réactions à la news Commentaires sur la news : The Velvet Sundown, AI AI AI

Voila comment c'est décrit dans Spotify

Citation :

The Velvet Sundown is a synthetic music project guided by human creative direction, and composed, voiced, and visualized with the support of artificial intelligence.

This isn’t a trick - it’s a mirror. An ongoing artistic provocation designed to challenge the boundaries of authorship, identity, and the future of music itself in the age of AI.

All characters, stories, music, voices and lyrics are original creations generated with the assistance of artificial intelligence tools employed as creative instruments. Any resemblance to actual places, events or persons -living or deceased- is purely coincidental and unintentional. Not quite human. Not quite machine. The Velvet Sundown lives somewhere in between.

L'idée de seulement ecouter ( et je n'ai pas ecouté ) m'evoque immanquablement un sketch de je ne sais plus qui :

- Tu sais, il faut que je te dise, les mecs de Village People, il sont tous gay
- QUOI ? meme l'indien et le biker ?

Je n'ai rien contre les gay, je les embrasse ...

Et puis je vais me faire une session de Village People sur Spotify, musicalement c'est de la merde, mais c'est humain.

Et puis au moins ca ne contribuera pas a developper un systeme dont je ne veux meme pas de l'existence

Spotify publie des chansons générées par IA d’artistes morts : colère des ayants droit face à “une supercherie algorithmique”

Surprise et malaise sur Spotify : plusieurs chansons attribuées à des artistes décédés ont été générées par intelligence artificielle, puis publiées sur leurs pages officielles. Le tout sans l’accord des ayants droit. Une dérive technologique qui choque autant qu’elle inquiète.

Spotify est de nouveau dans la tourmente après la publication de titres générés par intelligence artificielle sur les pages d’artistes décédés, sans aucun accord préalable.

Blaze Foley est mort en 1989. Pourtant, selon Spotify, il aurait sorti une nouvelle chanson il y a quelques jours. Son nom : Together. Sauf que ce n’est ni sa voix, ni son style, ni même son image. Le morceau est une création artificielle, publiée sans validation, sur la page officielle de l’artiste. Une situation ubuesque, rendue possible par une faille dans la modération de la plateforme. Et Foley n’est pas un cas isolé.
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