Dis moi ce que tu lis.
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Nantho Valentine
4124
Rédacteur·trice
Membre depuis 22 ans
Sujet de la discussion Posté le 24/01/2003 à 18:34:57Dis moi ce que tu lis.
Sir Kouni
7722
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
2011 Posté le 19/02/2007 à 13:37:23
Time flies like an arrow, fruit flies like a banana.
Anonyme
521410
2012 Posté le 19/02/2007 à 13:37:29
+1 pour la traduction, malgré quelques infidélités
Par contre je ne peux qu'être en désaccord avec le "vide" et la lenteur du bouquin : sous ses airs de simplicité, je lui ai trouvé une grande profondeur psychologique qui va paradoxalement sur des personnages au final très subtilement esquissés, et pour la lenteur, ben je sais pas, je trouve que l'ambiance est vraiment là et je me suis pas ennuyé une seconde, je l'ai vraiment dévoré. En même temps, comme tu l'auras deviné, je suis pas très partial sur ce coup
Par contre je ne peux qu'être en désaccord avec le "vide" et la lenteur du bouquin : sous ses airs de simplicité, je lui ai trouvé une grande profondeur psychologique qui va paradoxalement sur des personnages au final très subtilement esquissés, et pour la lenteur, ben je sais pas, je trouve que l'ambiance est vraiment là et je me suis pas ennuyé une seconde, je l'ai vraiment dévoré. En même temps, comme tu l'auras deviné, je suis pas très partial sur ce coup
Sir Kouni
7722
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
2013 Posté le 19/02/2007 à 13:38:55
Ah non mais la lenteur elle est exquise chez Murakami, c'est une lenteur zen, ça se passe doucement et c'est comme ça...
Piston, lequel de Hemingway tu lis ?
Piston, lequel de Hemingway tu lis ?
Time flies like an arrow, fruit flies like a banana.
Pov Gabou
19553
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
2014 Posté le 19/02/2007 à 14:09:07
Je suis pas sur que lenteur soit le terme approprie de toute facon pour ce qui touche a la culture japonaise en general.
Dr Pouet
52037
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
2015 Posté le 19/02/2007 à 14:47:58
Citation : Franchement c'est bon, un vrai plaisir pendant la lecture, mais il ne reste pas grand chose. Je crois même le bouquin de 800pages ou il se passe le moins de choses que j'ai jamais lu. C'est vraiment lent.
Marrant, j'ai eu l'impression inverse ! J'ai moyennement accroché à ses nouvelles ( "Après le tremblement de terre"...) que je trouvais pas assez denses, surtout pour des nouvelles, alors que j'ai trouvé l'oiseau à ressort beaucoup plus dense.
Est-ce que ce n'est pas plutôt que le livre ne tourne pas autour d'une trame générale bien visible ? Parce-que il se passe énormément de trucs dedans, ça regorge de plein de petites histoires qui se greffent les une sur les autres, une espèce de gigantesque puzzle. Alors oui, c'est difficile voire impossible à résumer ensuite, le schéma général n'est pas facile à distinguer. Mais en conclure qu'il ne se passe rien :
Moi c'est comme ça que je l'ai ressenti !
pistonpistache
17982
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
2016 Posté le 19/02/2007 à 14:59:53
Le viel homme et la mer, en fait il me semble que je l'avais déjà lu, mais je ne m'en souviens pas. Ou alors je l'ai commencé quand j'étais gosse.
Pluche tu diras ce que tu voudras, quand au bout de 50 pages, le type c'est juste fait cuire un plat de pate, c'est quand même pas de l'action trépidante. Ensuite je suis d'accord avec toi, j'ai carrément accroché, au point de finir le chapitre sur le quai avant de remonter chez moi.
Les anecdoctes sont finalement dans les deux premiers livres les seuls moments d'action. J'ai aimé le coté très subtil, tout en finesse, et je suis d'accord que ce bouquin se lit entre les lignes (sinon comment comprendre la depression alors qu'il ne parle que de la bouffe qui devient fade).
Oui la trame est bizare, et rien n'est bien défini, c'est ce qui fait son charme, mais aussi son inconsistance. C'est "vaporeux", je sais pas comment dire autrement.
Pluche tu diras ce que tu voudras, quand au bout de 50 pages, le type c'est juste fait cuire un plat de pate, c'est quand même pas de l'action trépidante. Ensuite je suis d'accord avec toi, j'ai carrément accroché, au point de finir le chapitre sur le quai avant de remonter chez moi.
Les anecdoctes sont finalement dans les deux premiers livres les seuls moments d'action. J'ai aimé le coté très subtil, tout en finesse, et je suis d'accord que ce bouquin se lit entre les lignes (sinon comment comprendre la depression alors qu'il ne parle que de la bouffe qui devient fade).
Oui la trame est bizare, et rien n'est bien défini, c'est ce qui fait son charme, mais aussi son inconsistance. C'est "vaporeux", je sais pas comment dire autrement.
Will Zégal
75061
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
2017 Posté le 19/02/2007 à 15:32:24
Citation : Le viel homme et la mère
Le vieil homme et la mer
pistonpistache
17982
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
2019 Posté le 19/02/2007 à 16:03:26
LE pire j'ai que j'ai une excuse complétement foireuse, un collègue me parlant de sa mère au moment ou je postais en faisant semblant de l'écouter.
Ouais, mais en fait c'est pas excusable... J'ai quand même édité.
Will Zégal
75061
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
2020 Posté le 20/02/2007 à 00:39:19
Bref, t'as la honte, quoi. Et tu mets ça sur le dos de ton collègue agé.
Le vieil homme et l'amer ?
Le vieil homme et l'amer ?
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