Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?
- 20 569 réponses
- 222 participants
- 292 128 vues
- 166 followers
_d j a n g o
Citation : Jean-Marie Le Pen a ses 500 parrainages
Quelqu'un en doutait ?Citation : j' ai souvent l' impression que les politiques se foutent de nous
ce n'est pas qu'une impression !!Citation : Bref, en 200 ans rien n a vraiment changé...il y a toujours moins de 10 % de la population qui possedent 90% des biens..( c est pas ca qui me dérange le plus..ce qui me dérange, cest que ceux qui n'ont rien sont de plus en plus nombreux...et ils ont surout, de moins en moins...)
C'est un point de vue, mais note que même les pauvres en France mange de la viande rouge en regardant la télévision pendant que le lave linge tourne. (j'exagere expres je sais que tout le monde n'a pas ça) Les biens de consommation se sont largement démocratisé..
Citation : si je vais pas voter c'est aussi par ce qu'on ma radié des listes sans me prévenir..et que je suis bien dépourvu ,vu que la date d inscription est dépassée....
C'est con, ça fait monté Le Pen l'abstention.Hulot m'a pas convaincu mais je suis pas objectif, je deteste TF1 et suis jaloux de la vie d'Hulot. Arlette, si elle passe (imaginons) ce serait assez catastrophique dans un certain sens car on ne peut etre de gauche tout seul dans une économie mondialisée et capitaliste. Les capitaux fuiraient...
Résultats du questionnaire écolo :
_d j a n g o
Citation : on est tous des gros enculés en puissance ( ou en attente de le devenir) ne l oublions pas...
C'est clair. On demande aux hommes politiques une vertue que nous n'avons pas...N'empêche que certains abusent. y a une différence entre placer ses potes et detourner l'argent du contribuable pour s'acheter un chateau.
Résultats du questionnaire écolo :
thx du goulag
Citation : C'est un point de vue, mais note que même les pauvres en France mange de la viande rouge en regardant la télévision pendant que le lave linge tourne. (j'exagere expres je sais que tout le monde n'a pas ça) Les biens de consommation se sont largement démocratisé..
oui a grand coup de cartes de crédits..il ya je ne sais combien de couple ou familles sur endettées..et le taux monte en fleche...faire croire que ca va mieux a coup de seche linge alors que les gens devrait payer les ucrédit sur trois vie.....je trouve ca limite
par contre pour arlette je suis a fond d accord..elle a juste un "credit" ( si je peux me permettre) de bonne fois..apres sa politik serait suremnt un echec sur l economie..
ferdinand
Citation : La France est, paraît-il, ce pays de Gaulois querelleurs qui a inventé la distinction gauche-droite et qui est en train de périr de leur stérile opposition. Tel est le credo du nouveau centrisme, aujourd'hui en pleine ascension. La vérité est exactement inverse. Le mythe de l'unité de la nation, hérité à la fois de l'Ancien Régime et de la Révolution, y est extrêmement vivace, tandis que le bipartisme, ou plutôt le couple majorité-opposition, commun à toutes les grandes démocraties, a beaucoup de mal à s'y implanter. Ajoutez que, selon cette mythologie centriste et unanimiste, la bataille des partis ne cache qu'une féroce rivalité pour la conquête du pouvoir et de toutes les prébendes qu'il procure. C'est ainsi qu'au début du siècle on parlait de «l'assiette au beurre» et de la rapacité des «QM» (1). Pierre Poujade, en 1956, voulait jeter à la Seine les «pourris» et appelait à «sortir les sortants». Ce populisme a aujourd'hui trois expressions distinctes : à l'extrême droite, Jean-Marie Le Pen ; à l'extrême gauche, Arlette Laguiller ; au centre, sous une forme plus policée, François Bayrou.
Le discours de François Bayrou se garde bien de tomber dans l'antiparlementarisme ; il repose néanmoins sur l'idée populiste que, si tous les gens du monde voulaient se donner la main, on formerait une chouette équipe de copains qui gouverneraient la France dans le sens de l'intérêt général. Je voudrais pourtant dire ici pourquoi on ne gouverne pas la France comme l'équipe de football du regretté Aimé Jacquet. Le centrisme est à l'univers démocratique contemporain ce que la licorne était au bestiaire médiéval : un animal imaginaire, composite, réputé vierge et censé guérir de tous les poisons.
