réactions au dossier Sondage sur le sexisme dans le milieu de l'audio
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Hushman

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Hushman
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Will Zégal

D'abord, tu ne nuances pas les différences biologiques et les différences culturelles. Personne ne nie les différences biologiques et vass-m et Snowfall t'ont répondu sur la question.
Dans les différences que tu cites, est-ce que ces études montrent qu'il s'agit de différences biologiques ? Je ne les ai pas encore lues, mais l'introduction de Gender differences in personality across the ten aspects of the Big Five ne parle bien que de différences psychologiques.
Or, la psychologie des individus est de façon majeure marquée par leur construction culturelle.
il faut vraiment avoir la tête dans le sable pour observer le contraire et croire ceux qui prétendent que ce n’est qu’une histoire d’éducation et de culture.
Ben il faudra démontrer que c'est une question biologique ou naturelle, ce que je n'ai pour l'instant vu nulle part dans des études sérieuses.
Petite anecdote : j'embarque ma nièce à la sortie de son lycée pour l'emmener en week-end. On est dans sa ville que je connais mal. Je lui demande de m'indiquer la route. Elle se plante entre la droite et la gauche.
Je la chambre en disant que c'est typiquement féminin (constat empirique).
Eh non. Elle m'a expliqué qu'il était démontré que c'était culturel. Dès l'enfance, les garçons sont encouragés à sortir, à explorer et à prendre des risques et les filles sont plus tenues à l'intérieur, protégées, etc.
Il en résulte effectivement une moins bonne maîtrise de la représentation des espaces par les femmes que par les hommes dans nos sociétés.
Mais ça n'a rien de naturel ou de génétique : dans les sociétés où le rôle des femmes est notamment d'aller chercher l'eau, parfois loin, celles-ci ont une représentation spatiale et un sens de l'orientation au moins aussi poussé que les hommes.
Attention aussi aux préjugés en matière de ce qui est "naturel". Cette notion de "nature" ne sert parfois qu'à justifier des orientations idéologiques.
On nous a par exemple beaucoup seriné que la prédation ou la loi du plus fort était naturelles. Et donc, que des hommes veuillent s'accaparer les ressources ou écraser les autres était quelque part normal, naturel.
Or, les biologistes nous disent que non, ça n'a rien d'une règle de la nature. Il y a plein de fonctionnements différents dans la nature qui est d'une incroyable diversité, et la compétition en fait partie. Mais ce qui domine largement dans la nature, c'est la collaboration. Et d'ailleurs, c'est bien la collaboration qui a conduit l'espèce humaine là où elle est.
Quant à la prédation, on n'a jamais vu un lion décimer un troupeau d'antilopes pour avoir plus à bouffer que son voisin.
D'après Pablo Servigne, les comportement d'accaparement des ressources dans la nature ne naissent que dans les situations d'abondance. En situation de pénurie, le comportement est toujours la collaboration et le partage.
Ce qui est amusant, c'est que ça recoupe ce que je sais de l'histoire humaine. C'est à la fin du moyen-âge, avec l'évolution des techniques qui ont conduit à une abondance, que sont nés la bourgeoisie et le capitalisme. Là où pratiquement l'ensemble des ressources étaient auparavant intégralement partagées (plus ou moins équitablement) au sein des communautés, l'abondance a permis l'éclosion du commerce et de son avatar la finance (notamment par le prêt) conduisant à la concentration des richesses dans un petit nombre de mains.
[ Dernière édition du message le 24/11/2022 à 09:31:22 ]

Will Zégal

Citation :Pour en revenir à la science, c'est là aussi un terrain de combat idéologique voire méthodologique. Et effectivement il faut être vigilant sur certaines approches biologistes/anthropométriques/essensialistes qui ont tendances à être récupérées par des idéologues peu recommandable au penchant avoué pour l'eugénisme.
Un exemple des biais idéologiques dans la science : ces dernières années se sont multipliées des affaires de découvertes archéologiques de tombes de princesses et de guerrières (souvent les deux : princesses-guerrières).
Pourquoi ces dernières années ?
En fait, beaucoup de ces découvertes sont beaucoup plus anciennes, mais les archéologues et historiens n'avaient juste pas vu que les squelettes qu'ils étudiaient étaient ceux de femmes !
Alors d'accord, un squelette en archéologique, c'est rarement un joli truc complet et intact comme ceux qui trônent dans les salle de cours de biologie. Mais quand même : différencier un squelette d'homme de celui d'une femme est souvent assez évident... si on se pose la question. Mais quand on ne peut même pas imaginer que le squelette qu'on a découvert peut être celui d'une femme, on ne le voit pas.
A noter d'ailleurs que dans un de ces exemples (pas de sources, je cite tout de mémoire), il a fallu plus de 20 ans pour que le caractère féminin soit soulevé (il l'avait été assez tôt par une archéologue, mais on s'était foutu de sa gueule : encore une lubie de bonne femme), puis encore beaucoup d'années pour que la question soit véritable étudiée, puis encore pas mal d'années pour que l'écrasante majorité des archéologues reconnaissent le caractère féminin du squelette. Et il reste des historiens et archéologues pour dire que "non, c'est pas possible".

