SF et Fantastique, avez-vous un avis téléporté?
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cyar

Personnellement, je viens de me replonger dans du Stephen King.

Un recueil de nouvelles. Ce type est vraiment doué pour vous accrocher à l'histoire.

kohort

D'ailleurs, le 1er film de G.Lucas, THX 1138, est un joli chef d'oeuvre, un vrai film d'auteur sur le thème de la SF, excellemment réalisé.
Vrai. Et pas super connu en plus.
Pas facile de trouver un bon film (ou plutot un grand film) de SF en dehors des productions Spielberg/Lucas....
Pas trop d'accord sur le coup. Là ce qui me vient à l'esprit :
Brazil
New York 1997
La Planète des Singes
Donnie Darko
2001 : L'Odyssée de l'espace
Bienvenue à Gattaca
The Thing (celui de Carpenter, pas la bouse qu'ils ont sorti récemment)
Les premiers Aliens, Terminator, Predator, Matrix...
Quand mon verre est vide, j'le plains. Quand mon verre est plein,j'le vide.

Anonyme

Merci pour The Thing, ce film m'était carrément sorti de la tete ! Je crois que je vais me le mater ce soir, je l'avais vu quand j'étais gosse, j'avais surkiffé.

will_bru

Poussière de lune et Arche, je vais me les lire dans peu de temps avec les univers multiples. Mais va falloir que je freine un peu sur Baxter, il va finir par me sortir par les trous de nez. Arche étant la suite de Déluge, j'ai pas voulu le lire tout de suite, j'avais peur que la suite soit laborieuse. J'espère me tromper...
'tain poussière de lune le pitch a l'air quand même

In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Anonyme

Sinon, Seth, il me semble, nous avait dégoté Primer, un des pires trucs qu'on ait fait avec des machines à remonter le temps. Assez particulier dans le rythme et le montage, on croit comprendre et d'un coup on est complètement dépassé. J'avais trouvé ça assez génial.
c'est bien le film de psychopathe ou on capte rien?
j'ai jamais eu le courage de le regarder.


Anonyme


avec Peter F. Hamilton.


Krapod

Citation :
'tain poussière de lune le pitch a l'air quand même
J'ai aimé, 800 pages, mais qui se dévorent. Je vais attaquer "Temps" et on verra pour le reste des Univers multiples si le premier me convainc.

Anonyme

Et Michael Moorcock avec les Danseurs de la fin des temps
Et
Sinon, javé bien aimé Les loups des étoiles, de je sais plus quel Hamilton (je regarderai ce soir).
[ Dernière édition du message le 13/11/2012 à 22:55:51 ]

za-goAt

Citation :
c'est bien le film de psychopathe ou on capte rien?
j'ai jamais eu le courage de le regarder.
haan j'ai dû le regarder trois fois avant de me résigner à consulter le diagramme. http://img3.harmony-central.com/acapella/ubb/facepalm.gif
Hors sujet :
SPOIIIL:
le truc qu'est bon dans ce film, c'est que pour remonter dans le temps... les gars doivent rester enfermés dans leur caisse d'autant.
La musique adoucit les meurtres...

j-master

J'ai grandi dans les années 80, avec un grand frère qui regardait Temps X et qui avait un petit paquet de bouquins de SF, dont j'ai lu la plupart.
Je citerais les auteurs et oeuvres suivants : les classiques Asimov, Bradbury, avec une préférence pour Philip K Dick.
Dan Simmons, découvert tout seul un peu par hasard.
J'ai lu pas mal de Jimmy Guieu aussi quand j'étais ado (les petits gris !), du Edmond Hamilton, du Heinlein
Je me suis fait tous les Stephen King jusqu'à ce que ça commence à partir dans tous les sens.
un peu de Fantasy, mais pas plus que ça.
J'ai lu énormément de trucs, mais je ne me souviens plus de tout : j'ai beaucoup acheté, mais aussi beaucoup emprunté en bibliothèque, de ne plus avoir les bouquins dans ma bibli fait que je ne me rappelle plus de ce que j'ai lu.
Bref, grosse éponge.
Ah oui, je conseille très beaucoup John Brunner, "Le Troupeau Aveugle". Grosse référence d'anticipation pour moi. (d'ailleurs j'ai lu beaucoup de bouquins d'anticipation, probablement plus que de la SF pure et dure)
J'ai buté sur David Brin (la série Uplift), mais en VO... en VF ça serait probablement passé.
Niveau films, rien de bien original :
les Alien, Predator, Gattaca, The Thing, Starship Troopers, Donnie Darko, Terminator, les premiers Star Wars, Matrix (que le 1), la Planète de Singes, javé vu les films Star Trek quand ils les ont passé à la suite sur La Cinq