Nulle part à l'étranger le centrisme n'a réussi à s'imposer comme une formule gouvernementale durable. Les institutions et les coutumes de nos grands voisins reposent toutes sur un système alternatif fondé sur l'existence d'une majorité gouvernementale et d'une opposition stables. Quand le peuple est satisfait de son gouvernement, il le réélit ; quand il en est mécontent, il porte l'opposition au pouvoir. Les choses sont ainsi claires, lisibles et efficaces. L'Angleterre, mère des parlements et du système représentatif, a une telle phobie de toute formule centriste qu'elle est attachée à un système électoral le scrutin uninominal majoritaire à un tour qui élimine toute tentation d'un tiers parti. Quand, cependant, celui-ci finit par s'imposer, il prend la place de l'un des deux grands partis préexistants. C'est ainsi qu'à partir des années 20, et définitivement à partir de 1945, le Parti travailliste, expression des intérêts ouvriers, a pris la place du vieux parti libéral (Whig), qui ne parvient toujours pas à la reconquérir.
Aux Etats-Unis, les tentatives de tiers parti ont toujours échoué. C'est le cas des partis socialistes, restés marginaux, et surtout des partis populistes : celui de William Jennings Bryan en 1896 («Nous ne laisserons pas crucifier l'humanité sur une croix d'or») et, plus récemment, du milliardaire mégalomane Ross Perot (1992) faisant campagne sur la dette et sur le rejet de la politique traditionnelle dans la population.
En Allemagne, enfin, le système de l'alternance majorité-opposition s'accommode de l'existence de petits partis de complément comme les libéraux et les Verts. Ils participent à des coalitions gouvernementales, tantôt avec les socialistes, tantôt avec les démocrates-chrétiens, à l'instar de l'UDSR de François Mitterrand et de René Pleven sous la IVe République. Ce sont des partis charnières. Quand les urnes mettent les deux grands partis à égalité ou que des circonstances exceptionnelles se présentent, on forme en Allemagne une «grande coalition», c'est-à-dire un gouvernement d'union nationale provisoire, forcément provisoire. Mais jamais au grand jamais les libéraux centristes ne constituent le pivot d'une coalition présidentielle et gouvernementale, comme le voudrait François Bayrou.
Car, paradoxalement, le gouvernement par le centre ferait courir à la France le risque de durcissement des conflits et de l'extrémisme. Si, en effet, les Français deviennent mécontents du gouvernement des honnêtes gens, des experts, des compétences que l'on nous fait miroiter, par qui les remplacer ? Mais par les mêmes, bien entendu ! C'est ce que l'on voit dans l'Italie multipartite d'aujourd'hui où Romano Prodi, l'autre homme symbole de François Bayrou, s'apprête à succéder à Romano Prodi, après avoir pratiqué le débauchage individuel de parlementaires du centre. Fâcheuse coïncidence. Ce remplacement du pareil par le même sonne d'ordinaire le glas des démocraties. Car l'immobilisme sécrète fatalement sur les deux ailes du beau vaisseau centriste deux catégories de réprouvés du système qui ne manquent pas d'enfler au même rythme que le mécontentement. Tel fut le tragique destin de la IVe République. La double opposition de deux grands partis hostiles au régime, le Parti communiste à gauche, le RPF du général de Gaulle à droite, obligea à gouverner ensemble les partis résiduels (MRP, radicaux, socialistes), selon la formule de la «troisième force» lancée par Léon Blum dans son discours-programme du 21 novembre 1947. Asphyxiée, incapable de se renouveler, la République pensa en périr. Il fallut le retour en catastrophe du général de Gaulle, en juin 1958, pour sauver la paix civile et les libertés en France, contre le «système des partis».
En dépit du souffle d'union nationale et de mobilisation pour l'intérêt général qu'il a su insuffler à sa campagne, ce que nous propose en effet François Bayrou, c'est bel et bien le retour au système des partis. Le rétablissement de la proportionnelle dans le pays aux 400 fromages sans parler des fromages gouvernementaux aurait fatalement ce résultat. Le remède gaullien fut assez simple, qui nous valut un demi-siècle de stabilité politique : il se résume à deux lois électorales, l'une qui rétablissait le scrutin majoritaire pour l'élection des députés (1958), l'autre qui instaurait l'élection du président de la République au suffrage universel (1962). Il serait politiquement criminel d'attenter à la partie la plus incontestable et la plus solide de l'héritage gaulliste.
