Le pub du photographe
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Anonyme
882
en fait je suis le 1er surpris de cette photo, je ne m'explique pas comment ça a pu figer à 1/200s pour 85mm... Je sais pas si en regardant juste la photo on arrive à décomposer son mouvement : en fait elle fait une sorte de choré à la claude françois en se penchant d'un côté et de l'autre tout en tapant dans ses mains et remontant un pied derrière le genou. Tout ça sur le rythme de CP donc ça bouge plutôt bien 
[ Dernière édition du message le 23/11/2009 à 14:24:12 ]
Anonyme
882
J-Luc
6112
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
Citation :
se penchant d'un côté et de l'autre tout en tapant dans ses mains et remontant un pied derrière le genou.Alerte Kama-Sutra gym-tonic.
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Anonyme
882
Après le kamasutra tonic, on va passer au corbeau à mascara (grouille fashion)
le reverend
33367
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
Anonyme
882
Merci mon révérend 
Bon, petit retour de mon dépucelage dans la cour des grands hier soir... Une expérience aussi étrange que fascinante, difficile à transcrire. Gros groupe, donc grosse machine technique et staff, ça on s'en fout en soi mais c'est incroyable ce que ça génère comme tension ! On ne peut rester indifférent quand on s'y trouve, c'est ce qui fait tout le charme de ces gros events, alors qu'on a généralement du mal à les apprécier lorsqu'on y est en tant que spectateur. Là, c'est l'immersion, ça grouille partout, on attend longtemps et la pression monte à un point hallucinant. Hors de toute réalité. Je n'avais jamais connu ça à un tel point. Pour un concert ou n'importe quoi d'autre.
C'est définitivement addictif ces situations très contrastées où d'un côté, absolument toutes les conditions sont rassemblées pour faire du travail de merde, et de l'autre il y a une vraie émulation avec la foule surexcitée qui te "pousse", leur énergie transcende. J'ose pas imaginer ce que ça doit être pour les types sur scène !
Je suis incapble de vous dire ce qu'ils ont joué ou si c'était bien, pour moi ce n'était pas un concert. C'était une tranche de vie très marquante avec ses 1000 trucs à penser et la dose énorme d'adrénaline. Je m'en souviendrai longtemps.
Pour vous faire une idées des conditions : consignes strictes et précises lors d'un long brief, plan de scène sur tableau blanc et baguette à l'appui (lol). En vrac un résumé du contexte :
Scène biscornue avec une grande avancée mais décentrée (une sorte de L chelou), pitlane qui en fait le tour mais très étroite (entre 1m et 1,5m suivant les endroits). Beaucoup de photographes (14) et captation vidéo avec 2 chariots traveling, priorité absolue+++ pour eux.
Pour faire simple, cela représente une bonne cinquantaine de gus là-bas dedans (tech vidéo + photographes + gorilles), il y a des rails au sol tout le long et on se fait tèj en anglais dès qu'on bouge d'un centimètre par les 2x4 gorilles hargneux qui escortent chaque chariot vidéo + les gars qui gèrent le cable du chariot. L'horreur totale ! Ca + la configuration des lieux = partie d'échecs pour se placer, jouage de coudes entre photographes et feintage pour essayer de bouger en loucedé sans se faire lever par un gorille...
conclusion :
+ 
Bon, petit retour de mon dépucelage dans la cour des grands hier soir... Une expérience aussi étrange que fascinante, difficile à transcrire. Gros groupe, donc grosse machine technique et staff, ça on s'en fout en soi mais c'est incroyable ce que ça génère comme tension ! On ne peut rester indifférent quand on s'y trouve, c'est ce qui fait tout le charme de ces gros events, alors qu'on a généralement du mal à les apprécier lorsqu'on y est en tant que spectateur. Là, c'est l'immersion, ça grouille partout, on attend longtemps et la pression monte à un point hallucinant. Hors de toute réalité. Je n'avais jamais connu ça à un tel point. Pour un concert ou n'importe quoi d'autre.
C'est définitivement addictif ces situations très contrastées où d'un côté, absolument toutes les conditions sont rassemblées pour faire du travail de merde, et de l'autre il y a une vraie émulation avec la foule surexcitée qui te "pousse", leur énergie transcende. J'ose pas imaginer ce que ça doit être pour les types sur scène !
Je suis incapble de vous dire ce qu'ils ont joué ou si c'était bien, pour moi ce n'était pas un concert. C'était une tranche de vie très marquante avec ses 1000 trucs à penser et la dose énorme d'adrénaline. Je m'en souviendrai longtemps.
Pour vous faire une idées des conditions : consignes strictes et précises lors d'un long brief, plan de scène sur tableau blanc et baguette à l'appui (lol). En vrac un résumé du contexte :
Scène biscornue avec une grande avancée mais décentrée (une sorte de L chelou), pitlane qui en fait le tour mais très étroite (entre 1m et 1,5m suivant les endroits). Beaucoup de photographes (14) et captation vidéo avec 2 chariots traveling, priorité absolue+++ pour eux.
Pour faire simple, cela représente une bonne cinquantaine de gus là-bas dedans (tech vidéo + photographes + gorilles), il y a des rails au sol tout le long et on se fait tèj en anglais dès qu'on bouge d'un centimètre par les 2x4 gorilles hargneux qui escortent chaque chariot vidéo + les gars qui gèrent le cable du chariot. L'horreur totale ! Ca + la configuration des lieux = partie d'échecs pour se placer, jouage de coudes entre photographes et feintage pour essayer de bouger en loucedé sans se faire lever par un gorille...
conclusion :
+ [ Dernière édition du message le 24/11/2009 à 08:01:00 ]
Anonyme
882
Will Zégal
75055
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Vache ! Ça pète déjà. Magne toi d'en envoyer d'autres
Anonyme
882
Anonyme
882
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