Berzin

Eh non. Elle m'a expliqué qu'il était démontré que c'était culturel. Dès l'enfance, les garçons sont encouragés à sortir, à explorer et à prendre des risques et les filles sont plus tenues à l'intérieur, protégées, etc.
Même la taille plus petite des femmes serait liée à la culture. Il semblerait que depuis la nuit des temps, elles ont eu accès à une nourriture plus pauvre en protéines et qu'elles auraient été sélectionnées : les hommes soucieux de leur domination, auraient préféré des femmes menues et une femme grande et forte aurait eu moins de chances de se reproduire. Il convient de noter que dans la nature, la femelle est souvent plus corpulante que le mâle.
"Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier

Snowfall

Citation de Berzin :Citation :C'est ce que j'expliquais quelques pages en arrière.Eh non. Elle m'a expliqué qu'il était démontré que c'était culturel. Dès l'enfance, les garçons sont encouragés à sortir, à explorer et à prendre des risques et les filles sont plus tenues à l'intérieur, protégées, etc.
Même la taille plus petite des femmes serait liée à la culture. Il semblerait que depuis la nuit des temps, elles ont eu accès à une nourriture plus pauvre en protéines et qu'elles auraient été sélectionnées : les hommes soucieux de leur domination, auraient préféré des femmes menues et une femme grande et forte aurait eu moins de chances de se reproduire. Il convient de noter que dans la nature, la femelle est souvent plus corpulante que le mâle.
A confirmer, mais j'ai souvenir d'avoir entendu Pierre-Henri Gouyon dire que les femmes ne sont en fait pas plus petites que les hommes, mais qu'elles grandissent moins vite. Du fait de l'espérence de vie humaine et des problèmes de dos, on n'en voit pour ainsi dire jamais le résultat.