Le centrisme est une mauvaise réponse à une question mal posée. Les difficultés actuelles de la France ne viennent pas d'un fonctionnement défectueux de ses institutions, mais d'une corruption des moeurs politiques et surtout du coma profond de la négociation sociale. Nous avons besoin d'un nouveau contrat civique, pas d'un baiser Lamourette.
(1) Ou des «Quinze Mille», sobriquet attribué alors aux députés pour avoir porté d'un coup, en novembre 1906, de 9 000 à 15 000 francs le montant de leur indemnité parlementaire.
Au moins , on se rend compte que le fanstasme de l'union nationale , c'est une belle foutaise.
Que le centrisme , en tant que tel , n'a jamais fonctionné.
Que la posture de bayrou est poujadiste soft.
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
cécile fion
Citation : Hulot m'a pas convaincu mais je suis pas objectif, je deteste TF1 et suis jaloux de la vie d'Hulot. Arlette, si elle passe (imaginons) ce serait assez catastrophique dans un certain sens car on ne peut etre de gauche tout seul dans une économie mondialisée et capitaliste. Les capitaux fuiraient...
ils fuient deja en grand nombre avec un gouvernement de droite au cas on t'aurais loupé un épisode..
Negraval
Citation : Je suis assez d'accord, mais alors tu ne vote pas parceque tu ne crois plus en la politique. Pour toi de gauche de droite , c'est illusoir ?
Oui ce sera à peu de choses près kif kif que ce soit Ségolène, Sarko ou Bayrou.
Citation : Pourtant quand tu signes un contrat de travail, que ce soit CDI ou CNE, ce n'est pas la même chose, non ?
Euh , pas compris exactement le sens de la remarque là

thx du goulag
Citation : Le discours de François Bayrou se garde bien de tomber dans l'antiparlementarisme ; il repose néanmoins sur l'idée populiste que, si tous les gens du monde voulaient se donner la main, on formerait une chouette équipe de copains qui gouverneraient la France dans le sens de l'intérêt général.
ptain bayrou il est aussi utopique que moi..la preuve que son truc se cassera forcement la gueule...
ratafiole
Daniel Cohn-Bendit souhaite un "partenariat" entre Verts, socialistes et centristes
NOUVELOBS.COM
Le député Vert européen propose "un partenariat présidentiel avec un pôle écologiste, représenté par exemple par Dominique Voynet et Nicolas Hulot, un pôle central avec Ségolène Royal, et l'UDF de François Bayrou".
Daniel Cohn-Bendit, député Vert européen, a déclaré mercredi 21 février souhaiter un "partenariat présidentiel" qui associerait les Verts, les socialistes et les centristes. Il en a profité pour lancer un appel au leader de l'UDF, François Bayrou, en lui demandant de "clarifier" sa position. Interrogé depuis Francfort par France-Inter, Daniel Cohn-Bendit a précisé sa "réflexion" sur la majorité.
"Le classique droite-gauche n'existe plus en Europe", a-t-il expliqué. "Il faut que François Bayrou clarifie", a-t-il ajouté. Selon l'élu Vert, le candidat centriste "est sorti de l'ornière UMP, il est contre l'UMP, donc automatiquement il pose le problème d'une autre majorité".
Daniel Cohn-Bendit a proposé sur France-Inter "un partenariat présidentiel avec un pôle écologiste, représenté par exemple par Dominique Voynet et Nicolas Hulot, un pôle central avec Ségolène Royal, et l'UDF de François Bayrou". "Le centre passerait pour la première fois à gauche", a-t-il noté, remarquant que "les socialistes ne devaient pas taper sur François Bayrou".
_d j a n g o
Citation : ils fuient deja en grand nombre
On a la meilleure productivité horaire au monde. La France est un des pays les plus attractifs grâce à un fort niveau d'éducation. Cela compense notre forte imposition.
