A propos de la féminisation de certains termes, Pevets a dit :
Citation : C'est à l'Académie de les trouver
Le français étant une langue vivante, le rôle de l'Académie est-il de "légiférer" selon une grammaire immuable, ou nos immortels doivent-ils prendre en considération l'évolution de "notre bien commun" dans une société en perpétuel mouvement ? Hum ?
Ici, c'est Le coin du français, ce n'est pas Le coin de la Philosophie (à créer, tiens). En outre, c'est Le Pub des Gentlemen, pas Le Pub des Philosophes.
Courriel est utilisé de façon courante au Québec. Perso, je trouve ça un peu naze et je dis e-mail. Néologisme vernaculaire s'il en est : chez les dentistes, on parle régulièrement d'émail.
Le terme "auteure" a, si je me plante pas, été "officialisé" récemment, par consensus général plutôt que par l'académie. J'avoue qu'il me plaît bien, ce mot.
Pour les pompiers, s'il fallait en retenir un, je dirais Sapeure Pompière.
Enfin, le débat grammairiens/linguistes sera toujours d'actualité : doit-on "normaliser" la langue ou la laisser évoluer (trop)librement ? Moi, je trouve qu'il est difficile de défendre complètement l'une ou l'autre de ces deux positions. Je fais de l'entre-deux.