Eric Music Strasbourg

Darkmoon : je vais étudier avec attention les articles que tu mets en lien, mais je voudrais déjà répondre à ce qui me semble des biais dans ton propos.
D'abord, tu ne nuances pas les différences biologiques et les différences culturelles. Personne ne nie les différences biologiques et vass-m et Snowfall t'ont répondu sur la question.
Dans les différences que tu cites, est-ce que ces études montrent qu'il s'agit de différences biologiques ? Je ne les ai pas encore lues, mais l'introduction de Gender differences in personality across the ten aspects of the Big Five ne parle bien que de différences psychologiques.
Or, la psychologie des individus est de façon majeure marquée par leur construction culturelle.
Citation :il faut vraiment avoir la tête dans le sable pour observer le contraire et croire ceux qui prétendent que ce n’est qu’une histoire d’éducation et de culture.
Ben il faudra démontrer que c'est une question biologique ou naturelle, ce que je n'ai pour l'instant vu nulle part dans des études sérieuses.
Petite anecdote : j'embarque ma nièce à la sortie de son lycée pour l'emmener en week-end. On est dans sa ville que je connais mal. Je lui demande de m'indiquer la route. Elle se plante entre la droite et la gauche.
Je la chambre en disant que c'est typiquement féminin (constat empirique).
Eh non. Elle m'a expliqué qu'il était démontré que c'était culturel. Dès l'enfance, les garçons sont encouragés à sortir, à explorer et à prendre des risques et les filles sont plus tenues à l'intérieur, protégées, etc.
Il en résulte effectivement une moins bonne maîtrise de la représentation des espaces par les femmes que par les hommes dans nos sociétés.
Mais ça n'a rien de naturel ou de génétique : dans les sociétés où le rôle des femmes est notamment d'aller chercher l'eau, parfois loin, celles-ci ont une représentation spatiale et un sens de l'orientation au moins aussi poussé que les hommes.
Attention aussi aux préjugés en matière de ce qui est "naturel". Cette notion de "nature" ne sert parfois qu'à justifier des orientations idéologiques.
On nous a par exemple beaucoup seriné que la prédation ou la loi du plus fort était naturelles. Et donc, que des hommes veuillent s'accaparer les ressources ou écraser les autres était quelque part normal, naturel.
Or, les biologistes nous disent que non, ça n'a rien d'une règle de la nature. Il y a plein de fonctionnements différents dans la nature qui est d'une incroyable diversité, et la compétition en fait partie. Mais ce qui domine largement dans la nature, c'est la collaboration. Et d'ailleurs, c'est bien la collaboration qui a conduit l'espèce humaine là où elle est.
Quant à la prédation, on n'a jamais vu un lion décimer un troupeau d'antilopes pour avoir plus à bouffer que son voisin.
xHors sujet :D'après Pablo Servigne, les comportement d'accaparement des ressources dans la nature ne naissent que dans les situations d'abondance. En situation de pénurie, le comportement est toujours la collaboration et le partage.
Ce qui est amusant, c'est que ça recoupe ce que je sais de l'histoire humaine. C'est à la fin du moyen-âge, avec l'évolution des techniques qui ont conduit à une abondance, que sont nés la bourgeoisie et le capitalisme. Là où pratiquement l'ensemble des ressources étaient auparavant intégralement partagées (plus ou moins équitablement) au sein des communautés, l'abondance a permis l'éclosion du commerce et de son avatar la finance (notamment par le prêt) conduisant à la concentration des richesses dans un petit nombre de mains.
Une étude a été faite sur le cerveau de l'homme et de la femme démontrant des facultés différentes. Les zones du cerveau pour lesquels la perception des couleurs ou de la représentation de l'espace démontrait que les femmes avaient pour une majeur partie des facultés de perczptions des couleurs beaucoup plus grandes que les hommes. Inversement les hommes avaient la zone du cerveau permettant l'orientation beaucoup plus active et développée.
Il y a bien des différences complémentarités prouvées scientifiquement. Science et vie avait d'ailleurs fait un article là dessus
Eric

Eric Music Strasbourg

Eric

Will Zégal

Expliquent-elles qu'il y ait moins de femmes peintres ? Ou que les femmes n'aillent pas dans les métiers techniques ?
Et puis, attention à l'interprétation "taille de zones de cerveau différentes = différences naturelles". Le cerveau est un organe très plastique qui se construit notamment par l'acquis. Ainsi, les cerveaux de musiciens ont certaines aires beaucoup plus développés que la moyenne. C'est lié à leur pratique et non à une constitution naturelle.
Par ailleurs, le cerveau garde tout au long de la vie la possibilité de se recombiner. On le voit avec la ré-acquisition de certaines facultés perdues lors de dommages cérébraux.

Will Zégal

La question a été soulevée dans la problématique du racisme : les races au sens biologique n'existent pas dans l'espèce humaine. Mais on ne peut nier qu'il y ait des différence génétiques qui donnent des gens à la peau claire ou sombre, aux yeux clairs ou foncés, etc.
Sauf que ces différences sont moins importantes que celles qui peuvent exister entre des individus extérieurement semblables.
(traduction for dummies : il y a souvent bien plus de différence génétiques entre moi blond aux yeux bleus typé deuxième ligne de rugby et mon voisin blanc aux yeux bleu qu'entre moi et une crevette kényane championne de course de fond)

Berzin

Une étude a été faite sur le cerveau de l'homme et de la femme démontrant des facultés différentes. Les zones du cerveau pour lesquels la perception des couleurs ou de la représentation de l'espace démontrait que les femmes avaient pour une majeur partie des facultés de perczptions des couleurs beaucoup plus grandes que les hommes. Inversement les hommes avaient la zone du cerveau permettant l'orientation beaucoup plus active et développée.
Quand on été mesurées ces différences de cerveau ? A la naissance ? Parce que si c'est à l'âge adulte, la culture joue vu que près de 90% des connexions neuronales se font après la naissance. Le cerveau est en majeure partie un objet culturel, selon la façon dont on le solicite (donc à travers la socialisation de genre), on contribue à le modifier. Il faut lire notamment les neurosciences.
"Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier
[ Dernière édition du message le 24/11/2022 à 10:28:42 ]

Gronoeil Vert

Tamen pax et amor, oscula.