Citation : oui a grand coup de cartes de crédits..il ya je ne sais combien de couple ou familles sur endettées..et le taux monte en fleche...faire croire que ca va mieux a coup de seche linge alors que les gens devrait payer les ucrédit sur trois vie.....je trouve ca limite
Ok je suis d'accord, je voulais dire que l'on vit plus confortablement dans la pauvreté, de nos jours.Résultats du questionnaire écolo :
_d j a n g o
Citation : Pourtant quand tu signes un contrat de travail, que ce soit CDI ou CNE, ce n'est pas la même chose, non ?
Euh , pas compris exactement le sens de la remarque là
Pour moi gauche (35h, CMU)
Pas pareil que droite (CNE, reforme des retraites)
Résultats du questionnaire écolo :
ferdinand
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
Jules Joffrin
Par contre ça n'est possible à mon avis que si Ségo gagne. Dans ce cas, il y aurait une alliance de gouvernement PS-USF, peut-être même ave Bayrou premier ministre. Si Bayrou Gagne, et qu'il invite des socialistes, là ce sera l'éclatement du PS. et Du coup, peu de chance d'avoir une majorité à l'assemblée, sauf si dans cette coalition il y a la droite, mais pas seulement un emec de droite comme borloo, mais suffisammment pour que une partie des électeurs ump votent. Je n'imagine pas le bordel, et surtout, si ça foire, c'est direct Marine Lepen, qui se sera Finïiser (de Fini en Italie) la prochaine fois.
Anonyme
Ne serait-ce que ça :
Citation : Nulle part à l'étranger le centrisme n'a réussi à s'imposer comme une formule gouvernementale durable.
Si tu considère ça comme valable, alors t'arrêtes direct de créditer le communisme. De plus, le centrisme n'est pas forcément avéré, mais on l'applique d'une façon ou d'une autre un peu partout (même Schwarzy s'y met en proposant des mesures de gauche (sécu)).
Anonyme
Jules Joffrin
Donc oui, léchec d'un gouvernement Bayrou, ça peut amener les durs de l'UMP avec un FN revigoré.
ferdinand
Citation : Les institutions et les coutumes de nos grands voisins reposent toutes sur un système alternatif fondé sur l'existence d'une majorité gouvernementale et d'une opposition stables. Quand le peuple est satisfait de son gouvernement, il le réélit ; quand il en est mécontent, il porte l'opposition au pouvoir. Les choses sont ainsi claires, lisibles et efficaces. L'Angleterre, mère des parlements et du système représentatif, a une telle phobie de toute formule centriste qu'elle est attachée à un système électoral le scrutin uninominal majoritaire à un tour qui élimine toute tentation d'un tiers parti. Quand, cependant, celui-ci finit par s'imposer, il prend la place de l'un des deux grands partis préexistants. C'est ainsi qu'à partir des années 20, et définitivement à partir de 1945, le Parti travailliste, expression des intérêts ouvriers, a pris la place du vieux parti libéral (Whig), qui ne parvient toujours pas à la reconquérir.
Aux Etats-Unis, les tentatives de tiers parti ont toujours échoué. C'est le cas des partis socialistes, restés marginaux, et surtout des partis populistes : celui de William Jennings Bryan en 1896 («Nous ne laisserons pas crucifier l'humanité sur une croix d'or») et, plus récemment, du milliardaire mégalomane Ross Perot (1992) faisant campagne sur la dette et sur le rejet de la politique traditionnelle dans la population.
En Allemagne, enfin, le système de l'alternance majorité-opposition s'accommode de l'existence de petits partis de complément comme les libéraux et les Verts. Ils participent à des coalitions gouvernementales, tantôt avec les socialistes, tantôt avec les démocrates-chrétiens, à l'instar de l'UDSR de François Mitterrand et de René Pleven sous la IVe République. Ce sont des partis charnières. Quand les urnes mettent les deux grands partis à égalité ou que des circonstances exceptionnelles se présentent, on forme en Allemagne une «grande coalition», c'est-à-dire un gouvernement d'union nationale provisoire, forcément provisoire. Mais jamais au grand jamais les libéraux centristes ne constituent le pivot d'une coalition présidentielle et gouvernementale, comme le voudrait François Bayrou.
Citation : Si tu considère ça comme valable, alors t'arrêtes direct de créditer le communisme. De plus, le centrisme n'est pas forcément avéré, mais on l'applique d'une façon ou d'une autre un peu partout (même Schwarzy s'y met en proposant des mesures de gauche (sécu)).
