parfaitement accomplis, ils se seraient contentés de solutions parfaites, auraient joué les classiques, et n'auraient jamais développé un style, donc n'auraient jamais rencontré le moindre écho notable en dehors de l'interprétation éventuellement, et n'auraient par eux-même rien eu à dire musicalement peut-être.
Si on est féru de son, se replonger dans cette recherche (mél., ryth., harm.), la reprendre, savante-savante ou profane-profane peu importe, peut permettre de dépasser le "mur du son" justement, et d'aller au-delà (ou plutôt de revenir en-deça), où peut-être se trouve un sens, qui se développe avec les années, des mélodies simples et efficaces, des harmonies audacieuses et complètes, et des rythmes naturels. Quel que soit le style de musique dont il s'agit amha.
Quelqu'un reprendra-t-il de la tisane? Sérieusement, quelle heure est-il?, j'avais dit ce midi que j'arrêtais, j'y ai encore passé la journée, c'est pas bien!
Allez merci à tous c'était très intéressant, bonne musique!

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Jan mk2

Alan Parson a peut-être dit : "Audiophiles don't use their equipment to listen to your music. Audiophiles use your music to listen to their equipment."

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iktomi

Et un peu de prévention...

Jan mk2

Alan Parson a peut-être dit : "Audiophiles don't use their equipment to listen to your music. Audiophiles use your music to listen to their equipment."

linn134


Désolé, le concept est déjà exploité depuis quelques années.

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Jan mk2


Alan Parson a peut-être dit : "Audiophiles don't use their equipment to listen to your music. Audiophiles use your music to listen to their equipment."
[ Dernière édition du message le 16/01/2021 à 23:19:50 ]
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