Faudrait que je me revoie Avalon.
J'ai bien aimé certains films à budget restreint et pas forcément totalement originaux, mais bien foutus : Equilibrium, Planète Hurlante, Pitch Black...
Un des premiers films que j'ai vu au cinoche, au temps improbable où la société Disney a tenté par elle-même de produire de la SF : Le Trou Noir

J'étions en CP ( :vieuxinside: )... Ça marque ! Javé raté Tron à l'époque, revu il y a quelques années, avant qu'ils concrétisent une suite (que j'ai aps encore vue). J'avais trouvé que ça a plutôt bien vieilli.
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

Will Zégal

Pas facile de trouver un bon film (ou plutot un grand film) de SF en dehors des productions Spielberg/Lucas....
Euh.. -1
On en a cité plein (dont l'excellentissime "Bienvenue à Gataca"). Je vais en trouver d'autres


Anonyme

Note quand même qu'il y en a pas 90 non plus !
Ceci dit jveux bien des noms, pour le coup The Thing je l'avais zappé celui là.
[ Dernière édition du message le 14/11/2012 à 11:39:13 ]

Captain Niglo

Sinon y'en a un assez récent qui est pas mal... ca se passe dans un vaisseau spatial, ils doivent balancer une bombe nucléaire sur le soleil pour le réactiver mais je me rappelle plus du titre
Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.
SoundCloud | Stompin at decca | I can't give you anything but love

Will Zégal

C'est plus facile pour un réal indépendant de faire une comédie ou une romance. Un film de SF, ça risque tout de suite de faire cheap si t'as pas le budget. Or, du côté des majors et des grands studios, la tendance est à accepter de produire, pour des gros budget, des nanars pleins de boum-boum et de trucs qui explosent plutôt que des films d'auteurs.

cyar

Youtou, t'es pas parti au Japon alors?

Anonyme

Citation :
Sinon y'en a un assez récent qui est pas mal... ca se passe dans un vaisseau spatial, ils doivent balancer une bombe nucléaire sur le soleil pour le réactiver mais je me rappelle plus du titre
Si jme goure pas sur le titre, c'est Sunshine, de Danny Boyle. Très bon effectivement !
Citation :
Or, du côté des majors et des grands studios, la tendance est à accepter de produire, pour des gros budget, des nanars pleins de boum-boum et de trucs qui explosent plutôt que des films d'auteurs.
Oui, c'est ce que je voulais dire ! Les 2 seuls noms de films d'auteur (ou pouvant être considérés comme tels) en SF et qui me reviennent à l'esprit sont 2001 et THX 1138.

Captain Niglo


Dans les séries SF fantastiques, ne pas oublier le cultissime "quatrième dimension"! Y a vraiment des épisodes que j'avais adoré. J'en ai revu il y a pas longtemps, j'adore ce charme désueux des effets spéciaux des sixties.
rah oué la 4eme dimension

gargl
Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.
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j-master

Sinon, il y a aussi Outland, avec Sean Connery, qui pour le coup est un peu western dans l'espace, mais qui n'est pas mal, d'après mon souvenir.
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

will_bru

In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Anonyme

Fondation aussi, les droits ont été achetés par Roland Emmerich.
Je pense qu'on aura droit à un scénaro remainé, où Hari Seldon est en fait un descendant de Lincoln.

Jofree

Zardoz
MondWest
Soleil vert
Cloverfield
Le jour où la terre s'arrêta
Je suis une légende
L'homme qui venait d'ailleurs
Les fils de l'Homme
A scanner darkly
V pour Vendetta
Pitchblack, Les chroniques de Riddick
I, Robot
Paycheck
Mission to Mars
ExistenZ
Galaxy Quest
Le 5ème élément
Dark City
Contact
Tykho Moon, Immortel, Bunker Palace Hotel
Mars Attacks
New York 1997, Los Angeles 2013
Strange Days
Total Recall
L'invasion des profanateurs
Predator
Flash Gordon
Blade Runner
Les 3 Mad Max
Cocoon
Abyss
La folle histoire de l'espace
Voyage dans la lune de Méliès
Metropolis
Le prix du danger
1984
2010, odyssée 2
Tron les 2 flims
E.T.
Buck Rogers (série)
Saturn 3
Capricorn One
L'âge de Cristal (série & film)
Rollerball
La machine à explorer le temps
Super 8
Turkish Starwars
"To boldly go where no man has gone before."

Anonyme

Ha nan, mais entre turkish star wars, mission to mars et le jour où la terre s’arrêta c'est vrai qu'on tient des chefs d'oeuvre.