Dejà , je ne suis pas procommuniste , bien que je prefere infiniment cette ideologie à celles des centristes ou liberaux.
Ce que tu appelles "Centrisme" , ce sont les politiques liberales molles qui ont cours dans quasiment tous les pays occidentaux :
Soit un pouvoir très legerement à gauche qui laisse tous faire aux entreprises/financiers pour avoir la paix et pond quelques lois très legerement "sociales" afin de s'assurer la tranquilité.
Soit un pouvoir à droite qui laisse de toutes facons aux entreprises/notables/financiers toutes libertés mais qui pond aussi de temps en temps un texte pretendument social pour se dedouaner ( ex droit opposable au logement...)
Schwarzy n'est pas un cenrtiste , juste un opportuniste comme bayrou( ou sarko/sego) , qui a senti le vent du boulet et qui a preferer mettre un peu d'eau dans son vin.
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
ferdinand
Citation : L'échec du centrisme menant aux extrêmes, ça paraît probable comme ça, mais ça peut être comme l'escalade de la drogue, un foutaise pure et simple.
Moi j'y crois pas trop à cette hypothèse.Je suis persuadé qu si bayrou passe , on va droit vers un système à l'anglosaxonne , avec un choix reduit à un parti liberal mou et un parti liberal dur.
La gauche sera completement anéanti par l'election de bayrou.pas par celle de sarko.
Parce que la question centrale de cette éléction , c'est existe - il une alternative au capitalisme de marché ?
Si bayrou passe , ca veut clairement dire que non. C'est la fin des idées politiques. Le debat se situant uniquement à l'interieur du capitalisme à qui l'ont reconnait unanimement la verité et la necessité.
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
_d j a n g o
Citation : si Ségo gagne. Dans ce cas, il y aurait une alliance de gouvernement PS-USF, peut-être même ave Bayrou premier ministre
Si la gauche gagne pourquoi il prendrait Bayrou ? pas compris, là.Résultats du questionnaire écolo :
Jules Joffrin
Negraval
Citation : Parce que la question centrale de cette éléction , c'est existe - il une alternative au capitalisme de marché ?
Ce n'est pas au niveau national que l'on doit se poser cette question.
Quel que soit le résultat de l'élection, l'influence sur "les marchés" sera insignifiante.
ferdinand
Citation : Ce n'est pas au niveau national que l'on doit se poser cette question.
Quel que soit le résultat de l'élection, l'influence sur "les marchés" sera insignifiante.
Bah il faut bien commencer quelque part! A moins que tu crois possible un revirement de l'OMC vers une politique sociale par le dialogue ? Et l'instauration de soviets à Washington et à la city?
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
ratafiole
ou l'inverse
thx du goulag
Citation : Je suis persuadé qu si bayrou passe , on va droit vers un système à l'anglosaxonne , avec un choix reduit à un parti liberal mou et un parti liberal dur.
La gauche sera completement anéanti par l'election de bayrou.pas par celle de sarko.
je suis assez d accord la dessus..
Citation : Si Bayrou est à 20% au premier tour, Sego sera obligée de faire une alliance pour gagner. C'est pas avec les trois bombecs que vont lui filer les verts et les communistes qu'elle risque de passer.
la aussi ....
par contre Djangologiste..je suis pas tout a fait d accord sur le fait que l'on vive dans plus de confort en etant pauvre aujourd hui qu hier...
Car les pauvres qui se mettent "au confort" ils le payent..meme durement...et bon ptet que certains s'en sortent sans les huissiers au cul..mais bon... dans la majorité des cas pour moi cette idée de confort n'est que poudre aux yeux...vu que ça les fout dans la merde encore plus...
il y a bien des néo libéraux pour me dire qu'au moins avec le libéralisme les pauvres pouront mieux vivre leur servitude... bref les chaines des esclaves se remplassent par des chaines hifis et autres accessoires tuning...et rien ne change vraiment pour les demuni..ils ont juste un aire plus hype et donc moins pauvre..mais ils le sont et le restent quand meme..
ratafiole
Negraval
Anonyme
J'ai cru un instant que ce thread roulait toujours....
- < Liste des sujets
- Charte

