Le pub du photographe

Putain ! Dur d'être bourse plate parce que le Ricoh GRIII serait à part le manque de viseur, exactement le compact de mes rêves.

Et le problème de ces appareil si j'en crois les versions précédentes, c'est qu'on les trouve peu en occasion : quand les gens les ont, ils les gardent.

Citation :

Putain ! Dur d'être bourse plate parce que le Ricoh GRIII serait à part le manque de viseur, exactement le compact de mes rêves.
Et le problème de ces appareil si j'en crois les versions précédentes, c'est qu'on les trouve peu en occasion : quand les gens les ont, ils les gardent.

J'ai offert à Wilkette un Panasonic DMCLX15 dont le petit zoom de faible amplitude ouvre à 1.4 à 28 mm puis glisse à 2.8 ensuite.
Les premières photos en obscurité concert sont très bof.
La suite bientôt avec ce beau soleil .
On le trouve à 500 e

En paramoteur il y a plusieurs types de vols: donc çà peut bouger comme ne pas bouger. C'est relatif car tu es constamment en mouvement, mais par temps très calme çà peut vraiment être très soft et fluide, donc tu peux anticiper, c'est disons un peu comme sur un bateau par mer d'huile; un vrai bonheur ! L'envers de la médaille c'est que par temps très calme, sans vent le décollage est très difficile voir infernale quand un tout petit filet de vent tournois dans tous les sens. Quand tu peines à t'installer, que tu crèves de chaud et de stress et que hop ! le vent s'inverse soudainement t'obligeant à tout refaire et à aller à l'autre bout du terrain, c'est la misère ... Avec l'expérience tu apprends à décoller en faisant du vent avec le moteur mais c'est toujours risqué et çà va aussi vite de décoller que de casser. Cet été je suis ainsi tombé dans un pièges infâme après plusieurs centaines de bons décollages au moteur: arrivé au terrain, fatigué après un repas lourd un peu arrosé, je me suis précipité vers un coin d'herbe en contrebas d'une petite butte (au lieu de porter mes 28 kg de matos dans le champ à une centaine de mètres avec les autres). Il n'y avait pas un pet de vent et donc comme plein d'autres fois, j'ai mis le paquet niveau gazes pour que çà décolle direct. Mais le vent a fait des gros remous contre la butte à 5/10 mètres derrière moi et qui se sont accumulés. La voile dans le dos est partie comme folle alors que dans les commandes je ne sentais rien et qu'au contraire j'avais l'impression de ressentir des manifestations similaires mais produites par une situation différente où j'avais fini par décoller, donc j'ai insisté et quand tout est arrivé en tension c'était trop tard, les suspentes sont passées dans l’hélice et une bonne partie à été arrachée tendis que l'hélice elle même s'est explosée dans la cage. Le piège de la butte ... J'ai mis plusieurs mois a retrouver de la confiance et hier était l'un des rares décos au moteur depuis cet été: coût des réparations, environ 300€ et énormément de chance de trouver un bon soudeur et de ne pas avoir plus cassé. Beaucoup de temps passé aussi à réparer et environs 3 semaines sans vol.
Par contre quand il y a du vent tu décolles en face voile et donc tu vois tout et du coup quand tu maîtrises la technique c'est ultra-sécurisant et relativement facile. Le décollage est assuré et c'est sans stress. Par contre pour la photo çà bouge et les trajectoires sont plus rapidement changeantes. On peut tout aussi bien s'approcher du sol mais il faut se méfier quand l'oeil "oublie" le vol pour s'occuper de photographier.