Krapod

Je viens de tomber là-dessus : http://Un Terminator opérationnel d’ici vingt ans : les ONG s’alarment
Citation intégrale de l'article :
Un Terminator opérationnel d’ici vingt ans : les ONG s’alarment
Terminator n’est plus un personnage de science-fiction : c’est une arme qui pourrait être opérationnelle d’ici vingt ou trente ans. Un « robot tueur » qui n’est pas télécommandé, mais entièrement autonome.
Vous le programmez pour « nettoyer » un immeuble, avec autorisation de tuer tous les êtres humains de plus de 1,30 m s’y trouvant : ensuite, il se débrouille. Ou bien, si c’est un drone, vous l’envoyez au dessus d’un champ de bataille, il détecte tous les véhicules ennemis et les détruit un par un.
Ces armes ne sont pas sans poser des questions éthiques. Lundi, plusieurs ONG et prix Nobel de la paix ont lancé un appel pour une « interdiction préventive » et mondiale des armes autonomes.
Human Rights Watch, International Human Rights Clinic et la Nobel Women’s Initiative ont lancé à Washington une campagne pour alerter l’opinion sur ces robots tueurs alors que des gouvernements ont déjà commencé à en développer.
Les robots n’ont pas d’états d’âme
Le terme « arme pleinement autonome » désigne un robot capable d’exécuter une mission sans aucune intervention humaine. Un tel engin est capable de se mouvoir indépendamment, s’adapter à un terrain et un environnement spécifique et faire usage d’un système létal de manière autonome.
C’est donc un algorithme et non un cerveau humain qui décide de la préservation ou de la destruction d’une cible, éventuellement humaine. Il a un grand avantage pour les militaires : il n’hésite pas à tuer.
Contrairement à ce que l’on voit dans les films de guerre, les militaires ont tendance à éviter, quand ils le peuvent, de tuer. Ils tirent peu, et quand ils le font, ils peuvent mal viser.
La formation des soldats vise justement à casser ce conditionnement pour les rendre capables de tuer. Les robots, eux, ne posent pas ce « problème » aussi vieux que la guerre.
Inquiétude des ONG et de la Croix-Rouge
Le rêve de guerres entre robots et sans perte humaine apparaît aujourd’hui comme une chimère. Le risque est plutôt de multiplier, avec ces armes nouvelles, le nombre de morts. Pour Steve Goose, directeur de la division armes à Human Rights Watch :
« L’exercice par l’homme d’un contrôle sur la guerre robotisée est essentiel pour réduire le nombre des morts et des blessés parmi les civils. »
Il s’inquiète en outre des cas de « violation inévitable des droits de l’homme » et se demande qui en endossera la responsabilité. Sa collègue Bonnie Docherty souligne quant à elle l’absence de compassion d’une machine, les erreurs potentielles dans la distinction entre civils et militaires et dénonce la création d’un « outil parfait pour les dictatures ».
Ces préoccupations ne datent pas d’hier. En 1987, le Comité international de la Croix-Rouge avait déjà fait une déclaration apocalyptique pour alerter l’opinion sur des enjeux soulevés par cette technologie :
« L’usage d’armes de longue distance, à faible niveau de contrôle [humain, ndlr] ou connectées à des capteurs placés sur le terrain mène à une automatisation du champ de bataille où le soldat joue un rôle toujours plus réduit... Toutes les prédictions s’accordent sur le fait que si l’homme ne domine pas la technologie mais la laisse le dominer, il sera détruit par celle-ci. »
Les armes existantes
Le monde où les guerres feraient intervenir des robots autonomes ne serait pas si éloigné, à peine deux ou trois décennies selon le rapport « Losing Humanity » publié lundi par Human Rights Watch.
Des précurseurs de cette nouvelle technologie sont déjà en service. Des armes automatiques défensives sont opérationnelles dans la marine américaine et capables d’intercepter des missiles en plein vol, voire pour les modèles les plus récents de se défendre contre des navires, hélicoptères ou tirs d’artillerie.
Autre illustration d’actualité : le système antibalistique israélien « Iron Dome », capable d’intercepter les roquettes tirées depuis les territoires palestiniens si leur trajectoire venaient à toucher des zones civiles.
La recherche en robotique militaire évolue très rapidement. En témoigne l’avion-drone X-47B commandé par les forces navales américaines qui est capable de décoller et d’atterrir sur un porte-avion ainsi que se ravitailler en vol. Les Britanniques testent de leur côté le Taranis, avion autonome de combat, tandis qu’Israël développe son modèle Harpy également pourvu de capacités létales.
Flou juridique
Au-delà des mises en garde, des polémiques morales et des scénarios de série B, se pose la question de la réglementation juridique de ce nouveau type d’armement.
Qui serait responsable en cas de dysfonctionnement ? Qui, du technicien qui a conçu la machine, du commandant qui a déclenché l’opération ou du fabricant hériterait de la responsabilité légale ?