JohnnyG

Il y a aussi une autre façon de poser la question des indéniables différences naturelles, physiologiques : sont-elles plus grandes entre hommes et femmes qu'entre individus du même sexe ?
La question a été soulevée dans la problématique du racisme : les races au sens biologique n'existent pas dans l'espèce humaine. Mais on ne peut nier qu'il y ait des différence génétiques qui donnent des gens à la peau claire ou sombre, aux yeux clairs ou foncés, etc.
Sauf que ces différences sont moins importantes que celles qui peuvent exister entre des individus extérieurement semblables.
(traduction for dummies : il y a souvent bien plus de différence génétiques entre moi blond aux yeux bleus typé deuxième ligne de rugby et mon voisin blanc aux yeux bleu qu'entre moi et une crevette kényane championne de course de fond)
La je suis surpris. Sans faire de discrimination, on a par exemple, des fox terriers et des labradors qui sont ...des chiens.
Et qu'il n'existe pas quelque chose de ce type chez l'homme... Si on a une vulgarisation assez claire sur le sujet, je suis preneur.

Big Job Head

Citation de JohnnyG :Citation de Will Zégal :Il y a aussi une autre façon de poser la question des indéniables différences naturelles, physiologiques : sont-elles plus grandes entre hommes et femmes qu'entre individus du même sexe ?
La question a été soulevée dans la problématique du racisme : les races au sens biologique n'existent pas dans l'espèce humaine. Mais on ne peut nier qu'il y ait des différence génétiques qui donnent des gens à la peau claire ou sombre, aux yeux clairs ou foncés, etc.
Sauf que ces différences sont moins importantes que celles qui peuvent exister entre des individus extérieurement semblables.
(traduction for dummies : il y a souvent bien plus de différence génétiques entre moi blond aux yeux bleus typé deuxième ligne de rugby et mon voisin blanc aux yeux bleu qu'entre moi et une crevette kényane championne de course de fond)
La je suis surpris. Sans faire de discrimination, on a par exemple, des fox terriers et des labradors qui sont ...des chiens.
Et qu'il n'existe pas quelque chose de ce type chez l'homme... Si on a une vulgarisation assez claire sur le sujet, je suis preneur.
Le concept des races existe uniquement pour les animaux domestiques et est une appellation informelle car les différences entre les races reposent sur des critères subjectifs et elles n'existent même pas dans la nomenclature scientifique. Voilà, fin du débat. merci.
Au passage merci Will pour toutes tes interventions. Je lis ce fil avec attention mais suis dépité par la teneur des débats qui ne me donnent pas du tout l'envie d'y participer. Je retrouve beaucoup de mes remarques et réflexions dans tes écrits donc merci à toi
[ Dernière édition du message le 24/11/2022 à 10:55:34 ]

vass-m

La je suis surpris. Sans faire de discrimination, on a par exemple, des fox terriers et des labradors qui sont ...des chiens.
Et qu'il n'existe pas quelque chose de ce type chez l'homme... Si on a une vulgarisation assez claire sur le sujet, je suis preneur.
En fait y eu Néandertal...
Il faut regarder les définitions d'ethnie espèce et race JohnnyG. Notre race c'est Sapiens.

Gronoeil Vert

Tamen pax et amor, oscula.

Berzin

Il y a aussi une autre façon de poser la question des indéniables différences naturelles, physiologiques : sont-elles plus grandes entre hommes et femmes qu'entre individus du même sexe ?
La question a été soulevée dans la problématique du racisme : les races au sens biologique n'existent pas dans l'espèce humaine. Mais on ne peut nier qu'il y ait des différence génétiques qui donnent des gens à la peau claire ou sombre, aux yeux clairs ou foncés, etc.
Sauf que ces différences sont moins importantes que celles qui peuvent exister entre des individus extérieurement semblables.
(traduction for dummies : il y a souvent bien plus de différence génétiques entre moi blond aux yeux bleus typé deuxième ligne de rugby et mon voisin blanc aux yeux bleu qu'entre moi et une crevette kényane championne de course de fond)
Toutafé !
Dans le lien de Doomfred :
"Ce qui est caractéristique dans la notion de race, si on creuse un petit peu, c'est que c'est une notion essentiellement culturelle, mais qui prétend toujours être fondée sur la biologie." Bertrand Jordan
"Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier

JohnnyG

xHors sujet :Citation de JohnnyG :Citation de Will Zégal :Il y a aussi une autre façon de poser la question des indéniables différences naturelles, physiologiques : sont-elles plus grandes entre hommes et femmes qu'entre individus du même sexe ?
La question a été soulevée dans la problématique du racisme : les races au sens biologique n'existent pas dans l'espèce humaine. Mais on ne peut nier qu'il y ait des différence génétiques qui donnent des gens à la peau claire ou sombre, aux yeux clairs ou foncés, etc.
Sauf que ces différences sont moins importantes que celles qui peuvent exister entre des individus extérieurement semblables.
(traduction for dummies : il y a souvent bien plus de différence génétiques entre moi blond aux yeux bleus typé deuxième ligne de rugby et mon voisin blanc aux yeux bleu qu'entre moi et une crevette kényane championne de course de fond)
La je suis surpris. Sans faire de discrimination, on a par exemple, des fox terriers et des labradors qui sont ...des chiens.
Et qu'il n'existe pas quelque chose de ce type chez l'homme... Si on a une vulgarisation assez claire sur le sujet, je suis preneur.
Le concept des races existe uniquement pour les animaux domestiques et est une appellation informelle car les différences entre les races reposent sur des critères subjectifs et elles n'existent même pas dans la nomenclature scientifique. Voilà, fin du débat. merci.
J'apprécie a son juste niveau le "Fin du débat" et j'ai hâte de te le resservir sur ta prochaine question qui pour moi sera une évidence...
Et en fait on peut y opposer des animaux non domestiques comme par exemple les tortues des Galapagos que Darwin avait mis en évidence selon des particularités physique qu'il avait mis en évidence.

Snowfall

Citation de JohnnyG :
Et en fait on peut y opposer des animaux non domestiques comme par exemple les tortues des Galapagos que Darwin avait mis en évidence selon des particularités physique qu'il avait mis en évidence.
C'est de terme d'espèce qui conviendrait du coup, pas de race il me semble.

Anonyme


JohnnyG

Très différent d'un racisme nauséabond.

Insulare

Je vous conseil ce petit livre qui fait bien la synthèse: https://livre.fnac.com/a16812111/Jacques-Balthazart-Cerveau-feminin-cerveau-masculin
Le fait qu'il y a moins de femmes dans ces métiers pourrait aussi s'expliquer par le paradoxe très connu que plus un pays est égalitaire plus les choix de carrières sont sexuellement stéréotypés.
https://www.slate.fr/story/157888/egalite-femmes-hommes-orientation-etudes-scientifiques-stem-pays-inegalitaires-egalitaires

Sybelle

Ça devient franchement nauséabond ici.
Non, il faut prendre le temps de lire les posts (je sais... je sais... pas toujours limpides...), ou d'argumenter ta remarque lapidaire un poil agressive.
Je trouve au contraire ce débat fort bien argumenté et relativement bien sourcé, ce qui est rare sur un forum. Je me régale !
D'autant qu'il contourne la question initiale du sondage, effectivement brinquebalante, pour éclaircir le «pourquoi», sauce chacun, bien plus élucidant.
Par contre question présentation, les garçons, vous vous foulez pas trop avec vos citations de hors-sujets chargées à la pelle mécanique.
Va savoir si c'est génétique, culturel, racial, évolutionniste, créationniste, jemenfoutiste ou si votre chambre (votre cerveau ?) est aussi bien rangée que vos posts...
Je suis vulgaire mais j'aime la vie avec des petits bouts des autres dedans. (Et l'amour avec des gros bouts...)

Insulare

https://www.insee.fr/fr/statistiques/4625796

Berzin

je sais plus qui parlait d'effets pervers de trop de militantisme...
Le lien entre la féminisation et l'excès de militantisme reste à démontrer...
"Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier

vass-m

Citation :je sais plus qui parlait d'effets pervers de trop de militantisme...
Le lien entre la féminisation et l'excès de militantisme reste à démontrer...
Cela risque d'ouvrir un vaste sujet... Je soupçonne la confusion d'être entretenue plus ou moins consciemment. Je repense à la montée du FN fin des années 80 et j'ai l'impression que le jeu politique actuel exacerbe certains communautarismes pour servir certains intérêts.
Sinon mon chez moi est très bien rangé, entretenu nettoyé (par mes soins !) Rien à voir avec mes post...

Anonyme

Pas du tout, il n'est pas question de jugement de valeur.
Très différent d'un racisme nauséabond.
On va dire pénible de rappeler les concepts de race, d'autant plus quand on parle de sexisme.
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