De plus, les robots tueurs n’appartiennent pas à une classe d’armes identifiée et ne tombent donc sous le coup d’aucune réglementation spécifique, d’où l’appel du pied des ONG pour la négociation d’un traité international.
Une procédure est pourtant prévue pour combler ce type de flou juridique. L’article 36 du Protocole additionnel aux Conventions de Genève du 12 août 1949, ratifié universellement, oblige les Etats à évaluer la compatibilité d’une nouvelle technologie de l’armement avec les principes de droit international et humanitaire auxquels ils sont liés.
Conflit avec le droit humanitaire international
Or le rapport « Losing Humanity » souligne que plusieurs règles de droit international pourraient contrevenir au développement des robots tueurs.
- la clause de Martens : la clause de Martens rédigée à la Haye en 1899 interdit l’usage d’armes qui iraient à l’encontre « des usages établis entre nations civilisées, des lois de l’humanité et des exigences de la conscience publique » ;
- le principe de distinction : véritable pierre angulaire du droit humanitaire, le principe de distinction élaboré dans l’article 48 du Protocole additionnel établit l’obligation de faire une distinction entre populations civiles et les combattants armés. Une arme ou attaque qui ne parviendrait pas à distinguer les deux parties serait illégale ;
- le principe de proportionnalité : l’article 51 du Protocole rappelle que les forces armées doivent faire preuve de mesure dans leurs attaques et ne pas causer « des pertes en vies humaines dans la population civile » qui seraient « excessi[ves] par rapport à l’avantage militaire concret et direct attendu ». On est en mesure de douter qu’une machine puisse réaliser une évaluation pertinente de la proportionnalité d’une attaque ;
- le principe de nécessité : notion diffuse qui imprègne le droit international, la nécessité dans le cadre d’une action militaire renvoie à l’obligation de diriger l’usage de la force contre l’ennemi et dans le seul but de gagner la guerre. Toute action qui n’a pas pour but la victoire est prohibée (comprendre tortures, exécutions sommaires...).
Le rapport appelle donc les Etats développant cet armement à respecter leurs obligations, c’est-à-dire « émettre des rapports juridiques détaillés sur toute technologie proposée ou existante qui pourrait conduire à de tels robots ». Ces rapports permettraient, selon l’état d’avancement de la technologie, de mieux établir la compatibilité ou l’incompatibilité de ces robots avec les principes du droit humanitaire.
Les rédacteurs du rapport eux n’ont pas attendu les compte-rendus des Etats pour rendre leurs conclusions sur l’usage des robots tueurs : pour être conformes au droit humanitaire international, les armes pleinement autonomes auraient besoin, selon eux, « de qualités humaines dont elles manquent de façon inhérente ». En particulier, de tels robots « n’auraient pas la capacité de se lier aux autres humains et comprendre leurs intentions ».
On est plus près du film de Cameron que des vœux pieux d'Asimov.
La phase suivante pourrait être la miniaturisation des drones ou des robots combattants, à en croire Stanislas Lem dans sa nouvelle Systèmes d'armement du XXIème siècle (Bibliothèque du XXIème siècle (1983), éditions du Seuil). Ça rejoint également Asimov dans sa nouvelle Trouvés! (Les vents du changement, Folio SF) et nombre de récits sur ce sujet. Il est bien plus facile de détruire un missile qu'une nuée de micro-robots qui s'attaquent comme des virus aux cibles. Et qui peut assurer qu'un robot soldat ne se retournera pas contre son donneur d'ordres?
Et finalement, ça m'inspire la réflexion suivante : au vu du nombre de "prédictions" aujourd'hui avérées des auteurs de SF, ceux-ci sont-ils des visionnaires quant aux évolutions technologiques, scientifiques, sociologiques, ou bien les scientifiques, chercheurs, fabricants (d'armes ou autres), les gouvernements ou la société s'inspirent-ils des "visions" des auteurs?
[ Dernière édition du message le 24/11/2012 à 01:17:41 ]

Anonyme

Spa un hoax ?
D'une, en dehors de quelques pays aux latitudes méridionales, les flics humains tirent jamais à vue, et de 2 dans 20 ans j'imagine pas comment la technologie permettrait de fabriquer un tel robot.

Djardin

+1. mon frère bosse en labo de recherche, avec des robots. pour des trucs programmés, ou télécommandés, tu peux faire plein de trucs. Par contre lui il bosse sur un robot autonome, qui apprends et se déplace tout seul. ben il arrive déjà pas à apprendre à lever les bras, alors apprendre à tirer sur les méchants, c'est pas encore fait.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

Captain Niglo

bah c'était

Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.
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